William Franklin « Frank » Knox, né le 1er janvier 1874 à Boston (Massachusetts) et mort le 28 avril 1944 à Washington (district de Columbia), est un homme politique américain. Membre du Parti républicain, il est le candidat de son parti à la  vice-présidence des États-Unis lors de l'élection présidentielle de 1936 puis secrétaire à la Marine entre 1940 et 1944 dans l'administration du président démocrate Franklin Delano Roosevelt.

Je crois de tout mon cœur que la civilisation n'a produit rien de plus fin qu'un homme ou une femme qui pense et pratique la vraie tolérance. Quelqu'un a dit que la plupart d'entre nous ne le pensaient pas, nous réorganisons occasionnellement nos préjugés. Et je soupçonne que même aujourd'hui, avec tous les progrès que nous avons réalisés dans la pensée libérale, la qualité de la vraie tolérance est aussi rare que la qualité de la miséricorde. Le fait que les hommes de toutes les croyances aient des objectifs communs fondamentaux est un fait que l'on doit apprendre par le processus d'éducation. Comment travailler conjointement vers ces objectifs doit être appris par l'expérience.

Je soupçonne que même aujourd'hui, avec tous les progrès que nous avons réalisés dans la pensée libérale, la qualité de la vraie tolérance est aussi rare que la qualité de la miséricorde.

Dieu n'avait pas l'intention que la famille humaine soit parlée au ciel sur des lits fleuris de facilité.

La guerre moderne est une entreprise complexe pour laquelle personne ne sait tout et peu en savent beaucoup.

Nous et nos alliés doivent et reconnaissons une dette de gratitude toujours durable aux armées et au peuple de l'Union soviétique.

Il est tout simplement impensable que nous enverrions à nouveau à l'étranger une grande force expéditionnaire d'hommes armés.

Peu importe ce qui se passe, la marine américaine ne sera pas surpris à faire la sieste.

Si les générations futures nous demandent pour quoi nous nous battons [pendant la Seconde Guerre mondiale], nous leur raconterons l'histoire de la Lide.

Quelqu'un a dit que la plupart d'entre nous ne le pensaient pas, nous réorganisons occasionnellement nos préjugés.

Je crois de tout mon cœur que la civilisation n'a produit rien de plus fin qu'un homme ou une femme qui pense et pratique la vraie tolérance.

Le patriotisme était un feu vivant de croyance et de but incontestés.

Ses oeuvres