In this warm, wonderful and heartwarming sequel to Cheaper by the Dozen, the pleasure continues as the Gilbreths return, a little older, a little wi ser, but no less delightful! Father has passed away, but the antics of this resourceful clan continue unabated.

Six filles à marier

La famille Gilbreth est ce qu'on pourrait appeler une famille nombreuse : douze enfants, six garçons et six filles ! Quand on forme une telle tribu, il s'agit de ne laisser aucune place à l'improvisation. Ça tombe bien : Papa et Maman sont ingénieurs, spécialistes du rendement, et s'efforcent d'appliquer chez eux les méthodes éprouvées à l'usine. Papa Gilbreth est aussi bon vivant et possède le génie de la plaisanterie ainsi que des vues très modernes sur l'éducation des enfants (nous ne sommes qu'au début du Xxe siècle). Heureusement, car ses théories sont souvent bousculées par un sort taquin et les idées malicieuses de ses bambins qui mettent à mal ses savants calculs. La bonne humeur est toujours présente dans cette joyeuse famille qui fonctionne comme une équipe d'ouvriers spécialisés quelque peu indisciplinés ou plutôt comme une vraie petite république, où démocratie n'est pas un vain mot. Frank et Ernestine Gilbreth ont réellement vécu les aventures qu'ils relatent, puisqu'ils furent membres de cette bande de gamins, tous roux et pleins d'humour. Le genre de famille auquel on rêverait d'appartenir.

Treize à La Douzaine

Papa a pris des photos en mouvement de nous, les enfants, lavant la vaisselle, afin qu'il puisse comprendre comment nous pourrions réduire nos mouvements et ainsi se dépêcher à travers la tâche. Des emplois irréguliers, tels que la peinture du porche arrière ou le retrait d'une souche de la pelouse avant, ont été attribués à faible bille. Chaque enfant qui voulait de l'argent de poche supplémentaire a soumis une offre scellée disant pour quoi il ferait le travail. Le soumissionnaire le plus bas a obtenu le contrat.

Papa lui-même racontait une histoire sur une fois où Mère est partie pour remplir un engagement de cours et l'a laissé en charge à la maison. Lorsque Mère est revenue, elle lui a demandé si tout s'était bien passé. N'a eu aucun problème sauf avec celui-là là-bas », a-t-il répondu. «Mais une fessée l'a mis en ligne. Mère pourrait gérer toute crise sans perdre son sang-froid. Ce n'est pas l'un des nôtres, mon cher », a-t-elle dit. «Il appartient à côté.

Je fais des éloges nocturnes à mon créateur que je n'ai jamais fait de bulletin de vote pour amener cette bête paresseuse, malheureuse et mal colorée dans ce qui était autrefois ma maison. Je suis content d'avoir eu le courage d'aller enregistrer pour s'opposer à ce sac à puce illégitime et éhonté qui partage maintenant mon lit et mon planche. Vous abstiez, vous!

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