Je pense que, avec «Pride», j'ai toujours su que c'était quelque chose d'incroyable à cause des gens qui y étaient et de l'histoire et de la façon dont il a été écrit et qui dirigeait. Quiconque dans ce casting savait que c'était spécial.

Mes pieds sont toujours au sol. Ma famille et mes amis m'assurent d'y rester.

J'ai travaillé dans un restaurant et dans un vestiaire de boîte de nuit.

C'est terrifiant, les médias sociaux. Ça me terrifie.

Mon grand-père était un mineur. Mon père, mon frère et mes oncles travaillent tous dans l'industrie.

Même si j'ai Twitter, je ne l'utilise que pour dire: «Oh, cela sort». Je n'explorerais jamais rien sur moi, vraiment.

Je sens passionnément que les opportunités que j'ai eu devraient être accessibles à tous.

Tout le monde a droit à son opinion et vous aimez ce que vous aimez. Mais je me sentais comme avec «Pride», certainement lorsqu'il est sorti en Amérique, il y avait certaines choses qui se sont déroulées avec le marketing où je pensais que nous nous appuyons sur toute l'ambiance de ce domaine.

J'ai eu la chance de passer en quelque sorte différents médiums, différentes vibrations et genres.

Cela fait partie de la magie de «Game of Thrones», tous les secrets.

Le football est mon véritable amour. J'ai joué avec des garçons jusqu'à l'âge de 11 ans, puis pour un club de filles à Middlesbrough jusqu'à l'âge de 16 ans.

Je pense constamment que je vais découvrir n'importe quelle seconde. Certains des trucs fous qui vous traversent la tête. Une fois que vous avez passé de la scène, c'est tout: ça va dans la télé et qu'il y a maintenant que vous pouvez faire à ce sujet! C'est vraiment effrayant.

Je suis d'un sel de la terre du sel, de la classe ouvrière et du fond du Nord. Mon père est un travailleur en acier et un pompier, et ma mère est secrétaire du NHS.

J'ai vraiment adoré faire «l'amour, Nina». J'étais dans chaque scène, ce qui était incroyable. Bloody Hell, quel travail!

Nous sommes une famille ouvrière typique du Nord, grande dans notre football ... personne dans la famille ne faisait partie. Mais je me souviens avoir vu un panto quand j'avais environ six ans et que je pensais: "Ouais ... ça ne me dérangerait pas de faire ça."

Je ne m'attendais pas à ce que je fasse autant d'emplois que moi. Je sais que tout le monde le dit, mais je pensais que je serais assis dans mon pantalon en attendant que quelqu'un me sonne. Ensuite, peut-être que dans les cinq ans, je pourrais avoir quelque chose.

Il n'y avait pas d'installations théâtrales à la composition où je suis allé, mais j'avais des professeurs incroyables qui n'ont jamais cessé de m'encourager.

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