As he did for Abraham Lincoln and John Quincy Adams, award-winning biographer Fred Kaplan offers a fresh, illuminating look at the life of Thomas Jefferson and his contributions as a writer. In this unique biography, Fred Kaplan emphasizes Thomas Jefferson's genius with language and his ability to use the power of words to inspire and shape a nation. A man renowned for many talents, writing was one of the major activities of the statemen's life, though much of his best, most influential writing-with the exception of the letters he wrote up to his death, numbering approximately 100, 000-was done by 1789, when Jefferson was just forty-six. All of his works-from his earliest correspondence; his essays and proclamations, including A Summary View of British America, The Declaration of Independence, and Notes on the State of Virginia; his religious and scientific writings; his inaugural addresses; his addresses to Indian nations; and his exchanges with Washington, Madison, Hamilton, John and Abigail Adams, and dear friends such as Maria Cosway-demonstrate his remarkable intelligence, prescient wisdom, and literary flair and reveal the man in all his complex and controversial brilliance. In His Masterly Pen, readers will find a new appreciation of Jefferson as a whole, of his strengths and weaknesses, and particularly of the degree to which his writing skills-which James Madison admired as "the shining traces of his pen"-are key to his personality and public career. Though Jefferson could wield his pen with unrivaled power, he was also a master of using words to both reveal and conceal from others and himself the complications, the inconsistencies, and the contradictions between his principles and his policies, between his head and his heart, and between his optimistic view of human nature and the realities of his personal situation and the world he lived in.

His Masterly Pen - A Biography of Jefferson the Writer

Charles Dickens (1812-1870) est peut-être le romancier le plus populaire que le monde ait connu. Son succès fut immense et, de son vivant, il était en Angleterre aussi célèbre que la reine Victoria. Il eut une enfance relativement malheureuse _ père irresponsable emprisonné pour dettes, mère frivole, travail forcé dans une fabrique de cirage _ qui devait, des années plus tard, ressurgir dans les personnages inoubliables d'Olivier Twist, de David Copperfield, des Grandes Espérances, mais il perce en littérature dès 1835 avec les Esquisses de Boz, puis M. Pickwick. De son goût pour le théâtre sont nées ses fameuses lectures publiques (qu'il donna jusqu'à sa mort); de son goût _ que certains ont qualifié de macabre _ pour les bas-fonds, les hôpitaux, les morgues, l'extraordinaire peinture du Londres sordide et fascinant de l'époque victorienne que constitue presque toute son oeuvre.L'originalité extrême du livre de Fred Kaplan vient de ce que ses thèses _ sur les rapports de Dickens, souvent ambigus, avec ses proches, sur le caractère autobiographique, tout aussi ambigu, de ses personnages, sur le destin de son mariage et sa liaison avec Ellen Ternan, sur sa véhémente dénonciation des Etats-Unis après son voyage de 1840 et son soutien à la révolution de 1848, etc. _ découlent toutes de la lecture et de l'utilisation _ toujours intelligente _ d'une énorme masse de lettres, tant de Dickens lui-même que de ses familiers _ acteurs glorieux ou obscurs de la scène victorienne.Professeur d'anglais à Queens College et à la City University of New York, Fred Kaplan est l'auteur d'une biographie de Carlyle, mais c'est à Dickens qu'il a consacré l'essentiel de son temps et de son énergie _ depuis un premier article paru il y a trente ans, suivi, en 1975, par un essai sur Dickens et le mesmérisme. La présente biographie est le couronnement de ce travail.

Charles Dickens

Je ne suis pas un expert de Lincoln, plutôt un biographe qui a eu le plaisir de lire une grande partie de ce qui a été écrit sur lui de sa vie à cette année de son bicentenaire. Quelques conseils: n'essayez pas cela à moins que vous ne disposiez au moins cinq ans.

J'ai bien connu Gore Vidal, à l'avant et personnel: ses magnifiques forces et ses faiblesses épouvantables et presque d'un autre monde.

Dans sa vie, Charles Dickens était comme le reste d'entre nous, mais peut-être plus: une autre âme pauvre et merveilleuse tentant de faire face à la douleur et à la confusion du monde et de la meilleure façon qu'il savait comment.

Lincoln se distingue de tous les autres présidents, à l'exception de Jefferson, en ce sens que nous pouvons être certains qu'il a écrit chaque mot auquel son nom est attaché.

Obama est un très bon écrivain avec une excellente maîtrise de la langue. Ses mémoires «Dreams From My Father» sont un beau livre, mais il ne se classera pas comme l'une des grandes autobiographies.

La lecture du «colonel Roosevelt» d'Edmund Morris est un voyage enrichissant, car il doit également l'être pour son auteur, qui conclut sa saga en trois volumes commencée en 1980 avec la publication de «The Rise of Theodore Roosevelt».

Une recommandation aux universitaires : n'écrivez qu'un seul livre sur Lincoln ; donnez-lui votre meilleur coup, puis passez à autre chose.

Le défi d'un président lui-même a du mal à trouver la conjonction entre les bonnes mots et l'expression honnête, l'utilisation du langage qui respecte l'intellect, la vérité et la sincérité, a été largement abandonnée.

Les biographies graves doivent avoir une base historique en fait.

Un grand artiste peut-il être mesquin, cupide, dur avec sa famille, violent dans ses émotions, vindicatif dans ses haines, un canaille à tout faire ? Si nos cas de test sont comme Wagner, Picasso et, permettez-moi de dire, Dickens, la réponse est un oui retentissant.

"Colonel Roosevelt" est une lecture fascinante et Morris un brillant biographe qui pratique son art au plus haut niveau.

J'ai commencé comme écrivain de fiction, mais personne ne voulait publier mon travail de jeune homme. J'ai donc décidé de mettre mon intérêt pour l'écriture narrative des biographies.

La valeur de «The Fiery Trial» d'Eric Foner réside dans son examen complet du matériel principalement familier; dans son évaluation raisonnable de la gamme complète d'informations déjà disponibles sur Abraham Lincoln et l'esclavage; et dans la minutie habile de sa bourse.

Lincoln était le double de notre politique.

Les mots sur Lincoln remplissent une petite bibliothèque en pleine croissance.

Gore Vidal était un homme d'immense talent littéraire, dont certains il utilisait bien, dont certains il a gaspillé.

Y a-t-il vraiment une relation entre la conduite personnelle des artistes et leur art? Certainement pas.

Je veux contribuer à la culture et garder les grands écrivains en vie en racontant les histoires de leur vie.

L'histoire politique n'est pas le seul moyen d'approcher les personnalités historiques.

Lincoln est un génie de la langue et un brillant écrivain qui mérite d'être vu comme faisant partie du canon des grands écrivains dans la littérature américaine.

J'ai d'abord écrit une biographie de Thomas Carlyle, et il s'est avéré que j'adorais écrire des biographies et que j'avais un talent pour cela. Je croyais que j'avais une contribution à faire.

Créer un crédit à Lincoln pour la progression morale semble au-delà des faits et inutile pour notre appréciation de ce plus grand des présidents américains.

Avec tout le respect dû aux reconstituteurs, je considère la guerre civile trop tragique comme un sujet pour faire un jeu.

Nous nous rendons un mauvais service lorsque nous massons le dossier égoïste.

Ses oeuvres

Ses derniers livres