Marcus a onze ans quand sa mère meurt dans un accident de voiture. Il emménage alors chez sa grand-tante Charlotte, une originale qui, après trois mariages, s'est installée dans une maison en bord de mer sur une petite île de Caroline du Sud, pour se consacrer à sa passion : la peinture. 
Une maison au nord de l'île fascine Marcus : surnommée la Villa Chagrin, on rapporte que la famille qui l'habitait aurait disparu soudainement lors d'une tempête, cinquante ans auparavant. Le jeune garçon va s'y rendre chaque jour, car il a aperçu le fils de la famille dans un reflet du soleil...

Villa Chagrin

Marcus a onze ans quand sa mère meurt dans un accident de voiture. On l'envoie vivre dans la maison en bord de mer de sa grand-tante Charlotte, sur une petite île de Caroline du Sud. Artiste peintre, Charlotte mène une vie solitaire et singulière, passant de longues heures dans son atelier en compagnie de bouteilles de vin qu'elle commande par cartons. Arrivé chez elle en juin, Marcus a tout l'été à occuper avant la rentrée, qui l'inquiète beaucoup : sensible et peu sûr de lui, il redoute la compagnie des enfants de son âge. Il lui préfère de loin celle du fantôme de la Villa Chagrin - une maison qui tombe en ruine tout au nord de l'île et inspire de nombreuses toiles à Tante Charlotte. Elle doit son nom (« Grief Cottage » en anglais) à l'incendie survenu des années auparavant lors de l'ouragan Hazel, et la disparition de la famille qui l'habitait alors. La présence que Marcus perçoit dans la maison, dont il croit même une fois discerner la silhouette, serait donc celle du fils disparu. C'est le début de sa fascination pour la Villa Chagrin et ce, ou plutôt celui, qui la hante : une relation ambiguë se noue entre lui et l'adolescent, dont on ne saura jamais vraiment s'il est fantôme, fantasme, présence surnaturelle ou imaginaire. À travers lui ce sont ses propres tourments que Marcus doit affronter : la perte de sa mère, l'absence d'un père qu'il n'a jamais connu et la lourdeur d'un passé qu'il ne cesse d'interroger. Mais c'est aussi avec douceur que l'été se déroule, entre escapades sur la plage, visites à la Villa Chagrin et discussions avec sa grand-tante, heureuse, derrière son air taciturne, de partager avec lui sa maison, ses souvenirs et les particularités des peintres qu'elle aime. Un été lent, ponctué par le rythme des marées, avec en toile de fond l'importance des silences et la délicatesse des relations qui naissent, du deuil qui se fait, de l'enfance qui passe.

Marcus a onze ans quand sa mère meurt dans un accident de voiture. Il emménage alors chez sa grand-tante Charlotte, une originale qui, après trois mariages, s’est installée dans une maison en bord de mer sur une petite île de Caroline du Sud, pour se consacrer à sa passion : la peinture.Une maison au nord de l’île fascine Marcus : surnommée la Villa Chagrin, on rapporte que la famille qui l’habitait aurait disparu soudainement lors d’une tempête, cinquante ans auparavant. Le jeune garçon va s’y rendre chaque jour, car il a aperçu le fils de la famille dans un reflet du soleil…

Marcus a onze ans quand sa mère meurt dans un accident de voiture. Il emménage alors chez sa grand-tante Charlotte, une originale qui, après trois mariages, s'est installée dans une maison en bord de mer sur une petite île de Caroline du Sud, pour se consacrer à sa passion : la peinture. 

Une maison au nord de l'île fascine Marcus : surnommée la Villa Chagrin, on rapporte que la famille qui l'habitait aurait disparu soudainement lors d'une tempête, cinquante ans auparavant. Le jeune garçon va s'y rendre chaque jour, car il a aperçu le fils de la famille dans un reflet du soleil.

Helen, dix ans, et Flora, sa baby-sitter pour l'été, se trouvent toutes deux isolées dans la maison familiale en passe de tomber en ruine, tandis que le père d'Helen est absorbé par une mystérieuse mission. À trois ans, Helen a perdu sa mère, et sa bien-aimée grand-mère, qui l'a élevée jusque-là, vient également de mourir. Cette enfant à l'imagination affûtée veut à tout prix garder intacte la demeure, avec tous les fantômes qui en font la légende. 
Flora, prête à fondre en larmes à la moindre occasion, est déterminée à choyer Helen. La férocité de leur relation et ses conséquences continueront de hanter Helen pour le restant de ses jours

Flora

Helen, dix ans, et Flora, sa baby-sitter pour l'été, se trouvent toutes deux isolées dans la maison familiale en passe de tomber en ruine, tandis que le père d'Helen est absorbé par une mystérieuse mission. À trois ans, Helen a perdu sa mère, et sa bien-aimée grand-mère, qui l'a élevée jusque-là, vient également de mourir. Cette enfant à l'imagination affûtée veut à tout prix garder intacte la demeure, avec tous les fantômes qui en font la légende. Flora, prête à fondre en larmes à la moindre occasion, est déterminée à choyer Helen. La férocité de leur relation et ses conséquences continueront de hanter Helen pour le restant de ses jours.

Gail Kathleen Godwin, née le 18 juin 1937 à Birmingham dans l’Alabama, aux États-Unis, est une autrice américaine de fiction. Ses œuvres traitent particulièrement des sujets de la liberté individuelle dans les relations hétérosexuelles et des choix des femmes. Elle est également dessinatrice, peintre, et compositrice.

Les personnes négatives nous présentent une opportunité de croissance personnelle accélérée.

L'expérience nous apprend qu'il faut donner priorité aux rares personnes capables de nous apprécier tels que nous sommes.

Je lis constamment. Si je n'ai pas de bon livre, je suis hors de moi.

L'un est enseigné par l'expérience pour mettre une prime sur ces quelques personnes qui peuvent vous apprécier pour ce que vous êtes.

Parfois ... on est carrément reconnaissant pour l'auto-absorption des autres.

Les rêves disent ce qu'ils veulent dire, mais ils ne le disent pas dans la langue de jour.

Un bon enseignement est un quart de préparation et des trois quarts de théâtre pur.

S'il existe un péché tel que le péché dans ce monde, je pense que cela doit se fermer contre l'espoir.

Qu'est-ce que quelques ondulations dans la chair importaient quand, trop tôt, maintenant ou plus tard, cette chair ferait son voyage de retour à la poussière?

Les héroïques ne sont pas facilement eues pour les jeunes à notre époque. C'est peut-être pourquoi ils vont à des tels extrêmes pour créer leurs propres dangers.

Comme c'était facile de rendre les gens heureux, quand vous ne vouliez pas ou avez besoin de quelque chose d'eux.

Il y a deux genre de personnes. Un genre, vous pouvez simplement dire en les regardant à quel moment ils ont congelé dans leur dernier moi. Ce pourrait être un moi très agréable, mais vous savez que vous ne pouvez plus vous en attendre à des surprises. Alors que les autres aimables continuent de bouger, de changer ... ils sont fluides. Ils continuent d'avancer et de faire de nouveaux rendez-vous avec la vie, et le mouvement de cela les garde jeunes. À mon avis, ce sont les seules personnes qui sont encore en vie. Vous devez être constamment sur votre garde contre le congé.

Je travaille en continu dans l'ombre de l'échec. Pour chaque roman qui se rend au bureau de mon éditeur, il y en a au moins cinq ou six qui sont morts en chemin. Et même avec ceux que je termine, je pense à toutes les façons dont ils auraient pu être mieux.

Quelque chose est votre vocation si cela continue de faire plus de vous.

Je crois que les rêves nous transportent à travers le dessous de nos jours, et que si nous voulons faire la connaissance du côté obscur de ce que nous sommes, les panneaux sont là, attendant que nous les traduisions.

Je crois qu'avec suffisamment de pratique et de bonne foi, vous pouvez apprendre à reconnaître quand l'œuvre est réalisée.

Certaines choses arrivent dans leur propre heure mystérieuse, selon leurs propres termes et non les vôtres, pour être saisis ou abandonnés pour toujours.

La race des enfants possède comme par magie des pouvoirs sagaces.

J'avoue, dès le début, aux doutes - et parfois des dreads purs et simples - qui me vont avec moi alors que je monte les escaliers à mon étude le matin, tasse de café à la main: je dois admettre l'appréhension habituelle mélangée avec une sorte de révérence, comme j'allume l'encens. . . Et se demande: que va-t-il se passer aujourd'hui? Est-ce que quelque chose se produira? L'ange viendra-t-il aujourd'hui?

L'acte de désir de quelque chose sera toujours plus intense que sa révision.

Apprendre quand «c'est assez» est la discipline d'une vie.

Je suis toujours conscient que je risque d'être pris pour une prima neurasthénique Donna lorsque j'explique à quelqu'un qui veut «juste un peu» de mon temps que cinq minutes du mauvais type de distraction peuvent ruiner une journée de travail.

Aucun de nous ne devient soudainement quelque chose du jour au lendemain. Les préparatifs ont fait la vie.

L'espoir n'a pas nécessairement à prendre un objet.

Le meilleur antidote que j'ai trouvé est d'espirer à quelque chose. Tant que vous aspirez, vous ne pouvez pas vous congabrer: il y a une motion à l'avant pour désir.

Vous êtes censé vous fatiguer de planter des ampoules. Mais c'est une fatigue agréable.

Plus vous respectez et concentrez-vous sur le singulier et le singulier, plus vous vous consciencez de l'universel et de l'infini.

https://fr.wikipedia.org/wiki/Gail_Godwin

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