Le Journal 2007 - 2010 d'une des valeurs montantes de la jeune génération américaine, proche de Michel Gondry. Un livre tout en humour et sensibilité, à lire d'une traite ou à déguster par petites séquences.

Les Voyeurs

Short stories, including the adapted-to-film original Cecil and Jordan in New York Gabrielle Bell splits her cartooning time between creating wry sketchbook autobiographical comics, such as those included in her 2006 graphic novel, Lucky, and working on more detailed fictional short stories. This collection represents her short comics work that has been published in various anthologies over the past five years, including Kramer’s Ergot, Mome, and The D+Q Showcase Book Four. The surrealist title story, in which a young woman turns herself into a chair so as not to be too much of a bother to those around her, is being adapted into a short film, Interior Design, by director Michel Gondry (Eternal Sunshine of the Spotless Mind and The Science of Sleep) as part of the forthcoming Tôkyô! trilogy set for fall 2008 release.

Cecil et Jordan à New York

Book Everything est inflammable est un format étrange, pas tout à fait un journal et pas tout à fait un mémoire. J'y travaillais comme ça se produisait. C'était gratifiant pour moi.

Tout est inflammable, c'est le premier livre complet que j'ai pu terminer. J'ai commencé quelques autres, mais j'ai manqué de vapeur. Celui-ci avait de l'élan, je ne me suis jamais ennuyé ou découragé. Il est composé de pièces courtes, où se trouve ma zone de confort. Je suis plus un sprinter qu'un coureur longue distance. Lorsque vous faites un court morceau, vous entrez et sortez; Vous ne vous attardez pas.

Il y a des possibilités de zillion que vous pouvez faire sur un morceau de papier; Il n'y a pas de moyen rationnel de choisir. Vous avez donc laissé quelque chose d'autre parler ... donc je ne me souviens donc pas qui vient en premier, le dialogue ou les images. Il vient de cet endroit où il se rassemble en quelque sorte seul.

L'anxiété est tellement omniprésente dans mon travail, c'est comme si ce n'était même pas une chose parce que c'est toujours là. Comme l'air. Je dois traverser une couche d'anxiété pour atteindre autre chose. C'est gênant pour moi quand les gens me soulignent toute l'anxiété que je représente dans mon travail. Je ne veux plus jamais écrire sur l'anxiété, mais ce serait comme laisser un énorme écart dans l'image.

Je voulais être un "artiste sérieux". Les artistes sérieux n'avaient pas tendance à être drôles. Mais cela ne m'a pas attiré beaucoup d'attention. Et vieillissant, vous ne pouvez pas vous aider, vous prenez les choses moins au sérieux.

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