Baffled by the sudden rise of a powerful centre of industrialisation in the south of Ireland, Intelligence in London send a young Cambridge graduate, Thomas Sherwood, to study this phenomenon. He travels as a student, and makes his way to that part of Kerry where Ossian is said to have made his famous ride.

Ossian's Ride

Sequel to Rockets in Ursa Major
From a great distance the Yela's recorded message crackled through on the micro-earpiece: 'For the time being you have won. But I am not defeated so easily.'
That had been three years ago, after Dick Warboys had repulsed the invading Yela by firing a lithium bomb into the Sun. But now that threat seems near fulfilment as appalled scientists detect the rapid approach of a vast, engulfing cloud of hydrogen. Can humanity survive on Earth or must selected pioneers abandon it in search of a safer region of the Galaxy?
To find the answer Dick and his allies from Space suffer a perilous voyage into the realms that reach the ultimate in understanding the physical universe.

Into Deepest Space

Un objet, sphérique. Un nuage interstellaire, bombe gazeuse à l'échelle du système solaire fonçant droit sur nous et à toute vitesse. Menaçant de sa seule présence toute vie sur terre. Quand autour de Chris une poignée d'astronomes aussitôt réunie l'ausculte, le sonde, observe son approche, c'est pire. Le Nuage déjoue toutes les prévisions. Il est contrôlé. Vivant, peut-être ? Conscient ? Que faire ? Et que faire contre la menace, non moins redoutable, de l'incurie politique ? Machiavélisme et culot sidérant ne seront pas de trop face aux politiciens, Premier ministre en tête... Chasser le Nuage. Stopper l'extinction de l'humanité. Ce roman de 1957, dû à la plume alerte et visionnaire de l'astronome mondialement connu qu'était Fred Hoyle (c'est à lui qu'on doit le terme "big bang" !), nous met dans l'intimité du monde nocturne et en trépidation intellectuelle insatiable des astronomes. Et nous régale sans retenue d'un humour féroce aux dépens de nos politiciens, qui dans ces pages trouvent leur maître.

Le nuage noir - Suivi de Et si c'était possible ?

Home Is Where The Wind Blows. Chapters From A Cosmologist'S Life, Edition En Anglais

Au Plus Profond de L'Espace

Les Yéla, qui s'apprêtaient à détruire la Terre, font soudain demi-tour, sans raison apparente, et s'enfuient. Les gouvernements du monde mettent aussitôt sur pied la plus grande armada de vaisseaux spatiaux jamais réunie et lui confient une mission simple : traquer les Yéla où qu'ils se trouvent et les anéantir. Dick Warboy et ses amis repèrent un navire ennemi en détresse et décident de le prendre en remorque. Mais qui remorquera qui, en définitive ? Et vers quels pièges, tendus dans les profondeurs de l'espace ?

Au plus profond de l'espace

Fast-paced novel written with wry humour by the father-son team, set in London and Scotland, in Australia and the University of Virginia, Charlottesville, about facing imminent natural catastrophe, from a quasar in the sky.

Inferno

Fred Hoyle, né le 24 juin 1915 à Bingley, Yorkshire et mort le 20 août 2001 à Bournemouth, est un cosmologiste et astronome britannique. Il est le principal détracteur de la théorie du Big Bang à laquelle il oppose sa théorie de l'état stationnaire. Pour la dénigrer dans une série d'émissions radiophoniques des années 1950, il invente le terme « Big Bang »,. Cela plaît au grand public et devient le terme désignant cette théorie.

La science est une prédiction, pas une explication.

Une interprétation des faits fondée sur le bon sens suggère qu'un superintellect a manipulé la physique.

Une casse contient tous les morceaux d'un Boeing 747, démembrés et en désordre. Un tourbillon de vent traverse la cour. Quelle est la probabilité qu'après son passage, un 747 entièrement assemblé et prêt à voler soit retrouvé là ? Cette probabilité est si faible qu'elle est négligeable, même si une tornade traversait suffisamment de dépôts de ferraille pour remplir tout l'univers.

Une interprétation sensée des faits suggère qu'un superintellect a manipulé la physique, ainsi que la chimie et la biologie, et qu'il n'y a pas de forces aveugles dignes de ce nom dans la nature. Les chiffres que l'on calcule à partir des faits me semblent si accablants qu'ils mettent cette conclusion presque hors de question.

La science aujourd'hui est enfermée dans les paradigmes. Chaque avenue est bloquée par des croyances qui sont fausses, et si vous essayez de publier quelque chose par un journal aujourd'hui, vous courez contre un paradigme et les éditeurs le refuseront

Je ne vois pas la logique de rejeter les données simplement parce qu'elles semblent incroyables.

Une fois que j'ai appris ma table de douze fois (à l'âge de trois ans), c'était en descente tout le long.

Imaginez 1050 aveugles chacun avec un cube Rubik brouillé, et essayez de concevoir la chance d'eux tous en arrivant simultanément à la forme résolue. Vous avez ensuite une chance d'arriver par des mélanges aléatoires, d'un seul des nombreux biopolymères dont dépend la vie. L'idée que non seulement les biopolymères mais le programme de fonctionnement d'une cellule vivante pourraient être arrivés par hasard dans une soupe organique primordiale ici sur la terre est évidemment non-sens d'un ordre élevé.

Je ne vois pas la logique de rejeter les données simplement parce qu'elles semblent incroyables ... L'établissement se défend en compliquant tout au point d'incompréhensibilité.

Les théories antérieures ... étaient basées sur l'hypothèse que toute la question dans l'univers a été créée en un seul big bang à un moment donné dans le passé éloigné. [Inventer l'expression du "big bang".]

Il y a un plan cohérent dans l'univers, bien que je ne sache pas à quoi il s'agit d'un plan.

Une fois que nous voyons, cependant, que la probabilité de vie provenant au hasard est si complètement minuscule qu'elle la rend absurde, il devient judicieux de penser que les propriétés favorables de la physique, dont la vie dépend, sont à tous égards délibérées ... Il est donc presque inévitable que notre propre mesure de l'intelligence reflète une intelligence plus élevée - même à la limite de Dieu.

Les choses sont ce qu'elles sont parce qu'elles étaient comme elles étaient.

L'homme qui voyage des mers étranges doit nécessairement être un peu incertaine de lui-même. C'est l'homme avec l'air flashy de tout savoir, qui est toujours avec lui, dont nous devons nous méfier.

Non loin du lieu de la réunion, lors de l'une des célèbres réunions de thé du club de l'observatoire, Fred a une fois discuté en disant: "Oh, Ooh, essentiellement une star est une chose assez simple." Et de l'arrière de la pièce a été entendu la voix de R. O. Redman, disant: «Eh bien, Fred, tu aurais l'air assez simple aussi, à partir de dix parsecs!

Un superintellect s'est moqué de la physique.

C'est une erreur d'imaginer que les hommes potentiellement formidables sont rares. Ce sont les conditions qui permettent à la promesse de grandeur d'être remplie qui sont rares. Ce qui est si difficile à réaliser, c'est le contexte culturel qui permet de convertir la grandeur potentielle en grandeur réelle.

Je ne crois pas que quelque chose de vraiment valable sortira de l'exploration du tas de scories qui constitue la surface de la lune ... personne ne devrait imaginer que l'énorme budget financier de la NASA implique que l'astronomie est maintenant bien soutenue.

La religion n'est qu'une tentative désespérée de trouver une évasion de la situation vraiment terrible dans laquelle nous nous trouvons. Nous voici dans cet univers tout à fait fantastique avec à peine un indice quant à savoir si notre existence a une réelle signification. Pas étonnant alors que beaucoup de gens ressentent le besoin d'une certaine croyance qui leur donne un sentiment de sécurité, et pas étonnant qu'ils deviennent très en colère contre des gens comme moi qui disent que c'est illusoire.

J'ai toujours pensé qu'il était curieux que, alors que la plupart des scientifiques prétendent éviter la religion, cela domine en fait leurs pensées plus que le clergé.

C'est dans le monde des idées et dans la relation de son cerveau avec l'univers lui-même que réside la supériorité de l'homme. La montée de l'homme peut être à juste titre décrite comme une aventure dans les idées.

J'ai peu d'hésitation à dire qu'en conséquence, un voile maladif raccroche maintenant à la théorie du Big Bang. Comme je l'ai mentionné plus tôt, lorsqu'un modèle de faits s'affiche contre une théorie, l'expérience montre qu'elle se rétablit rarement.

Pour des raisons scientifiques, cette hypothèse de Big Bang est beaucoup moins agréable au goût des deux. Car c'est un processus irrationnel qui ne peut pas être décrit en termes scientifiques. . . . Sur des terrains philosophiques, je ne vois aucune bonne raison de préférer l'idée du Big Bang. En effet, il me semble au sens philosophique d'être une notion nettement insatisfaisante, car elle met l'hypothèse de base hors de vue où elle ne peut jamais être contestée par un appel direct à l'observation.

Celui qui vit parmi les chiens doit apprendre à haleter.

La suggestion selon laquelle le pétrole aurait pu provenir d'une certaine transformation de poissons écrasés ou de détritus biologiques est sûrement la notion la plus idiote à avoir été divertie par un nombre substantiel de personnes sur une période prolongée.

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