Esa-Pekka Salonen ( audio), né le 30 juin 1958 à Helsinki en Finlande, est un compositeur et chef d'orchestre finlandais.

J'ai toujours senti qu'un jour je devrais faire le changement dans ma propre vie, mordre la balle et voir ce que c'est que d'être un compositeur qui conduit plutôt que l'inverse.

Chaque orchestre que je connais, chaque opéra que je connais, cherche désespérément à essayer de trouver de nouveaux talents, de nouveaux talents de composition, de soutenir les jeunes compositeurs, de soutenir de nouvelles idées, de soutenir de nouvelles façons de faire passer le message.

Avec des orchestres américains, en particulier, car ils jouent dans des salles aussi énormes, obtenir un vrai pianissimo est très difficile.

La conduite était juste quelque chose qui s'est produit par Fluke.

Si j'étais en mesure d'annoncer un concours public pour inventer un nouveau mot, je le ferais maintenant.

Si quelqu'un m'avait dit quand je commençais la composition à Helsinki dans les années 70, je finirais à L.A. et pour décrire ce voyage, ces 17 années avec la philharmonique et construire la salle et ceci et cela, j'aurais dit: " C'est un conte de fées du premier ordre. "

L'idée nord de la forme est plus un processus. Les différentes unités de la forme se chevauchent. Vous ne pouvez pas dire où certaines choses s'arrêtent et de nouvelles choses commencent. Ceci est typique de Sibelius.

Dans la gamme de musique que nous jouons - environ 300 ans - il y a vraiment plus de similitudes que les différences.

Bien sûr, effectuer des talents, c'est clair. Peut-être que ce n'est pas si bien connu des jeunes qui s'intéressent à la musique, qui sont talentueux dans la musique, mais ils essaient de comprendre comment s'y prendre.

Il y avait ce genre de mythologie légèrement ennuyeuse à propos du chef d'orchestre comme Biker devrait rouler sur un Harley-Davidson sur une couverture LP et porter une sorte de costume en cuir.

J'aime cette idée d'identification avec l'équipe locale. Je pense que c'est super. C'est ce que devrait être un orchestre. C'est un orchestre pour sa ville natale, et il sert le peuple.

L'impulsion en tant que moyen d'expression actif, Stravinsky et Beethoven en sont les deux maîtres.

Cette continuité du son et de la forme était quelque chose qui m'intéressait vraiment en travaillant avec Ligeti. Il allait toujours comment la forme devait être continue.

Je pense que si vous souhaitez décrire la composition comme un acte avec un mot, "lent" serait le mot.

Chaque jour, nous faisons plus de progrès vers la compréhension de la salle de concert.

Je suis allé travailler un matin, et à l'extérieur de ma porte, Cindy Crawford dans un soutien-gorge noir, et je pensais que très clairement le bâtiment progresse dans l'intégration dans diverses couches de notre culture.

Orphei Drängar possède une combinaison de pouvoir, d'énergie et de culture. Joy of Discovery combinée à des prouesses techniques et musicales professionnelles.

La musique que je mets ces jours-ci est le genre de musique que je veux m'entendre.

Lorsque nous sommes à la fin du rite du printemps ou d'une symphonie de Bruckner, je veux que les gens ressentent la musique physiquement.

Il y a plus d'ouverture à Los Angeles aux possibilités que sur la côte est de l'Amérique. Il y a un esprit pionnier là-bas qui découle de la raison pour laquelle les gens sont allés là-bas à la première place pour trouver quelque chose de nouveau.

L'industrie de la musique classique a été une industrie de couvertures. Nous faisons donc des couvertures, et si je le compare avec le côté rock et pop, quel est l'événement le plus excitant?

Après avoir travaillé avec Ligeti, j'ai commencé à entendre Brahms et Beethoven différemment.

L'acte de mener en soi, d'agiter mes bras en l'air et d'être en charge, je n'ai pas manqué. J'ai raté le plaisir sensuel d'être en contact avec la musique.

Je composant plus qu'avant. Je réduise la conduite.

La musique a autant à voir avec le mouvement et le corps que l'âme et l'intellect.

Nous avons besoin d'un nouvel art. Le vieil art ne peut pas faire ça. Il peut faire beaucoup d'autres choses, et bien sûr l'humanité n'a pas beaucoup changé au cours des mille ou deux dernières années. Ainsi, les vieux drames grecs sont toujours au cœur, au cœur, de l'expérience humaine, mais nous avons quand même besoin Nouveaux trucs.

Les orchestres se sont habitués à mettre l'accent sur la séparation des couches, de la précision et de la clarté ultimes.

J'ai toujours eu, au fond, une légère aversion vers la musique purement cérébrale.

Parfois, vous passez neuf mois, 10 mois, un an à écrire un morceau que vous entendrez deux ans plus tard ou quelque chose comme ça, et vous ne voyez personne. C'est un type très différent de métabolique.

https://fr.wikipedia.org/wiki/Esa-Pekka_Salonen

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