Standard Operating Procedure is an utterly original collaboration by the writer Philip Gourevitch (We Wish to Inform You that Tomorrow We Will Be Killed With Our Families) and the film-maker Errol Morris (The Thin Blue Line, The Fog of War). They have produced the first full reckoning of what actually happened at Abu Ghraib. Standard Operating Procedure reveals the stories of the American soldiers who took and appeared in the haunting digital snapshots from Abu Ghraib prison that shocked the world - and simultaneously illuminates and alters forever our understanding of those images and the events they depict. Drawing on more than two hundred hours of Errol Morris's startlingly frank and intimate interviews with Americans who served at Abu Ghraib and with some of their Iraqi prisoners, as well as on his own research, Philip Gourevitch has written a relentlessly surprising account of Iraq's occupation from the inside-out - rendering vivid portraits of guards and prisoners ensnared in an appalling breakdown of command authority and moral order. Gourevitch and Morris have crafted a nonfiction morality play that stands to endure as essential reading long after the current war in Iraq passes from the headlines. By taking us deep into the voices and characters of the men and women who lived the horror of Abu Ghraib, the authors force us, whatever our politics, to re-examine the pat explanations in which we have been offered - or sought - refuge, and to see afresh this watershed episode. Instead of a 'few bad apples', we are confronted with disturbingly ordinary young American men and women who have been dropped into something out of Dante's Inferno. This is a book that makes you think, and makes you see - an essential contribution from two of our finest nonfiction artists working at the peak of their powers.

Standard Operating Procedure - A War Story

Errol Mark Morris est un réalisateur, producteur, monteur, scénariste et acteur américain né le 5 février 1948 à Hewlett, Long Island (États-Unis).

J'aime à penser que l'une des choses que j'ai faites avec la non-fiction depuis le tout début est de trouver de nouvelles façons de raconter des histoires vraies.

Vous savez, quelque chose de plus négatif, quelque chose de plus dénigrant, quelque chose de plus adversaire que ce que fait déjà [Donald Trump]. Le mystère est de savoir comment il est devenu aussi loin qu'il est devenu.

Les interviews de Mike Wallace peuvent faire une excellente télévision, mais elles ne produisent pas d'excellentes preuves.

Beaucoup des thèmes de mes films, les histoires réelles, viennent des histoires des tabloïds.

Il n'y a qu'une seule direction. (En bas.) Il n'y a qu'une seule couleur. (Noir.) Et il n'y a qu'un seul nombre (zéro.)

Robert Nozick [un philosophe Havard, célèbre pour son livre "Anarchy, State and Utopia"] a défini la vengeance comme transmettant le message que vous savez ce que quelqu'un a fait, et cela n'implique pas de leur faire du mal ou de leur faire quoi que ce soit au-delà. Il ne fait que livrer le message que leur crime a été noté non seulement par ses victimes, car la victime pourrait être morte, mais par une autre qui a une vision morale différente et contestera l'opinion de l'agresseur.

Je me souviens à la page un du New York Times l'article sur Fred Leuchter. Le titre était "La peine capitale peut être humaine" et c'était l'histoire d'un réparateur de chaises électriques et de concepteurs de machines d'exécution. Et puis enterré à l'arrière du journal, Fred Leuchter avait également été impliqué dans le déni de l'Holocauste.

Si vous pensez que vous allez créer une photographie non testée, détrompez-vous. Il n'y a pas une telle chose.

Ils disent que voir c'est croire, mais l'inverse est vrai. Croire que c'est voir.

Le premier Polaroid a jamais pris quelqu'un dans ma famille était mon fils à l'âge de quatre ans environ.

Il y a une chose telle que la vérité, mais nous avons un intérêt direct à ne pas le voir, à l'éviter.

Tout d'abord, les histoires tabloïdes sont quelques-unes des histoires les plus riches et les plus importantes que nous ayons. Il n'y a rien de mal, en soi, avec des histoires tabloïdes.

Une partie du mystère d'une photographie donnée est le fait qu'elle a été prise à un certain moment et dans un certain endroit et que le temps continue de passer. Une photographie pourrait être un moment dans le temps préservé, mais le monde continue de changer autour de lui.

Philip Glass m'a dit un jour: "Ils peuvent toujours copier ce que vous avez fait, mais ils ne peuvent pas copier ce que vous allez faire."

Lorsque vous travaillez pour vous-même et votre propre obsession de trouver la vérité, vous êtes à votre propre merci.

Est-ce que j'aime les histoires tawdry et louches? Ouais, je le fais.

Lorsque vous commencez à parler des connus connus et des inconnues inconnues, vous êtes jeté dans une discussion de méta-méta folle. Est-ce que je sais ce que je sais, je sais ce que je ne sais pas, je sais ce que je ne sais pas, je ne sais pas. Cela devient un étrange, Lewis Carroll - comme une comptine.

Les gens pensent dans les récits - dans les débuts, les intermédiaires et se terminent. Le danger lorsque vous modifiez quelque chose de trop sévèrement est qu'il n'a plus de sens; Pire encore, cela laisse aux gens l'impression inquiétante que quelque chose est caché.

J'ai eu des gens qui me refusent. Pas tout cela, mais cela arrive certainement.

Je n'ai jamais eu l'intention d'être un cinéaste documentaire. Je pense que je suis devenu un cinéaste documentaire parce que j'avais du mal à écrire, et j'ai eu du mal à terminer les choses.

Je ne me suis jamais vu comme un cinéaste documentaire. Je me considère comme un cinéaste, une période, et je m'intéresse au théâtre ainsi qu'à un documentaire.

J'ai écrit beaucoup plus, je crois, à cause d'Internet. J'ai publié des trucs que j'ai écrits et je viens d'écrire.

Comme tous les grands documentaires, l'acte de tuer exige une autre façon de regarder la réalité. Cela commence comme un paysage de rêve, une tentative de permettre aux auteurs de reconstituer ce qu'ils ont fait, puis quelque chose de vraiment incroyable se produit. Le rêve se dissout dans le cauchemar puis dans la réalité amère. Un film incroyable et impressionnant.

Je suis un moyen simple pour que j'ai réussi à capturer Elsa [Dorfman]. Il y a quelque chose à propos d'Elsa, de sa personnalité et de son travail qui, je crois, est là.

Il y a beaucoup de drames que j'aimerais faire: des drames basés sur de vraies histoires. Il approche des choses de l'autre côté.

J'aime souligner que les gens confondent très souvent l'idée que la vérité est subjective avec le fait que la vérité est périssable.

Considérez mes films comme augmentant notre conscience, sans confusion de la différence entre la vérité et la fiction, mais augmentant notre conscience de notre confusion que nous pouvons devenir confus sur ce qui est réel.

Toute seule - sans contexte, sans légende - une photographie n'est ni vraie ni fausse... Car la vérité, bien considérée, concerne le rapport entre le langage et le monde, non la photographie et le monde.

Nous vivons dans une société très litigieuse. Je n'ai jamais poursuivi personne. Je peux certainement imaginer une situation où je pourrais poursuivre, mais cela semble plus ou moins au mauvais goût.

J'ai demandé à [Donald Trump] s'il avait des conseils à Charles Foster Kane et il a dit: "Oui, procurez-vous une femme différente."

https://fr.wikipedia.org/wiki/Errol_Morris

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