Je connais beaucoup de gens qui aiment la musique rap qui ne sont pas noires. Vous ne pouvez pas simplement dire que c'est de la musique noire. Pour séparer les films comme Hollywood aime séparer les films, finalement tout le monde perd.

Straight Outta Compton" est mon premier biopic, mon premier film d'époque, et j'ai eu l'occasion de faire comme certains de mes idoles, comme Scorsese, Spielberg, Spike Lee, les gars qui m'ont précédé. Je me sens bien à ce sujet.

Il y a toujours des choses en tournant un film que vous ramassez qui, espérons-le, vous améliore.

Qu'est-ce que j'apporte à un film? Je pense, peut-être, je sais pertinemment que je me concentre sur la connexion du caractère; Je me concentre sur la chaleur et un cœur, mais je ne sais pas si c'est parce que je suis afro-américain ou parce que je suis fou - qui sait.

Je faisais bien à la télévision en tant que caméraman indépendant, mais ce n'était pas la direction dans laquelle je voulais aller. J'ai réalisé des vidéos et j'ai essayé de mettre quelque chose de cinématographique dans tout le monde. Dialogue, séquences d'action, hélicoptère, Steadicam.

Je ne me limite jamais quand il s'agit de raconter des histoires; Je pense que les gens peuvent voir cela dans mon travail. C'est à peu près: «Qu'est-ce qu'une belle histoire? Est-ce unique? Est-ce un défi?

Quand vous regardez quelqu'un de bien comme J.J. Abrams qui vous donne le spectacle et de superbes pièces d'action mais qui vous donne également un caractère et une grande histoire et un complot et un récit, je pense que c'est mon travail - et mon intention - de faire les deux.

En fait, je n'ai pas vraiment commencé à entrer dans la recherche du film jusqu'à ce que je sois beaucoup plus âgé. J'ai décidé que je voulais diriger beaucoup plus tôt que j'ai commencé à faire la recherche, ce qui est vraiment étrange, mais c'est le cas.

Je n'ai pas de fond de cinéaste typique. Je n'ai pas grandi avec une caméra super huit ou une caméra vidéo. Je n'ai pas commencé à couper des films quand j'avais quatre ou cinq ans.

La plupart des clips musicaux étaient des courts métrages - ils avaient un dialogue, des séquences d'action. J'ai tourné avec des grues et des hélicoptères. Je voulais créer des moments en forme de cinéma.

J'adore un défi. Donc, quand j'ai fait «vendredi», je ne voulais pas faire une autre comédie consécutive. Avec «déclenchez-le», c'était un peu différent du «négociateur» et du «travail italien». Donc pour moi, tout est question de défi. Tout est question de défi et d'apprentissage.

Le hip hop fait partie intégrante de ma vie et de toute ma carrière. J'ai commencé à faire des vidéos avec Ice Cube, Dre, et Mary J. Blige et TLC. Je suis donc impliqué dans le hip hop depuis le début.

Parce que je ne suis pas allé à l'école de cinéma, vous apprenez tellement de nombreux artistes créatifs.

Tout le monde vient filmer différemment; Tout le monde a des antécédents différents. Trouvez simplement quelle que soit votre voie naturellement. N'essayez pas de vous forcer dans la vision de quelqu'un d'autre ou essayez de raconter une histoire qui vous passionne.

Mes parents se sont séparés quand j'avais 2 ans, et mon père vivait toujours à Chicago et ma mère à L.A. je ferais des allers-retours et je passerais parfois l'été avec mon père, mais L.A. était à la maison.

Je suis résolu. Lorsque je travaille sur un projet, toute mon attention est là.

J'étais un peu hésitant au début parce qu'il y a tellement de façons de vous tromper «tout droit outa compton». Vous savez, c'est une si grande histoire; C'est une histoire si classique. J'étais un peu nerveux parce que c'est comme un chemin très étroit vers le succès avec ce type d'histoire - vous devez bien faire les choses - mais quand je l'ai lu, j'ai été agréablement surpris.

Lorsque vous commencez à réaliser des films à l'âge de 24 ans, vous n'êtes qu'un enfant, vous n'avez même pas nécessairement les expériences à ajouter à l'histoire, vous travaillez sur l'instinct et les émotions brutes et les talents bruts, et j'espère que c'est la même trajectoire que la croissance qu'une personne.

Je dirige toujours à côté de la caméra et regarde mes acteurs, et vous pouvez donc voir les petites choses que vous ne pouvez pas voir sur le petit écran, mais vous pouvez certainement voir sur grand écran.

Si je devais faire un film sur Apollo 13, je serais à la NASA pour étudier ce qu'il fallait pour aller dans l'espace. Cela fait partie de votre travail d'aller en profondeur, d'interviewer les bonnes personnes.

Je me souviens où j'étais quand j'ai entendu «Boyz n the Hood» pour la première fois - 126th Street et Normandy, South Central, Los Angeles. Je me souviens que j'étais sur mon porche. Ce qu'ils ont décrit dans cette chanson étaient si vifs et si clairs pour moi parce que c'était le genre de vie que j'avais l'habitude d'assister et de vivre en partie dans mon quartier.

Le succès concerne vraiment votre état d'esprit.

Je ne retire rien de mon existence dans le capot, car cela a aiguisé mon instinct. Nous avions une mode de vie différente qui a développé nos instincts de survie, et je les utilise à ce jour quand je fais des films. Vous ne pouvez pas acheter ça.

Je n'ai pas peur d'un grand film de studio; Je fais confiance à mon instinct. Mais pour moi, il ne s'agit pas vraiment du box-office. Il s'agit de regarder en arrière sur votre travail et de ne pas avoir à s'excuser.

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