Franca Sozzani, née le 20 janvier 1950 à Mantoue et morte le 22 décembre 2016 à Milan, est une journaliste de mode italienne et rédactrice en chef de l'édition italienne du magazine Vogue de 1988 à sa mort.

Lorsque nous avons lancé notre site [Vogue] il y a environ cinq ans, j'avais déjà commencé ce processus sur papier. Nous construisons maintenant un énorme portefeuille de photos, nous avons téléchargé deux millions de photos et nous avons trois personnes qui les examinent.

Nous manquons d'une organisation qui soutiendra la Fashion Week. La semaine de cinq jours montre un manque de vision et que nous ne sommes pas en mesure de respecter le respect. Je ne dis pas que c'est la faute de quelqu'un en particulier, c'est notre faute. Nous avons la plus forte concentration de marques, comment pouvons-nous accueillir tout le monde en quatre ou cinq jours?

La seule fois où j'ai été vraiment surpris, c'est la réaction à la [pousse dédiée à l'huile de BP] [déversement en 2010]. Je ne m'y attendais pas du tout. C'était pour le numéro d'août, peut-être l'un des mois les moins pertinents, mais il y avait tellement de buzz. Il a été ramassé partout à la télévision américaine, mais j'ai défendu ma position. Je ne comprends pas ceux qui disent qu'un magazine comme Vogue ne devrait pas parler de ces choses.

Vous pouvez vous lasser de tout, tout s'allonge, mais je veux donner aux gens la possibilité de partager une fête de vogue. Il appartient aux marques de participer pour rendre l'événement intéressant. Je suis satisfait, mais il est important de ne jamais s'arrêter.

Je suis un grand partisan de [Matteo] Renzi, il est jeune, il sait communiquer, c'est notre grand espoir.

Je ne comprends pas "le petit monde du passé" [une référence au titre du livre d'Antonio Fogazzaro] qui est destiné à mourir.

J'ai commencé à entrer dans une série de problèmes avec lesquels je ne m'étais jamais occupé - l'eau, la production, l'emploi. J'apprends. Vous pouvez faire tellement de choses. Cependant, je ne me sens pas coupable de bien vivre ici.

Savez-vous quand vous allez à un dîner très ennuyeux et que vous vous asseyez et vous avez la chance de parler avec quelqu'un et c'est tellement intéressant que vous apprenez tellement ce soir-là que vous retournez et dites: "Oh, enfin, j'ai rencontré quelqu'un Qui m'a inspiré "? J'aime ça.

La mode a toujours été très généreuse. Pensez à ce qu'il a fait pour guérir les aides.

Je vivais dans le moment où le féminisme est sorti, et je pense que ce n'est qu'à travers le travail que les femmes font aujourd'hui qu'elles font mieux que les hommes. Il est donc important que vous soyez une féministe dans votre esprit, mais que vous ayez parfois une attitude comme les hommes.

[Patrizio Bertelli ou Gildo Zegna] sont des individus qui sont superbe, voyageant tout le temps. Vous ne pouvez pas penser qu'ils auront le temps d'assister à toutes les réunions.

Je ne programme jamais rien, je décide à la dernière minute.

Mon point de vue n'est pas seulement de trouver de jeunes talents, c'est aussi pour les soutenir.

À New York, il y a entre quatre et six grands designers et les spectacles durent une semaine. Il y a quelque chose qui ne va pas ici. C'est notre faute. Nous ne pouvons pas le défendre. Ils prennent nos annonces, n'est-ce pas? Pourquoi ne veulent-ils pas rester plus longtemps à Milan? Pourquoi devons-nous nous conformer? Nous avons les plus belles marques, ce sont des Italiens.

Pensez à Instagram. Le journalisme continuera d'exister, mais la communication est désormais visuelle.

Je n'aime pas les fashionistas. Ils ne portent que la marque. Vous voulez devenir fashionista? Facile! Dépenser de l'argent.

Les médias sociaux sont fondamentaux pour communiquer et comprendre ce qui se passe dans le monde. C'est un point de vue et un commentaire immédiat.

Je suis très favorable à la bourse, à une vente, à ce qui est utile pour se développer, à maintenir des emplois, à faire en Italie. Cela n'a aucun sens et il est paroissial de penser le contraire. Les investisseurs peuvent être français, russes, tant qu'ils aident une entreprise à se développer.

Vous savez, je peux être très difficile dans mes réponses, et c'était bon pour le magazine car cela ne mélangeait pas les points de mise au point - c'était pour être extravagant, expérimental, innovant. Mais le site Web l'a rendu plus humain. Le site Web est donc bon pour le magazine.

Milan montre un visage nouveau et différent. À Porta Nuova aussi, quand ils ont commencé la construction, tout le monde était en armes, disant que Milan allait perdre son caractère.

Il y a des concepteurs là-bas, nous devons penser à la production, mais je ne change pas en Afrique. Mais si nous faisons tous quelque chose ensemble ... nous devons connaître nos limites, je n'ai pas la prétention que je puisse changer le monde. Et je ne veux pas organiser des événements [pour collecter des fonds]. Parce que ce qui se passe si l'année suivante, ils n'ont pas d'événement, ils ne mangeront pas?

C'est un choix que j'ai fait il y a 26 ans lorsque j'ai rejoint le magazine. Vogue était en italien mais je voulais parler à tout le monde, alors j'ai pensé à créer des images qui ont été faites pour parler.

Tout m'inspire. Ce pourrait être un film. Ce pourrait être un livre. Ce pourrait être une maison. Cela pourrait être un mot - je vais penser pendant des heures et des heures à environ un mot. Ça pourrait être n'importe quoi.

Je pense très fortement à Expo et tout va bien. Nous avons vu de gros problèmes avec les scandales [de corruption] [au niveau local], mais cela va de l'avant, avec le plus grand nombre de participants jamais attendus.

Je pense que je suis toujours très enthousiaste à propos de tout ce que je fais. Je suis toujours très passionné. Je ne me sens jamais fatigué parce que je me sens si impliqué et si commuté, donc je l'apprécie. Et tu sais quoi? J'ai beaucoup d'ironie. J'adore l'humour, et quand je veux vraiment dire vraiment: "Tu sais quoi? Je ne supporte pas tout ça", je trouve une manière ironique. Je dis: "Vous savez, peut-être que vous présumez être plus intelligent que vous." Je réponds donc d'une manière plus humoristique.

J'essaie de renouveler et de créer quelque chose de nouveau à chaque fois.

La mode est un miroir de l'époque où nous vivons. Pourquoi le magazine devrait-il être déconnecté de la réalité? Ce n'est pas comme dans le passé.

https://fr.wikipedia.org/wiki/Franca_Sozzani

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