Evan Fournier, né le 29 octobre 1992 à Saint-Maurice dans le Val-de-Marne, est un joueur international français de basket-ball. Il évolue aux postes d'arrière et d'ailier pour les Knicks de New York.

J'essaye de faire le bon jeu. Parfois, je vais prendre des photos et des trucs contestés, mais ça arrive.

En grandissant, ma première interview à l'âge de 14 ans, j'ai dit: "Oui, je vais jouer dans la NBA." Tout le monde se disait: «Qui est cet enfant? Il est arrogant.

Je ne vais pas demander un métier, car quand je joue pour une ville, je vais me battre pour ça et je ne vais pas arrêter.

Je n'ai pas besoin de parler doux. Je ne suis pas un vieux joueur, mais un vétéran. C'est bon, mes sentiments ne seront pas blessés.

Je n'ai jamais voulu rester à l'étranger.

En tant qu'entraîneur adjoint, c'est essentiellement votre rôle - pour vous rapprocher de vos joueurs, leur parler tous les jours et en tirer le meilleur parti.

La clôture des matchs dans cette ligue est difficile. Vous avez beaucoup de bons joueurs auxquels vous êtes confronté, et le quatrième trimestre est difficile à gérer car les équipes vont faire leur course.

Historiquement, j'ai été vraiment bon en quatrième trimestre en fait.

Denver sera toujours dans mon cœur. C'était ma première ville en Amérique.

Il n'y a aucun doute dans mon esprit. Je pense que la défensive, la première chose est de connaître le travail et de rivaliser.

Être sur la touche n'est pas amusant pour moi.

Le basket-ball est énorme en France, mais pas aussi grand que le football.

Lorsque vous avez un coup ouvert, c'est un tir ouvert et il ne s'agit pas de votre rôle ou de votre infraction.

Chaque équipe fait des mouvements pendant l'été.

J'aimerais pouvoir être aussi cohérent que moi pendant mes grands jeux tous les soirs.

À Denver, j'étais plus un tireur stationnaire pour une raison quelconque.

Si vous êtes français, vous devez certainement respecter Tony Parker pour ce qu'il a fait.

Je vais probablement être plus un leader vocal, ce qui est un défi pour moi avec l'anglais qui n'est pas ma langue naturelle.

Jouer pour votre pays est spécial, surtout dans la Coupe du monde.

Si vous ressentez une pression, cela devrait être avant d'obtenir un contrat et non après.

Balto 'était l'un de mes films préférés. Balto est le personnage de Disney qui est comme un demi-chien, à moitié loup. Il y a une statue de Balto à Central Park.

Les voyages en route sont l'endroit où vous construisez vraiment la chimie, passez beaucoup de temps ensemble et allez dans les restaurants ensemble.

Je ne veux pas être un joueur ou une moyenne médiocre.

Ce n'est pas amusant quand vous vous réveillez le matin et que vous voyez au classement que vous êtes dans les cinq dernières positions.

J'ai dû tout gagner. Donc, avoir l'occasion d'être une option de périmètre primaire sur l'offensive est vraiment quelque chose que j'apprécie vraiment.

La chose sur laquelle je me concentre, c'est de donner tout ce que j'ai tous les jours, puis si je deviens un grand joueur, alors génial.

Fondamentalement, je dois tout à mes parents.

C'est essentiellement ce que mes parents m'ont appris tout au long de mon enfance, étant intense et cohérent. À mon avis, ce sont les choses les plus difficiles à faire en NBA.

https://fr.wikipedia.org/wiki/Evan_Fournier

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