ERNST MAYR is perhaps the most distinguished biologist of the twentieth century, and Systematics and the Origin of Species may be one of his greatest and most influential books. This classic study, first published in 1942, helped to revolutionize evolutionary biology by offering a new approach to taxonomic principles and correlating the ideas and findings of modern systematics with those of other life science disciplines. This book is one of the foundational documents of the "Evolutionary Synthesis." It is the book in which Mayr pioneered his new concept of species based chiefly on such biological factors as interbreeding and reproductive isolation, taking into account ecology, geography, and life history. In his new Introduction for this edition, Mayr reflects on the place of this enduring work in the subsequent history of his field.
Praise for the first edition:
"[This book] should be read by all biologists, professional and amateur."
- Natural History
"A source book on its subject... of lasting value."
- New York Times

Systematics And The Origin Of Species From The Viewpoint Of A Zoologist

The Evolutionary Synthesis. - Perspectives on the Unification of Biology

Darwin et la pensée moderne de l'évolution

En effet, je n'ai pas pu trouver de preuve que ce soit de la survenue d'une accélération évolutive drastique et d'une reconstruction génétique chez des espèces répandues et peuplées.

En conséquence, les généticiens ont décrit l'évolution simplement comme un changement des fréquences des gènes dans les populations, ignorant totalement le fait que l'évolution se compose des deux phénomènes simultanés mais assez séparés d'adaptation et de diversification.

Toutes les interprétations faites par un scientifique sont des hypothèses, et toutes les hypothèses sont provisoires. Ils doivent toujours être testés et ils doivent être révisés s'ils s'avèrent insatisfaisants. Par conséquent, un changement d'avis chez un scientifique, et en particulier chez un grand scientifique, n'est pas seulement un signe de faiblesse, mais plutôt la preuve d'une attention continue au problème respectif et d'une capacité à tester l'hypothèse encore et encore.

J'avais constaté à maintes reprises que la population la plus aberrante d'une espèce - ayant souvent atteint le rang des espèces, et parfois classée même comme un genre distinct - s'est produite à un emplacement périphérique, en effet généralement à l'emplacement périphérique le plus isolé.

Une espèce est constituée d'un groupe de populations qui se remplacent géographiquement ou écologiquement et dont les populations voisines s'intègrent ou s'hybrident partout où elles sont en contact ou qui sont potentiellement capables de le faire (avec une ou plusieurs des populations) dans les cas où le contact est empêché par des barrières géographiques ou écologiques.

Il y a plus à la biologie que les rats, la drosophile, la caenorhabdite et E. coli.

Les mécanismes d'isolement sont les propriétés biologiques des individus qui empêchent l'interdiction des populations qui sont réellement ou potentiellement sympatriques.

La plupart d'entre eux sont voués à l'extinction rapide, mais quelques-uns peuvent faire des inventions évolutives, telles que les innovations physiologiques, écologiques ou comportementales qui donnent à ces espèces un potentiel compétitif amélioré.

L'évolution en tant que telle n'est plus une théorie d'un auteur moderne. C'est autant un fait que la terre tourne autour du soleil.

Je n'ai pas affirmé que la spéciation ne se produit que dans les populations fondatrices.

Dans ni sa définition ni les exemples illustrant ce que sont les mèmes, Dawkins mentionne tout ce qui distinguerait les mèmes des concepts.

L'évolution ... est opportuniste, donc imprévisible.

Une nouvelle espèce se développe si une population qui s'est isolée géographiquement de son espèce parentale acquiert durant cette période d'isolement des caractères qui favorisent ou garantissent l'isolement reproductif lorsque les barrières extérieures tombent.

La vie est simplement la réification du processus de vie.

Une espèce est une communauté reproductrice de populations isolées reproductivement des autres qui occupe une niche spécifique dans la nature.

Compte tenu du fait de l'évolution, on pourrait s'attendre à ce que les fossiles documentent un changement régulier progressif des formes ancestrales aux descendants. Mais ce n'est pas ce que le paléontologue trouve. Au lieu de cela, il ou elle trouve des lacunes dans à peu près toutes les séries phylétiques.

Tout ce que j'ai affirmé, c'est que lorsqu'un changement radical se produit, il se produit dans une population relativement petite et isolée.

Il est curieux de savoir à quelle fréquence les théories erronées ont eu un effet bénéfique pour des branches scientifiques particulières.

Quiconque écrit sur "La théorie de Darwin de l'évolution dans le singulier, sans séparer les théories de l'évolution progressive, de la descendance commune, de la spéciation et du mécanisme de sélection naturelle, sera tout à fait incapable de discuter du sujet avec compétence.

Selon le concept d'évolution transformationnelle, d'abord clairement articulé par Lamarck, l'évolution consiste en la transformation graduelle des organismes d'une condition d'existence à une autre.

Les définitions sont des verbalisations temporaires des concepts et des concepts - des concepts particulièrement difficiles - sont généralement révisés à plusieurs reprises à mesure que nos connaissances et notre compréhension augmentent.

D'un autre côté, des évolutionnistes célèbres tels que Dobzhansky croyaient fermement en un Dieu personnel. Il travaillait en tant que scientifique toute la semaine, puis dimanche se met à genoux et prierait Dieu. Franchement, je n'ai jamais pu le comprendre parce que vous auriez besoin de deux compartiments totalement différents dans votre cerveau, l'un qui traite de la religion et de l'autre avec tout le reste.

L'évolution est donc simplement subordonnée à certains processus articulés par Darwin: variation et sélection. Un objet fixe n'est plus transformé, comme dans l'évolution transformationnelle, mais un début entièrement nouveau est, pour ainsi dire, à chaque génération.

Prendre une position sans équivoque, il me semble que c'est d'une plus grande valeur heuristique et beaucoup plus susceptible de stimuler une critique constructive que d'échapper à la question.

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