"J'ai enlevé le cran, dans ma poche.
J'ai glissé du tabouret. Ils n'attendaient que ça. J'ai tout de suite eu Riton la Limace sur les bras. Il a sorti son lingue. II a frappé, en remontant. Il m'a raté. D'un poil. Ça suffisait. II a eu ma droite dans la gueule et mon genou, aussi sec, dans les siamoises. J'ai entendu que ça craquait. C'était un mec qui devait faire de la décalcification. Alors, j'ai plus attendu. Je lui ai foutu deux coups de boule dans la tête.
Il a commencé à saigner. J'avais son raisiné, tout poisseux, sur la gueule. C'était bon." Un chef-d'oeuvre, tout en argot.

Faut toutes les buter !

Cet ouvrage est une réédition numérique d'un livre paru au XXe siècle, désormais indisponible dans son format d'origine.

1792-1794 : la Terreur, mode d'emploi

On sait que tu fais partie de l'O. A. S... Qui sont tes chefs ?... Où est Salan ? Accablé les poignets doloureusement entravés par les menottes, le corps pantelant sous les coups de ses tortionnaires, l'homme se tait. Radio-électricien, Alexandre Tislenkoff était le réalisateur, le technicien des émissions-pirate de l'O. A. S. à Alger. La prise était bonne ! Mais les Barbouzes ont été joués ; malgré les tortures, le chantage, Tislenkoff a tenu bon. Le 29 janvier, à 16 heures, rue Fabre à Alger, sur les hauteurs d'El Biar, une formidable explosion fait sauter la villa « Andréa », repaire des Barbouzes, en tuant près d'une vingtaine. Prisonnier de ces hommes, c'est par miracle que Tislenkoff en sort vivant. Et ce sera la rencontre avec le mystérieux Lemarchand. Récit sans passion de faits strictement véridiques, le témoignage d'Alexandre Tislenkoff restitue l'un des aspects les plus curieux - et les moins controversés - des activités du député barbouze Lemarchand. C'est un témoignage que l'on conservera précieusement.

J'accuse Lemarchand

Ce récit, qui est la suite de « Jules l'imposteur », est resté inachevé. La première partie est parue dans Itinéraires, numéros 280 à 289. La deuxième partie dans Itinéraires numéros 292 à 299. La troisième partie - qui aurait contenu le plus important sur Combes : son action politique, la violente expulsion des religieux, l'affaire des fiches, l'affaire Syveton et la séparation de l'Église et de l'État - n'est jamais parue. - Mais les deux premières parties n'en contiennent pas moins du grand Brigneau, digne d'être sauvé de l'oubli, sur des faits tout aussi importants : la fin de Ferry, l'affaire Dreyfus, le Ralliement, l'affaire Panama, la course à la Séparation, la préparation de la persécution contre l'Église et la main mise maçonnique sur la Troisième République.

Emile l'apostat

10 juillet 1940, ces 98 Francs-Maçons qui votèrent les pleins pouvoirs au Maréchal Pétain... Envoyé spécial sur le front de l'Histoire occultée, François Brigneau a entrepris de raconter sur les derniers jours de la paix, sur la déclaration de guerre, sur ses dessous politiques, sur ce que fut cette « Drôle de guerre » sans combats, sur l'ouragan terrible du printemps, sur l'appel à Pétain, sur la mise à mort de la Troisième République par la Chambre du Front populaire, sur la naissance de l'ordre nouveau, ce qui est généralement tu et caché par les historiens conformistes. Ainsi, pour la première fois, il révèle les noms des 98 Francs-maçons qui votèrent contre la démocratie parlementaire, contre la Troisième République et pour le Maréchal Philippe Pétain, chef de l'État français.

L'année terrible : 1939-1940

Jules l´Imposteur n´est autre que Jules Ferry. Brigneau trace un portrait au vitriol de Ferry et consorts (Grévy, Buisson, Camille Sée, etc) : leur anticléricalisme plus ou moins provoquant, leur franc-maçonnerie et... leur appétit financier si intéressé par les colonies. Il fait l´historique de l´oeuvre de la Troisième République extorquant de l´âme des enfants les vérités de l´Eglise catholique. Dans un français piquant et spirituel du plus haut comique, c´est en même temps une oeuvre parfaitement historique et très bien documentée. L´auteur s´appuie sur de nombreuses citations extraites d´oeuvres de tous bords. N´omettez pas les derniers chapitres : de prime abord, ils peuvent paraître narcissiques, mais l´ultime paragraphe de conclusion, si émouvant, explique tout. Ce livre se lit d´une traite, comme un roman…

Jules l'imposteur

A quarante ans, Pierre Cadoret, avocat d'Assises réputé, retrouve Catherine qui fut la maîtresse de ses vingt ans. Tous deux s'enfuient en Bretagne, espérant revivre leurs amours d'autrefois. Entre eux, peut-être déjà s'est glissée la fille de Catherine, Brigitte, apparemment sèche et cynique, mariée à un jeune metteur en scène, surnommé Zick. Ces quatre personnages exécutent une sorte de ballet tour à tour humoristique et dramatique. D'autant plus dramatique que, soudain, s'évade un assassin que Pierre Cadoret a fait condamner. Ce roman est plus et mieux qu'un simple divertissement. Des thèmes graves affleurent, adroitement opposés. Par exemple, l'incohérence de la vie et le goût des vivants pour la logique - ou l'homme enfermé dans son travail mais n'espérant qu'en ses amours - ou encore l'importance de l'enfance et le souci de l'avenir. Mais pour tout couronner, ce roman, pourtant contemporain, se termine de la plus heureuse des façons.

Deux femmes

Mais qui est donc le professeur Faurisson ? - Une enquête, un portrait, une analyse, quelques révélations

Mon village à l'heure socialiste ? Pourquoi « mon village » ? « Mon village », c'est la France et c'est son journal. Ce marin est aussi un villageois, le bateau est au port, et Brigneau dans son village. Il colle des affiches, trouble les réunions électorales, bougonne, tire sur sa moustache, offre à boire et se régale de dire ce qu'il pense et comme il l'entend. Qu'il vous amuse ou vous fâche, écoutez-le. Avec lui à la barre, il n'y a jamais, même par gros temps, de mauvaise mer.

Mon village à l'heure socialiste

Well Allot, dit François Brigneau, né le 30 avril 1919 à Concarneau et mort le 9 avril 2012 à Saint-Cloud, est un journaliste, écrivain, éditeur et militant d'extrême droite français.
Il a également utilisé le pseudonyme de « Julien Guernec » et signé certains articles de noms de plume féminins comme « Mathilde Cruz », « Edmund W. Eallot » ou « Caroline Jones ».

https://fr.wikipedia.org/wiki/Fran%C3%A7ois_Brigneau

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