Replete with complexities, abjection, beauty and joy, Women Painting Women offers new ways to imagine the portrayal of women, from Alice Neel to Jordan Casteel.

A thematic exploration of nearly 50 female artists who choose women as subject matter in their works, Women Painting Women includes nearly 50 portraits that span the 1960s to the present. International in scope, the book recognizes female perspectives that have been underrepresented in the history of postwar figuration. Painting is the focus, as traditionally it has been a privileged medium for portraiture, particularly for white male artists. The artists here use painting and women as subject matter and as vehicles for change. They range from early trailblazers such as Emma Amos and Alice Neel to emerging artists such as Jordan Casteel, Somaya Critchlow and Apolonia Sokol. All place women--their bodies, gestures and individuality--at the forefront.
The pivotal narrative in Women Painting Women is how the artists included use the conventional portrait of a woman as a catalyst to tell another story outside of male interpretations of the female body. They conceive new ways to activate and elaborate on the portrayal of women by exploring themes of the Body, Nature Personified, Selfhood and Color as Portrait. Replete with complexities, realness, abjection, beauty, complications, everydayness and joy, the portraits in this volume make way for women artists to share the stage with their male counterparts in defining the image of woman and how it has evolved.
Artists include: Rita Ackermann, Njideka Akunyili Crosby, Emma Amos, María Berrío, Louise Bonnet, Lisa Brice, Joan Brown, Jordan Casteel, Somaya Critchlow, Kim Dingle, Marlene Dumas, Celeste Dupuy-Spencer, Nicole Eisenman, Tracey Emin, Natalie Frank, Hope Gangloff, Eunice Golden, Jenna Gribbon, Alex Heilbron, Ania Hobson, Luchita Hurtado, Chantal Joffe, Hayv Kahraman, Maria Lassnig, Christiane Lyons, Danielle Mckinney, Marilyn Minter, Alice Neel, Elizabeth Peyton, Paula Rego, Faith Ringgold, Deborah Roberts, Susan Rothenberg, Jenny Saville, Dana Schutz, Joan Semmel, Amy Sherald, Lorna Simpson, Arpita Singh, Sylvia Sleigh, Apolonia Sokol, May Stevens, Claire Tabouret, Mickalene Thomas, Nicola Tyson and Lisa Yuskavage.

Women painting women

Faith Ringgold, née le 8 octobre 1930 à Harlem est une artiste afro-américaine connue pour ses peintures mosaïques et ses courtepointes.

J'ai toujours voulu raconter mon histoire - ou, plus précisément, mon côté de l'histoire.

L'art est une forme d'expérience de la personne, du lieu, de l'histoire des gens, et en tant que Noirs, nous sommes différents. Nous venons de l'Afrique à l'Amérique, donc la culture est mélangée, de l'Africain à l'Américain. On ne peut pas laisser tomber ça. Cela se reflète dans la musique, la danse, la poésie et l'art.

Je pense que j'avais frappé une combinaison d'images et de politique qui ont fonctionné.

Différentes personnes se plaignaient, et je me souviens avoir dit: «Pourquoi ne faisons-nous pas simplement démontrer? Le Whitney a été le premier.

La raison pour laquelle j'ai commencé à faire des quilts est parce que j'ai écrit mon autobiographie en 1980 et que je n'ai pas pu la publier parce que je voulais raconter mon histoire, et mon histoire ne semblait pas appropriée pour les femmes afro-américaines.

Il y avait beaucoup de panneaux d'arrêt dans ma vie ... Les gens vous disaient quoi faire, quand le faire, et ainsi de suite.

J'ai juste l'impression d'être la personne la plus chanceuse du monde pour pouvoir faire ce que j'aime et pouvoir le faire tous les jours si j'aime, tu sais, je veux dire que c'est génial, j'adore ça.

Je me souviendrai toujours lorsque les étoiles sont tombées autour de Meand m'ont soulevé sur le pont de George Washington.

J'ai eu cette idée que je voulais faire ce mélange de visions des femmes afro-américaines et des visions des hommes afro-américains. Et appelez-le «les hommes» et appelez-le «les femmes» et montrez des visages différents de ces deux personnes.

Vous ne pouvez pas vous asseoir et attendre que quelqu'un dise qui vous êtes. Vous devez l'écrire et le peindre et le faire

Chaque fois que les gens luttent, ils survivent, ils font mieux, puis ils oublient, et ils se retrouvent d'où ils sont partis.

Je pense que cela a été un avantage pour moi parce que je pense que la plupart des gens comprennent les courtepointes et pas beaucoup de gens comprennent les peintures. Mais pourtant ils en regardent un.

Il est tellement triste qu'il fasse tellement de temps aux gens pour comprendre ce qui doit arriver pour être libre.

Il y avait des gens qui se plaindraient de leur travail, et ma mère s'éloignerait de ce travail. J'ai beaucoup aimé ça. C'était une femme très, très créative, et finalement, elle a cessé de travailler à l'extérieur de la maison, et elle avait juste ses propres clients pour lesquels elle a fait des vêtements.

Peintures, les gens ne comprennent vraiment pas ... ils n'ont pas vraiment de peintures. Les courtepointes qu'ils comprennent parce que tout le monde a une courtepointe dans leur maison.

Je suis devenu féministe parce que je voulais aider mes filles, d'autres femmes et moi-même aspirer à quelque chose de plus qu'un endroit derrière un homme bon.

Aucun autre champ créatif n'est aussi fermé à ceux qui ne sont pas blancs et masculins que les arts visuels. Après avoir décidé d'être un artiste, la première chose que je devais croire, c'est que moi, une femme noire, je pouvais pénétrer la scène artistique, et que, plus loin, je pourrais le faire sans sacrifier un iota de ma noirceur ou ma féminité ou mon humanité.

Les femmes noires n'ont jamais embrassé le féminisme. Ils ne l'ont pas adopté dans les années 50 et 60; Ils ne l'embrassent pas maintenant. Ce n'est pas nouveau. Je pense que c'est une tendance parmi les femmes en général à ne pas se soutenir mutuellement.

Je me souviens que personne n'est jamais sorti de la porte qui n'était pas bien habillée, même si c'était la dépression. Je me souviens particulièrement dimanche, le jour où nous sommes tous allés à l'église, si vous ne l'avez pas eu ensemble, vous êtes en quelque sorte resté dans la maison.

Je ne suis pas si présomptueux de sentir qu'ils vont l'obtenir tout de suite, j'ai exactement ce que j'ai en tête. J'espère qu'ils apprécieront de le regarder en tout cas, quoi qu'il en soit. Et c'est pourquoi j'ai commencé à écrire des histoires sur mon travail.

Je fonctionnais à une époque où les gens se débattaient, et ils savaient qu'ils devaient lutter et je faisais partie de cette lutte. Ce n'était pas seulement des femmes.

Je ne suis pas assez présumé pour sentir que les gens vont ressentir ce que j'ai en tête, alors je raconte une histoire, vous savez, laissez-les lire quelque chose, qui ne change pas, que comme je l'ai dit, vous savez, C'est donc ce que je ressens au sujet du spectateur, le spectateur a son propre esprit et leurs propres yeux et ils vont le voir à leur façon, j'espère juste qu'ils regardent.

Je ne pense pas que vous puissiez créer de l'art par colère; Il doit sortir d'une forme de compréhension. Vous devez vous sentir bien à propos de qui vous êtes et que vous pourriez faire quelque chose pour changer les choses.

Les enfants sont si talentueux. Les petits enfants, jusqu'à l'âge de 10 ou 11 ans, ne sont que de petits artistes. Ils doivent avoir le temps et l'espace et les matériaux pour faire leur travail. C'est tout ce dont ils ont besoin.

Parce que le masque est votre visage, le visage est un masque, donc je pense au visage comme un masque à cause de la façon dont je vois les visages proviennent d'une vision africaine du masque qui est la chose que nous transportons avec nous , c'est notre présentation, c'est notre front, c'est notre visage.

https://fr.wikipedia.org/wiki/Faith_Ringgold

Ses oeuvres