Lorsque j'ai rencontré Mandela pour la première fois, nous n'avons discuté de rien de la substance; Nous nous sommes juste sentis les uns les autres. Il a passé beaucoup de temps à exprimer son admiration pour les Boer généraux et à quel point ils étaient ingénieux pendant la guerre anglo-boer.

Avant tout, nous devons aux enfants du monde d'arrêter les conflits et de leur créer de nouveaux horizons.

Le gouvernement qui est entré au pouvoir après les élections d'avril 1994 aurait besoin d'un budget. Il a été rédigé par notre ministre des Finances, Derek Keys, et il les a convaincus de la nécessité de rester dans les principes du marché libre qui étaient en vigueur en Afrique du Sud depuis des décennies.

Ce fut un honneur pour moi d'avoir pu travailler avec M. Mandela dans le processus qui a conduit à l'adoption de la constitution provisoire et de nos premières élections démocratiques en avril 1994.

Pendant de nombreuses années, j'ai soutenu le concept d'états distincts.

Il a eu la chance de regarder en arrière pour l'Afrique du Sud et tout son peuple que Mandela et moi avons trouvé possible de travailler ensemble même si les grandes souches se sont développées entre nous de temps en temps.

J'ai joué un rôle essentiel dans les aides en train de formuler cette nouvelle vision ... que nous devons abandonner l'apartheid et accepter un Afrique du Sud unie avec l'égalité des droits pour tous, avec toutes les formes de discrimination à abandonner du livre de loi.

J'ai ressenti un sentiment d'épanouissement qu'un plan d'action, que j'avais mis sur la table le 2 février 1990, avait été rempli, avait été correctement mis en œuvre dans le délai que j'avais envisagé.

J'ai fait les excuses les plus profondes devant la Commission de vérité et à d'autres occasions sur les injustices qui ont été forgées par l'apartheid.

Ce que je ne me suis pas excusé, c'est le concept original de chercher à rendre justice à tous les Sud-Africains à travers le concept des États-nations.

Mon prédécesseur, P. W. Botha, avait un cercle intérieur, et je n'ai pas aimé ça. J'ai préféré les décisions d'évoluer à partir des discussions sur le cabinet. De cette façon, nous avons réalisé une véritable copropriété de nos politiques.

Quand je parle de la fin de l'apartheid, je préfère ne pas revendiquer l'honneur que je l'ai terminé.

Je crois que les premières impressions sont très importantes.

La question que nous devons nous poser est de savoir si nous progressons vers le but de la paix universelle. Ou sommes-nous rattrapés sur un tapis roulant de l'histoire, tournant pour toujours sur l'essieu de l'agression et de l'autodestruction insensées?

Le président Mandela n'était à aucun moment un président pratique.

Vous ne pouvez pas dire que nous sommes une démocratie saine et dynamique lorsqu'un parti remporte près des deux tiers des voix.

Le parti ANC est de temps à autre avec une législation qui, si elle était acceptée et si elle n'est pas annulée par la Constitution du tribunal, aurait pour effet de saper la Constitution et d'éroder ses valeurs.

Dans notre quête de la paix, nous devons constamment nous demander ce que nous devons faire pour créer des conditions dans lesquelles la paix peut prospérer.

La relation entre moi et le président Mandela au début n'était pas une relation très bien établie. Il était basé sur deux réunions.

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