D'une famille à l'autre, la magie de Noël n'opère pas de la même façon... On pensait tout connaître du Blond, c'était sans compter ses ressources inépuisables et son altruisme inaltérable, mis au profit des uns et des autres en cette période de Noël. Noël chez le Blond ? C'est une période clé dans la construction individuelle et collective, une célébration de la générosité, du don. Son enthousiasme est sans faille, il est sur tous les fronts : repas de Noël, cantiques, accueil de l'autre (comprenez : de la famille de l'Autre...), etc. La devise de Noël de la famille du Blond ? " Répandre la joie ! " Chez l'Autre - chez vous, chez nous -, c'est... différent. Noël, c'est le moment de se faire plaisir ! Des jouets, pas trop pour les enfants, plutôt pour soi. Une orgie de nourriture grasse et sucrée, sans limite aucune. Et des vacances. Et pourquoi Noël est-il synonyme de belle-famille ?? Si, chez le Blond, les repas en famille et l'ouverture des cadeaux sont synonymes de sobriété, d'esthétisme et d'émotion, chez l'Autre, c'est plutôt ambiance règlement de comptes et black friday. D'un côté, on se croirait dans une pub rétro pour les jeux éducatifs. De l'Autre, dans une pub pour du paracétamol enrichi en vitamines. Dans ce tome 3, le Blond et l'Autre célèbrent Noël comme il se doit (ouverture des huîtres, choix de la bûche, belle-famille au complet, déballage des cadeaux...), partent en vacances ensemble à la montagne (construction d'igloos et autres escapades revigorantes, fondue savoyarde au menu...) et ne cessent, au choix, de nous exaspérer tendrement par tant de perfection ou de nous faire rire par tant de maladresse et de malchance.

Le Blond Tome 3

On a tous un Blond autour de nous !

On a tous un pote qui sait tout sur tout, un pote super sportif, un pote super sociable... Eh bien, le Blond, c'est un peu tous ces mecs à la fois et bien plus encore. Le Blond, il a son propre langage : il commence toutes ses phrases par " Dis donc ! ", ponctue chaque moment-clé par " Pim, pam, poum " et les termine par " C'est pourtant simple ! ".

Vous savez ? Le Blond, celui qui fait un " clac clac " parfait en enfilant ses chaussures de ski, un " schpluf " qui n'asperge pas quand il plonge, qui ne transpire pas quand il danse all night long en boîte de nuit, qui a fait " option Ikea 3e langue " et donc pour qui monter un meuble Flürgoeburg est un jeu d'enfant... Voilà, LUI !
LUI ! Celui qui nous renvoie à notre propre condition d'être humain tout simplement normal, c'est-à-dire bancal, c'est-à-dire parfois paumé, qui peut avoir la poisse. Celui qui choisit systématiquement la mauvaise caisse au supermarché, celui dont la mayonnaise de son sandwich va forcément s'étaler sur son pantalon, celui qui dévalera au moins une fois les pistes de ski à l'envers, celui pour qui le guichet de l'administration fermera juste devant lui après une heure et demie d'attente, celui qui a peur en avion, celui pour qui faire un jogging relève du masochisme, bref, L'AUTRE : vous, moi.

Il était temps de lui donner un visage. C'est ce que font admirablement Gad Elmaleh, Bastien Pasquier et Jean-Baptiste Hostache, en adaptant certains sketches existants de Gad, mais aussi et surtout en créant des scénarios inédits pour cet album.

Le Blond Tome 1

Le Blond a encore pas mal de choses à nous apprendre...Dans ce tome 2, le Blond ne cesse de nous surprendre : il a un troisième Blond (easy, évidemment, ça ne change rien si ce n'est une dose de bonheur supplémentaire) ; il change de boulot (oui, il excelle dans son travail de chercheur - ou plutôt de " trouveur " puisqu'il est le seul chercheur à trouver -, mais à quoi bon stagner et ne pas pimenter sa vie ?) ; il concilie à merveille vie de famille, vie sociale et vie amicale, les sorties scolaires, les activités sportives (les siennes mais aussi celles des enfants, bien entendu), sans jamais négliger sa douce qu'il aime par-dessus tout... Le Blond, quoi !!!
 Dans ce tome 2, le Blond et l'Autre se connaissent, se côtoient, se rendent des services, leurs enfants s'invitent à leurs goûters d'anniversaire... un peu comme dans notre vie à tous, en somme. Car oui, vous aussi, enfin nous aussi, nous avons une famille de Blonds autour de nous.
 Et aussi agaçants, déconcertants, exaspérants, crispants soient-ils, on n'y peut rien, ils sont attachants, les Blonds. Et ça, c'est fort. Du Blond, du vrai.

Le blond - tome 2

Le Blond a encore pas mal de choses à nous apprendre...
Dans ce tome 2, le Blond ne cesse de nous surprendre : il a un troisième Blond (easy, évidemment, ça ne change rien si ce n'est une dose de bonheur supplémentaire) ; il change de boulot (oui, il excelle dans son travail de chercheur - ou plutôt de " trouveur " puisqu'il est le seul chercheur à trouver -, mais à quoi bon stagner et ne pas pimenter sa vie ?) ; il concilie à merveille vie de famille, vie sociale et vie amicale, les sorties scolaires, les activités sportives (les siennes mais aussi celles des enfants, bien entendu), sans jamais négliger sa douce qu'il aime par-dessus tout... Le Blond, quoi !!!
 Dans ce tome 2, le Blond et l'Autre se connaissent, se côtoient, se rendent des services, leurs enfants s'invitent à leurs goûters d'anniversaire... un peu comme dans notre vie à tous, en somme. Car oui, vous aussi, enfin nous aussi, nous avons une famille de Blonds autour de nous.
 Et aussi agaçants, déconcertants, exaspérants, crispants soient-ils, on n'y peut rien, ils sont attachants, les Blonds. Et ça, c'est fort. Du Blond, du vrai.

Le Blond Tome 2

Le Blond a encore pas mal de choses à nous apprendre... Dans ce tome 2, le Blond ne cesse de nous surprendre : il a un troisième Blond (easy, évidemment, ça ne change rien si ce n'est une dose de bonheur supplémentaire) ; il change de boulot (oui, il excelle dans son travail de chercheur – ou plutôt de " trouveur " puisqu'il est le seul chercheur à trouver –, mais à quoi bon stagner et ne pas pimenter sa vie ?) ; il concilie à merveille vie de famille, vie sociale et vie amicale, les sorties scolaires, les activités sportives (les siennes mais aussi celles des enfants, bien entendu), sans jamais négliger sa douce qu'il aime par-dessus tout... Le Blond, quoi !!! Dans ce tome 2, le Blond et l'Autre se connaissent, se côtoient, se rendent des services, leurs enfants s'invitent à leurs goûters d'anniversaire... un peu comme dans notre vie à tous, en somme. Car oui, vous aussi, enfin nous aussi, nous avons une famille de Blonds autour de nous. Et aussi agaçants, déconcertants, exaspérants, crispants soient-ils, on n'y peut rien, ils sont attachants, les Blonds. Et ça, c'est fort. Du Blond, du vrai.

Le blond 2

On a tous un pote qui sait tout sur tout, un pote super sportif, un pote super sociable... Eh bien, le Blond, c'est un peu tous ces mecs à la fois et bien plus encore. Le Blond, il a son propre langage : il commence toutes ses phrases par « Dis donc ! », ponctue chaque moment-clé par « Pim, pam, poum » et les termine par « C'est pourtant simple ! ».Vous savez ? Le Blond, celui qui fait un « clac clac » parfait en enfilant ses chaussures de ski, un « schpluf » qui n'asperge pas quand il plonge, qui ne transpire pas quand il danse all night long en boîte de nuit, qui a fait « option Ikea 3e langue » et donc pour qui monter un meuble Flürgoeburg est un jeu d'enfant... Voilà, LUI !LUI ! Celui qui nous renvoie à notre propre condition d'être humain tout simplement normal, c'est-à-dire bancal, c'est-à-dire parfois paumé, qui peut avoir la poisse. Celui qui choisit systématiquement la mauvaise caisse au supermarché, celui dont la mayonnaise de son sandwich va forcément s'étaler sur son pantalon, celui qui dévalera au moins une fois les pistes de ski à l'envers, celui pour qui le guichet de l'administration fermera juste devant lui après une heure et demie d'attente, celui qui a peur en avion, celui pour qui faire un jogging relève du masochisme, bref, L'AUTRE : vous, moi.Il était temps de lui donner un visage. C'est ce que font admirablement Gad Elmaleh, Bastien Pasquier et Jean-Baptiste Hostache, en adaptant certains sketches existants de Gad, mais aussi et surtout en créant des scénarios inédits pour cet album.

Le blond

Je vais à New York pour voir des émissions en direct, pas des films.

Il est normal qu'une bande dessinée juive fasse ses débuts à rires Anglo dans une église, non?

C'est seulement en Amérique. Nous n'avons pas de portes françaises en France.

Le Maroc est complètement vivant pour moi parce que j'ai passé environ un tiers de ma vie là-bas. Les premières fois où je suis retourné à Casablanca, je suis allé dans les rues et je me suis souvenu de comment des années plus tôt, j'avais marché ces mêmes rues et prié pour qu'un miracle se produise et que je parte et devenais célèbre.

Si vous n'êtes pas à la télévision, vous n'existez pas vraiment. Je veux apporter ma comédie au monde et raconter mon histoire à un public plus large.

Les Américains n'aiment pas les calembours et les jeux de mots, ce qui est totalement à l'opposé dans le monde de la comédie de la France ou même de l'Italie et de l'Allemagne.

Lorsque vous réussissez, à un certain point, vous voulez vous mettre au défi. Sinon, vous devenez ennuyeux. Vous devenez un bend-been. Ce n'est pas très intéressant. Je ne veux pas être ce gars qui n'a réussi qu'en France.

Je parle de mon père et du rêve américain, et je veux juste dire aux Américains à quel point nous sommes fascinés par l'Amérique. Nous aimerions que les Américains regardent le reste du monde de cette façon parfois.

En fait, je n'aime pas les chiens. Je viens du Maroc, et les gens n'aiment pas les animaux.

Lorsque vous réussissez, à un certain point, vous voulez vous mettre au défi. Sinon, vous devenez ennuyeux. Vous devenez un bend-been. Ce n'est pas très intéressant. Je ne veux pas être ce gars qui n'a réussi qu'en France. Je pourrais dire: «O.K., c'est tout; mirci. ' Mais je ne m'intéresse pas à cela.

J'adore venir à New York. Je pense que je vais venir très souvent ici. J'ai besoin de - pour le spectacle, pour la comédie. Je veux faire les spectacles ici et prendre une bière et passer du temps avec les comédiens.

Si je bombardais avec mes blagues en anglais, je retournerais en France. Peut-être faire ce truc mime.

J'étais dans un steak house une fois, et quelqu'un a proposé. J'étais tellement gêné. La femme a commencé à pleurer, et je me suis dit: "Elle venait de proposer dans une steak-house - je pleurerai aussi."

Après New York, Chicago est ma ville préférée. C'est juste ce grand mélange d'Europe et d'Amérique. Les amis que j'y ai sont intelligents, pleins d'esprit et amusants.

Finalement, je me disais, ce serait peut-être mieux, au lieu d'essayer de devenir un comédien américain en France, de mélanger ces deux styles et ces deux genres. Parce que bien sûr, il est bon d'être efficace et tranchant, et d'avoir une blague toutes les vingt secondes, mais il peut être un peu froid et sec.

J'ai découvert qu'il ne s'agit pas vraiment de la langue. Il s'agit de savoir comment les mots sont prononcés et la livraison. Nous avons beaucoup de bons comédiens anglophones. C'est bon. Si j'ai mon accent, mes gestes, ma façon de parler.

Il y a tellement de choses drôles à dire sur le fait d'être avec Charlotte. J'ai travaillé sur quelques morceaux à ce sujet - pour ne pas être indiscrètement mais parce que le choc de la culture et des valeurs est si intéressant.

Les journalistes me demandent: «Pourquoi ne parlez-vous jamais de sexe dans vos performances? Certes, je ne parle pas de sexe - pas dans ma vie personnelle et pas dans ma vie professionnelle. C'est la modestie.

Mon rêve n'est pas Hollywood, mais pour interpréter mon acte en anglais à 30 personnes dans un club de comédie Soho, pour montrer aux New Yorkais à quoi ils ressemblent du point de vue français.

C'est libérateur de jouer dans une autre langue. Il y a des sujets dont je ne parlerais jamais en français, où ils me voient comme une figure publique, dont je parle en anglais.

Quand ils ne vous connaissent pas, quand vous n'avez pas de crédits et qu'ils pensent: «Je ne connais pas ce français», vos cinq premières minutes essaient de les séduire, essayant de les mettre de votre côté. Et ce n'est pas facile.

J'adore la cave de comédie. Le public n'a aucune attente car il ne me connaissait pas. C'est bien. C'est seulement gagnant - si je bombe, ils disent simplement: «Oh, le Français est nul. Mais si je fais bien, alors ils se souviennent de moi.

Je veux parler au public. C'est ce que je fais dans mon travail en français pour toujours - parler de petites choses qui deviennent de gros problèmes. Je remarque tous les détails, toutes les minuscules petites choses.

L'Amérique est l'endroit où la comédie stand-up est née. C'est la norme. Donc, vous voulez aller faire votre travail là où c'est la Mecque de ce que vous faites.

C'est le bon moment pour être ici en Amérique. Vous sentez que les gens veulent juste être ensemble et libérer la pression et rire.

J'ai fait des films parce que j'étais flatté et pour de l'argent et parce que je voulais embrasser Sophie Marceau.

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