Parmi les oeuvres qui inaugurent le "tournant linguistique" de la pensée contemporaine, l'Herméneutique de Schleiermacher (1768-1834), théologien, philosophe, philologue, selon les catégories de l'époque, tient une place essentielle. Conçue en pleine expansion de l'idéalisme allemand, mais pour une large part contre lui, elle développe la première théorie du discours individuel et définit les méthodes de compréhension qui lui sont appropriées. L'observation minutieuse des mécanismes du langage y va de pair avec une analyse étonnamment actuelle de leurs incidences sur le processus de formation de la formation subjective.
Entièrement revue et augmentée de deux textes sur la critique philologique, cette traduction intègre les corrections philologiques et chronologiques de l'édition critique.

Herméneutique ; pour une logique du discours individuel

Parmi les ouvres qui inaugurent le « tournant linguistique » de la pensée contemporaine, l'Herméneutique de Schleiermacher (1768-1834), théologien, philosophe, philologue, selon les catégories de l'époque, tient une place essentielle. Conçue en pleine expansion de l'idéalisme allemand, mais pour une large part contre lui, elle développe la première théorie du discours individuel et définit les méthodes de compréhension qui lui sont appropriées. L'observation minutieuse des mécanismes du langage y va de pair avec une analyse étonnamment actuelle de leurs incidences sur le processus de formation de la formation subjective. Entièrement revue et augmentée de deux textes sur la critique philologique, cette traduction intègre les corrections philologiques et chronologiques de l'édition critique.

Herméneutique - Pour une logique du discours individuel

Friedrich Schleiermacher (1768-1834) reste l'une des figures majeures de la pensée protestante. Publiés en première édition en 1821-1822, les deux volumes de La foi chrétienne exposée dans sa cohérence selon les principes de l'Eglise protestante ont fait date. Dans le prolongement de ses discours De la religion (1799), Schleiermacher y reprend toutes les affirmations doctrinales du protestantisme et de l'histoire des Eglises pour les discuter, les détricoter, les resituer dans une perspective marquée par la conscience de soi, cela au gré d'une démarche qui n'est pas sans rappeler la maïeutique socratique. Cette oeuvre restait inaccessible en français. La voici dans une traduction de Bernard Reymond qui se veut fidèle tout en surmontant au mieux les difficultés de sa syntaxe originale.

La cohérence de la foi chrétienne

Friedrich Schleiermacher (1768 - 1834) est l'une des figures majeures de la pensée protestante. Publiés en première édition en 1821 - 1822, les deux volumes de La foi chrétienne exposée dans sa cohérence selon les principes de l'Église protestante ont fait date. Dans le prolongement de ses discours De la religion (1799), Schleiermacher y reprend toutes les affirmations doctrinales du protestantisme et de l'histoire des Églises pour les discuter, les détricoter, les resituer dans une perspective marquée par la conscience de soi, cela au gré d'une démarche qui n'est pas sans rappeler la maïeutique socratique.

Cette oeuvre restait inaccessible en français. La voici dans une traduction de Bernard Reymond qui se veut fidèle tout en surmontant au mieux les difficultés de sa syntaxe originale.

Ce volume réunit douze études présentées par Friedrich Schleiermacher à l'Académie des Sciences de Berlin entre 1814 et 1833. Une introduction systématique situe les textes dans les débats ouverts par l'éthique kantienne et met en évidence les grands axes des positions de Schleiermacher. Les six premiers textes du recueil sont consacrés aux problèmes fondamentaux de l'éthique. Ils offrent à ce titre le seul exposé authentique du noyau systématique de l'oeuvre de Schleiermacher. Sa conception de l'éthique est originale à plus d'un titre. A l'enseigne d'une théorie du Bien suprême, l'éthique comprend l'intégra-lité de la culture (Etat, droit, économie, science, vie familiale, vie sociale, art, religion) comme les différentes modalités complémentaires dans lesquelles l'être humain tend à réaliser le Bien suprême. Pour compléter ces exposés systématiques, Schleiermacher a suggéré de traiter de façon exemplaire l'une ou l'autre des sphères dans lesquelles se réalise le Bien suprême. Ce volume a suivi cette suggestion et réunit les exposés de Schleiermacher consacrés à l'Etat et à l'art. Les douze études rassemblées dans ce volume permettent ainsi de découvrir l'originalité et l'actualité de la philosophie du romantisme dont Schleiermacher est le véritable représentant parmi les penseurs.

Conférences sur l'éthique, la politique et l'esthétique (1814-1833)

De la religion - Discours aux personnes cultivées d'entre ses mépriseurs

Herméneutique

Friedrich Daniel Ernst Schleiermacher (Breslau, 21 novembre 1768 – Berlin, 12 février 1834) est un théologien protestant et un philosophe allemand.

La première, que leurs prétentions à cette possession d'un art correctement appelé dans leur art de parler sont entièrement infondées; et le second, qu'ils sont impliqués dans une profonde erreur dans leur confusion du bien avec l'agréable.

L'essence de la religion consiste en le sentiment d'une dépendance absolue.

Car quand c'est le bien qui est à l'étude, et que l'objet éthique est prédominant, la vérité doit être plus considérée comme en référence à l'art que la science, si, c'est-à-dire l'unité doit être conservée dans l'œuvre en général.

Et, de plus, c'est l'art dans sa forme la plus générale et la plus compréhensive qui est ici discuté, car le dialogue embrasse tout ce qui s'y rapporte, depuis son plus grand objet, l'état, jusqu'à son moindre, l'embellissement de l'existence sensible.

Maintenant, la relation qui, dans la sphère de la nature, l'être et le semblant ou la sensation se portent dans cette antithèse, est la même que celle de l'éthique entre le bien et le plaisir ou le sentiment.

L'essence des émotions religieuses consiste en le sentiment d'une dépendance absolue.

La religion est l'intuition de l'univers.

La religion est le sens et le goût de l'infini.

Notre propre théorie est que le péché n'a été ordonné qu'en vue de la rédemption, et que la rédemption en conséquence se manifeste comme le gain lié au péché; En comparaison avec lequel il ne peut y avoir aucun doute quoi que ce soit du mal due au péché, car le déploiement simplement progressif et imparfait de la puissance de la conscience de Dieu est l'une des conditions nécessaires du stade humain de l'existence.

La croyance doit être quelque chose de différent d'un mélange d'opinions sur Dieu et le monde, et de préceptes pour une vie ou pour deux. La piété ne peut pas être un instinct qui a envie d'un gâchis de miettes métaphysiques et éthiques.

La vertu n'est qu'un conflit par lequel nous obtenons la maîtrise de nos défaillances; Cela, par lequel chaque homme prouve son pouvoir particulier de comprendre la volonté et l'esprit de Dieu, n'est qu'un travail silencieux de l'homme intérieur.

Chaque fois que je trouve une étincelle de ce feu caché qui consommera tôt ou tard l'ancien et créera le nouveau, je suis attiré avec amour et espoir, en ce qui concerne le signe de ma future maison.

Être un homme des religions et prier sont vraiment une seule et même chose. Se joindre à la pensée de Dieu à chaque pensée de toute importance qui nous arrive; dans toute notre admiration de la nature extérieure, pour la considérer comme l'œuvre de sa sagesse; Pour prendre des conseils avec Dieu sur tous nos plans, afin que nous puissions les réaliser en son nom; Et même dans nos heures les plus joyeuses pour se souvenir de son œil qui se voit; C'est la prière sans cesse auquel nous sommes appelés, et qui est vraiment l'essence de la vraie religion.

Pas de Dieu sans monde, et pas de monde sans Dieu.

Les femmes sont certainement plus heureuses que nous les hommes: leurs emplois occupent une plus petite partie de leurs pensées, et le désir sérieux du cœur, la belle vie intérieure de la fantaisie, commande toujours la plus grande partie.

Soit le traducteur laisse l'auteur en paix, autant que possible, et déplace le lecteur vers lui: ou il laisse le lecteur en paix, autant que possible, et déplace l'auteur vers lui.

https://fr.wikipedia.org/wiki/Friedrich_Schleiermacher

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