La tâche cruciale de la vieillesse est l'équilibre: garder juste assez bien, juste assez courageux, juste gay et intéressé et nettement honnête pour rester un être humain sensible.

Elle [une mère] ne dépasse jamais le fardeau de l'amour, et à la fin, elle porte le poids de l'espoir pour ceux qu'elle a portés. Curieusement, très étrangement, elle est à jamais surprise et même légèrement légèrement lésée que ses fils et ses filles ne sont que des gens, car de nombreuses mères espèrent et à moitié s'attendent à ce que leur nouveau-né améliorera le monde, sera en quelque sorte un rédempteur. Peut-être ont-ils raison, et ils peuvent croire que la qualité rare qu'ils ont entrepris chez l'enfant est active chez l'adulte chargé.

Notre âge est si grégaire qu'il y a actuellement un préjudice marqué contre quiconque est seul. Il est méprisé, et un besoin d'être seul est presque considéré comme une faute, une faiblesse, comme si l'on ne pouvait pas supporter - plus - profiter d'être avec d'autres personnes chaque minute, on est à l'écart, irréel et en quelque sorte à pitié.

L'admiration est un des principaux plaisirs de la vie.

La vie ne vous fait pas accommoder, elle vous brise. Il est censé le faire, et il ne pouvait pas le faire mieux. Chaque graine détruit son récipient, sinon il n'y aurait pas de fruit.

La vie ne vous accueille pas, elle vous brise. Il est censé le faire, et il ne pouvait pas le faire mieux. Chaque graine détruit son récipient, sinon il n'y aurait pas de fruit.

À mesure que nous vieillissons, nous sommes plus vivants que cela semble probable, pratique ou même Bearble. Trop souvent, notre problème est la ferveur de la vie en nous. Mes chers compatriotes octogénaires, comment porter autant de vie, et que devons-nous en faire?

Faire ceux que nous aimons heureux semble innocent comme une colombe, mais cela peut être aussi destructeur qu'un lion.

Il semble parfois que la femme ne soit pas une femme à moins que l'homme ne s'y insisse, car elle s'occupe si nettement d'être un être humain lorsqu'il est loin des hommes, et ce n'est que sur leur approche qu'elle commence à jouer son rôle requis.

On n'ose guère dire que l'amour est le cœur de la relation, bien que l'amour soit recherché et créé en relation; L'amour est plutôt la merveille quand elle est là, mais elle n'est pas toujours là, et en connaître une autre et être connue par une autre - c'est tout.

Le linoléum de mon cuisine est si noir et brillant que je valse pendant que j'attends que la bouilloire bouille. Ce plaisir est pour les anciens qui vivent seuls.

Réclamez les événements de votre vie! Lorsque vous possédez tout ce que vous avez été et fait, vous êtes féroce avec la réalité.

Je me demande si vivre seul en fait un plus vivant. Aucune énergie précieuse ne va en désaccord ou en compromis. Pas besoin d'augmenter les autres, il y a juste vous-même, juste la vérité - un morceau - et vous.

La vie est un mystère tragique. Nous sommes percés et motivés par les lois que nous ne comprenons que à moitié, nous constatons que la leçon que nous apprenons encore et encore est celle d'accepter l'impuissance héroïque.

L'âge me laisse perplexe. Je pensais que c'était une période calme. Mes années soixante-dix étaient intéressantes et assez sereines, mais mes années quatre-vingt sont passionnées. Je deviens plus intense en vieillissant. À ma propre surprise, j'ai éclaté de conviction. Il y a quelques années seulement, je jouissais de ma tranquillité ; maintenant je suis tellement perturbé par le monde extérieur et par la qualité humaine en général que je veux arranger les choses, comme si j'avais encore une dette envers la vie. Je dois me calmer. Je suis bien trop frêle pour me livrer à la ferveur morale.

On ne peut pas être honnête même à la fin de sa vie, car personne n'est entièrement seul. Nous sommes liés à ceux que nous aimons, ou à ceux qui nous aiment, et à ceux qui ont besoin de nous pour être courageux, ou du contenu, ou même assez heureux pour leur permettre de ne pas s'inquiéter pour nous. Nous devons donc nous abstenir de faire de la douleur, comme notre dernier cadeau à nos camarades.

Dans la très vérité, les jours sont presque gratuits, et si c'est une autre façon de dire que nos vies sont vides, eh bien - il y a des jours où le vide est spacieux et que la non-existence s'élève. . .

Un autre secret que nous portons est que bien que terne à l'extérieur - épave à l'œil, miroir d'une mortification - à l'intérieur nous flamboyons d'une vie sauvage presque incommunicable.

La différence d'opinion n'a jamais été suffisamment appréciée. C'est l'inattendu, l'inconnaissable, l'irrationalité divine de la vie qui nous sauve.

La colère doit être l'énergie qui n'a pas encore trouvé sa chaîne de combat.

L'ordre, la propreté, le bien-être font une structure qui est à moitié support, à moitié rituel et - si elle ne le crée pas - maintient la décence.

Vous n'avez qu'à réclamer les événements de votre vie pour vous faire le vôtre. Lorsque vous possédez vraiment tout ce que vous avez été et fait, ce qui peut prendre un certain temps, vous êtes féroce avec la réalité. Quand en dernier âge vous a assemblé ensemble, ne sera-t-il pas facile de tout laisser aller, vécu, équilibré, terminé?

Je veux dire aux gens approcher et peut-être craindre la vieillesse que ce soit une période de découverte. S'ils disent "de quoi?" Je ne peux répondre que "nous devons le découvrir par nous-mêmes, sinon ce ne serait pas une découverte."

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