Quand Jack rencontre Joseph, son nouveau frère adoptif, il sait déjà trois choses sur lui : Joseph a presque tué un professeur. Il a été enfermé en rééducation à Stone Mountain. Il a une fille. Son prénom est Jupiter. Et il ne l'a jamais vue. Ce que Jack ne sait pas, c'est à quel point Joseph est désespéré de retrouver sa petite fille. Et jusqu'où lui, Jack, sera prêt à aller pour l'aider. Un sublime roman d'amour et d'amitié !

Autour de Jupiter

Carter Jones n'en revient pas. Alors qu'il se réveille un beau matin, voilà qu'il trouve un véritable majordome anglais - avec chapeau melon et tout le tralala, s'il vous plaît ! - sur le pas de sa porte. Comme si survivre et comprendre le collège ne suffisait pas, Carter doit aussi s'adapter à la présence opportune de cet inconnu venu aider la famille Jones - un brin fauchée. Mais lorsque la colère et le chagrin deviennent trop lourds à porter, Carter découvre qu'un fardeau devient plus léger quand il est partagé.

Le majordome et moi

1968. Une petite, petite ville de l'État de New York. 

Un père sans repères, une mère sans remède. Deux grands frères, dont un avalé par la guerre du Vietnam. Pas assez d'argent à la maison. Trop de bagarres au collège. Des petits boulots pour se maintenir à flot. Une bibliothèque ouverte le samedi pour s'évader. Une collection d'oiseaux éparpillée à tous les vents. Des talents inexploités. Et une envie furieuse d'en découdre avec la vie.

Dans ce roman d'apprentissage, Doug s'efforce de ne plus être ce que tout le monde semble penser qu'il est : « un voyou maigrichon ». Grâce à Lil, une alliée aussi inefficace qu'inattendue, Doug va trouver la force d'affronter la vie.

Jusqu'ici, tout va bien

Chaque mercredi, alors que la classe se rend à la synagogue ou au catéchisme, Holling Hoodhood, qui n'est ni juif ni catholique, est condamné à rester avec Mme Baker, la prof d'anglais. Cela fait plusieurs mercredis qu'il nettoie les tableaux, dépoussière les effaceurs, décrasse les fenêtres. Et voilà que Mme Baker s'est mis en tête de lui faire lire du Shakespeare !

La guerre des mercredis

S'il y a un élève du collège que Mme Baker, la prof d'anglais, ne peut pas voir en peinture, c'est bien lui, Holling Hoodhood. Chaque mercredi, alors que la moitié de la classe de cinquième est dispensée de cours pour se rendre à la synagogue, et que l'autre moitié va au cathéchisme à l'église de la paroisse, Holling Hoodhood, qui n'est ni juif ni catholique, est le seul et unique élève à rester en cours avec Mme Baker. Elle le lui fait payer. Cela fait plusieurs mercredis qu'il nettoie les tableaux, dépoussière les effaceurs, retire les toiles d'araignée, décrasse les fenêtres. Et voilà que Mme Baker s'est mis en tête de lui faire lire du Shakespeare ! Encore un stratagème pour le faire périr d'ennui. 

Pendant que Holling Hoodhood découvre La tempête et s'aperçoit que Mme Baker est moins mauvaise qu'elle n'en a l'air, l'histoire des États-Unis suit son cours. Robert Kennedy se porte candidat à la présidence, la lutte pour les droits civiques prend de l'ampleur, la guerre du Vietnam fait rage. Nous sommes en 1968, et l'Amérique s'apprête à vivre l'une des années les plus violentes de son histoire.

La Guerre des Mercredis

1968. Une petite ville de l'État de New York. Un père sans repères, une mère sans remède. Deux grands frères, dont un avalé par la guerre du Vietnam. Pas assez d'argent à la maison. Trop de bagarres au collège. Des petits boulots pour se maintenir à flot. Une bibliothèque ouverte le samedi pour s'évader. Une idole inaccessible. Une collection d'oiseaux éparpillée à tous les vents. Des talents inexploités. Et une envie furieuse d'en découdre avec la vie.
Ce roman, initialement publié en littérature jeunesse, enchantera également les moins jeunes !

Parfois drôle, parfois terrible. Jamais ennuyeux.
San Francisco Book Review

1968. Une petite, petite ville de l'État de New York.
Un père sans repères, une mère sans remède.
Deux grands frères, dont un avalé par la guerre du Vietnam.
Pas assez d'argent à la maison. Trop de bagarres au collège.
Des petits boulots pour se maintenir à flot. Une bibliothèque ouverte le samedi pour s'évader.
Une collection d'oiseaux éparpillée à tous les vents. Des talents inexploités.
Et une envie furieuse d'en découdre avec la vie.

Dans ce roman d'apprentissage, Doug s'efforce de ne plus être ce que tout le monde semble penser qu'il est : « un voyou maigrichon ». Grâce à Lil, une alliée aussi inefficace qu'inattendue, Doug va trouver la force d'affronter la vie.

S’il y a un élève du collège que Mme Baker, la prof d’anglais, ne peut pas voir en peinture, c’est bien lui, Holling Hoodhood.Chaque mercredi, alors que la moitié de la classe de cinquième est dispensée de cours pour se rendre à la synagogue, et que l’autre moitié va au cathéchisme à l’église de la paroisse, Holling Hoodhood, qui n’est ni juif ni catholique, est le seul et unique élève à rester en cours avec Mme Baker.Elle le lui fait payer. Cela fait plusieurs mercredis qu’il nettoie les tableaux, dépoussière les effaceurs, retire les toiles d’araignée, décrasse les fenêtres. Et voilà que Mme Baker s’est mis en tête de lui faire lire du Shakespeare ! Encore un stratagème pour le faire périr d’ennui.Pendant que Holling Hoodhood découvre La tempête et s’aperçoit que Mme Baker est moins mauvaise qu’elle n’en a l’air, l’histoire des États-Unis suit son cours. Robert Kennedy se porte candidat à la présidence, la lutte pour les droits civiques prend de l’ampleur, la guerre du Vietnam fait rage… Nous sommes en 1968, et l’Amérique s’apprête à vivre l’une des années les plus violentes de son histoire.

Si Roméo n'avait jamais rencontré Juliette, peut-être qu'ils auraient tous les deux été en vie, mais ce pour quoi ils auraient été en vie, c'est la question que Shakespeare veut que nous répondions.

Vous savez, il y a de bonnes raisons d'apprendre à lire. La poésie n'en fait pas partie. Je veux dire, alors que se passe-t-il si deux routes passent de deux voies dans un bois? Et alors? Qui se soucie si cela a fait de toute cette grande différence? Quelle différence? Et pourquoi devrais-je devoir deviner quelle est la différence? N'est-ce pas ce qu'il est censé dire? Pourquoi les poètes ne peuvent-ils pas simplement dire ce qu'ils veulent dire puis se taire?

Lecteur, je l'ai embrassée. Une promenade tranquille que nous avions, elle et moi.

J'ai passé le test en cinq minutes avant la fin de la journée. Mme Baker l'a pris calmement, puis a atteint son tiroir inférieur pour un énorme stylo rouge avec une large pointe en feutre. "Tenez-vous ici et nous verrons comment vous avez fait", a-t-elle dit, ce qui est un peu comme un dentiste vous remettant un miroir et en disant: "Asseyez-vous ici et regardez pendant que je perce un trou dans votre dent.

Nous étions tous les deux des chumps. Mais tu sais quoi? Ce n'est pas si mal quand vous êtes ensemble.

Je pense qu'il est devenu un homme qui a apporté la paix et la sagesse au monde du monde, parce qu'il connaissait la guerre et la folie. Je pense qu'il aimait beaucoup, parce qu'il avait vu ce qu'est l'amour perdu. Et je pense qu'il a appris aussi qu'il était très aimé. "Elle regarda la fraise dans ses mains." Mais je pensais que vous ne vouliez pas que je vous dise votre avenir.

Vous ne pouvez pas simplement sauter les parties ennuyeuses. "" Bien sûr, je peux sauter les parties ennuyeuses. "" Comment savez-vous qu'ils sont ennuyeux si vous ne les lisez pas? "" Je peux le dire. "" Alors vous pouvez Je ne dis pas que vous avez lu tout le jeu. "" Je pense que je peux vivre une vie heureuse, Meryl Lee, même si je ne lis pas les parties ennuyeuses de la tragédie de Hamlet, Prince du Danemark. "" Qui sait? "Elle a dit." Peut-être que tu ne peux pas.

J'ai vu ma ville comme si je venais d'arriver. C'était comme si je me réveillais. Vous voyez des maisons et des bâtiments tous les jours, et vous passez par eux sur votre chemin vers autre chose, et vous voyez à peine. Vous remarquez à peine qu'ils sont même là, principalement parce qu'il se passe autre chose devant votre visage, mais lorsque la ville elle-même devient la chose qui se passe juste devant votre visage, tout change, et vous êtes Pas seulement en regardant une maison, mais à ce qui s'est passé dans cette maison avant votre naissance.

(Les gouttes de pluie) ont joué sur la côte toute la nuit, jusqu'à ce que le jour nouveau et doux se réveille, ait essayé l'améthyste et la lavande pendant un certain temps, et se soit finalement décidé pour le jaune pâle.

Une comédie n'a pas pour but d'être drôle... une comédie est composée de personnages qui osent savoir qu'ils peuvent choisir une fin heureuse après tout.

Peut-être que cela vous arrive tous les jours, mais je pense que c'était la première fois que je pouvais à peine attendre pour montrer quelque chose que j'avais fait à quelqu'un qui s'en soucierait à part ma mère. Tu sais ce que ça fait?

En anglais, nous étions toujours à l'introduction de l'unité de poésie, et je ne mens pas, si jamais je rencontre Percy Bysshe Shelley en marchant dans les rues de Marysville, je vais le frapper en face.

La lumière a rendu les boules de neige jaunes. Ou du moins j'espérais que c'était la cause.

J'adore le son d'une toute nouvelle bouteille de coke lorsque vous réprimandez le couvercle et qu'il commence à pétiller. Chaque fois que j'entends ce son, je pense aux roses, et à m'asseoir avec quelqu'un dont vous vous souciez et que Roméo et Juliette se réveillaient quelque part et que nous nous disons, n'étons-nous pas des secousses? Et puis avoir tout ce qui est fini. C'est ce à quoi je pense quand j'entends le son d'une toute nouvelle bouteille de coke ouverte

Je pense que quelque chose doit vous arriver lorsque vous entrez en huit notes. Comme le frère du frère de Doug Swieteck s'allume et que vous devenez un jerk.Je qui a peut-être été Hamlet, le problème du prince du Danemark, qui, en plus d'avoir un nom qui le fait ressembler à un petit-déjeuner spécial au restaurant Sunnyside Morning - quelque chose entre une tranche de jambon Et une omelette à trois œufs - n'a pas eu l'intelligence pour comprendre que lorsque quelqu'un prend la peine de revenir de au-delà de la tombe pour vous dire qu'il a été assassiné, il est probablement global de prêter attention - qui est l'adjectival former.

Parfois - et je sais que cela ne dure rien de plus qu'une seconde - parfois il peut y avoir une compréhension parfaite entre deux personnes qui ne peuvent pas se tenir les uns les autres. Il sourit, et j'ai souri, et nous avons mis les montres Timex, et nous avons regardé les secondes passer.

Peut-être que la première fois que vous savez que vous vous souciez vraiment de quelque chose, c'est quand vous pensez que ce n'est pas là, et quand vous savez, vous savez vraiment que le vide autant que vous en dehors Nous avons nous ne prix pas à la valeur alors que nous l'apprécions; mais être manqué et perdu, pourquoi, alors nous repoussons la valeur, alors nous trouvons la vertu qui ne nous montrerait pas pendant que c'était la nôtre. C'est quand je savais pour le premier Le temps que j'ai vraiment aimé ma sœur.

Quand une fille tient une rose vers vous, vous courez mieux, laissez-moi vous dire.

La créativité est un dieu qui ne vient que lorsqu'il veut, et ce n'est pas très souvent. Mais quand il revient, il s'assoit à mon bureau et plie ses ailes et je lui offre tout ce qu'il veut.

Le monde est un problème ... et la grâce. C'est tout ce qu'il y a.

Cela signifie, Doug Swieck, que dans cette classe, vous n'êtes pas votre frère.

Et peu importe que nous soyons sous nos bureaux, les mains sur la tête ou non, n'est-ce pas ? Non, dit Mme Baker. Cela n'a pas vraiment d'importance. Alors, pourquoi pratiquons-nous ? Elle réfléchit une minute. Parce que ça réconforte, dit-elle. Les gens aiment penser que s'ils sont préparés, rien de mal ne peut vraiment arriver. Et peut-être que nous pratiquons parce que nous avons l'impression qu'il n'y a rien d'autre que nous puissions faire parce que parfois nous avons l'impression que la vie est gouvernée par les frondes et les flèches d'une fortune scandaleuse.

M. Powell leva un sourcil. "Je suis bibliothécaire", a-t-il dit. «Je sais toujours de quoi je parle.

Pourquoi les poètes ne peuvent-ils pas simplement dire ce qu'ils veulent dire puis se taire?

Dans toute l'histoire du monde, les bananes n'ont jamais été un régal spécial.

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