Gamin, il gribouillait sur ses cahiers un bonhomme dévalant une vague colossale. Adulte, il est devenu le surfeur de ses dessins d'enfant. En 2011, Garrett McNamara est le premier à surfer une vague de 24 mètres à Nazaré, au Portugal. Deux ans plus tard, à 46 ans, il bat son propre record en dévalant un monstre estimé à 30 mètres. Pionnier devenu icône, cet homme qui s'est construit à force de volonté et de persévérance, a connu une jeunesse hors norme. Il a grandi libre et sauvage, ballotté d'une communauté hippie à l'autre. De son adolescence à la limite de la délinquance - à laquelle il a étonnamment échappé -, il a tiré force et indépendance, deux qualités qui lui ont permis de vivre de sa passion contre vents et marées. Car des obstacles et des revers, il en a surmonté, des accidents aussi, mais Gmac, comme le surnomme le milieu, n'a jamais lâché. Dans un texte d'une grande sensibilité, où l'on rit puis frémit sur les vagues avec lui, il retrace son chemin de vie étonnant, partageant son amour acharné pour la mer et le surf. A travers le portrait de l'homme se dessine celui d'une époque, et d'un univers mordant à souhait.

Les morsures de la mer

In this thrilling and candid memoir, world record-holding and controversial Big Wave surfer Garrett McNamara--star and subject of the HBO mini-series, 100 Foot Wave--chronicles his emotional quest to ride the most formidable waves on earth. Garrett McNamara set the world record for the sport, surfing a seventy-eight-foot wave in Nazaré, Portugal in 2011, a record he smashed two years later at the same break. Propelled by the challenge and promise of bigger, more difficult waves, this adrenaline-fueled loner and polarizing figure travels the globe to ride the most dangerous swells the oceans have to offer, from calving glaciers to hurricane swells. But what motivates McNamara to go to such extremes-to risk everything for one thrilling ride? Is riding giant waves the ultimate exercise in control or surrender?Personal and emotional, readers will know GMac as never before, seeing for the first time the personal alongside the professional in an exciting, intimate look at what drives this inventive, iconoclastic man. Surfing awesome giants isn't just thrill seeking, he explains-it's about vanquishing fears and defeating obstacles past and present. Surfers and non-surfers alike will embrace McNamara's story-as they have William Finnegan's Barbarian Days-an its intimate look at the enigmatic pursuit of riding waves, big and small. Hound of the Sea is a record of perseverance, passion, and healing. Thoughtful, suspenseful, and spiritually profound, McNamara reveals the beautiful soul of surfing through the eyes of one of its most daring and devoted disciples.

Hound of the Sea - Wild Man. Wild Waves. Wild Wisdom.

Vous ne me surprennes pas à monter un cheval, car j'en ai peur.

Monter de grosses vagues était ma passion.

J'avais toujours surfé avec mon ego - je devais obtenir la plus grande, la meilleure vague - et beaucoup de choses étaient pour la survie.

Je dis toujours que ce n'est pas à quel point la vague est grande, c'est comme ça que vous le montez.

J'ai deux paramètres: pleine vitesse et arrêt.

Je lis chaque jour «les sept lois spirituelles du succès». La première fois que je l'ai lu, j'avais 35 ans, déprimé et sur le point d'arrêter de surf.

Vous savez que chaque vague est si différente. Cela dépend juste de la balade, comme lorsque vous descendez et que vous ne faites pas la vague et que vous vous faites exploser et que vous vous sentez si petit, mais aussi si vivant, parce que vous êtes à la merci de ce monstre et Vous vous empêchant, vous secouant et vous cliqueant.

Et, vous savez, je pense que nous tous les surfeurs, notre endroit heureux, l'endroit que nous aimons plus que partout sur la vague est dans le baril.

Je ne veux pas dire que je grandis, mais je me sens vraiment content.

La poursuite vient de trouver la vague de 100 pieds.

J'ai cassé les côtes trois fois différentes.

Le danger est réel. Mais la peur est quelque chose que nous créons.

J'espère pouvoir continuer à surfer tant que je suis en vie.

Je n'ai pas eu peur depuis un certain temps, mais chaque fois que je le suis, je me précipite.

L'un de mes voyages sur la route préférés de tous les temps était ici, en Australie, dans l'ouest d'Oz.

J'ai un programme d'étirement spécifique à mon corps, pour garder le bas du dos mobile et mes épaules fortes.

Pour faire de grandes vagues, vous devez être prêt mentalement, physiquement et spirituellement.

C'est ce que j'aime faire et je n'arrêterai jamais de surfer.

Si vous avez l'océan et que vous avez votre planche, rien n'a d'importance.

Lorsque vous mettez beaucoup dans quelque chose, les triomphes sont tellement écrasants de joie.

Peu importait que nous n'avions pas de nouveaux vélos et des planches à roulettes et une belle voiture, et beaucoup de nourriture dans le réfrigérateur. Nous étions dans l'océan qui profitent du maximum au maximum.

Quand j'avais cinq ans, je sautais des bâtiments de deux étages.

Je continue d'essayer d'écouter quand je suis dans une grande vague, mais je n'entends vraiment rien.

Le monde serait un bien meilleur endroit si tout le monde faisait ce qu'il voulait faire.

Je perds la tête si je rate une houle sur laquelle je veux être et que j'ai la capacité d'être dessus.

C'est tellement incroyable d'être dans l'eau, surfant avec vos amis.

Je deviendrais le petit surfeur de mes dessins d'enfance.

Je ne suis pas un chercheur de sensations fortes.

Vous pouvez aller très rapidement du ciel et vous retrouver en enfer.

Ses oeuvres

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