How He Lied to Her Husband is a short, one-act play by George Bernard Shaw, first performed in 1904. This comedic work serves as a satirical counterpart to Shaw's earlier play "Candida" and showcases Shaw's sharp wit and keen observation of human relationships and societal norms.

Set in London, the play revolves around a love triangle involving a young poet, Henry Apjohn, who is enamored with Aurora Bompas, a beautiful, married woman. The intrigue begins when Aurora discovers that Henry has written passionate love poems to her, which she fears might fall into the hands of her husband, Teddy Bompas. The situation takes a humorous turn when the husband confronts Henry, leading to unexpected developments that challenge traditional notions of love, honor, and marital fidelity.

Shaw cleverly subverts the conventional love triangle trope by infusing the narrative with irony and comedic misunderstandings. The characters, while seemingly adhering to societal expectations, reveal their true selves in the face of potential scandal, highlighting the absurdity and complexity of human relationships.

"How He Lied to Her Husband" is notable for its concise structure, sharp dialogue, and the way it playfully addresses themes of romantic idealism versus the realities of marriage. Shaw's comedic touch provides a light-hearted critique of the pretensions and vanities of high society, making the play a delightful and insightful exploration of love, jealousy, and the art of deception.

How He Lied to Her Husband

Hormis Pygmalion, dans sa version cinématographique My Fair Lady, l'oeuvre de Bernard Shaw est aujourd'hui presque complètement inconnue du public français. Parmi les mélomanes, rares sont ceux qui ont lu le Parfait wagnérien ou qui en connaissent même l'existence ; plus rares encore ceux qui savent que ce célèbre essai était le fruit d'une familiarité professionnelle avec la musique. C'est en effet comme critique musical, et rapidement l'un des plus talentueux d'Europe, que Shaw est entré dans la carrière journalistique et littéraire. Pendant près d'une vingtaine d'années (de 1876 à 1894), il a tenu avec un brio croissant une chronique musicale régulière dans la presse londonienne ; et même lorsqu'il cessa cette activité, il n'en continua pas moins à publier, de temps à autre, des articles marquants. Wagner et les interprètes wagnériens de son temps constituant le massif central de ses écrits sur la musique, ceux qui en traitent ont été ici rassemblés. Mais cette anthologie ne devrait pas intéresser seulement les wagnériens. Comme, dans les articles de Shaw, Wagner voisine souvent avec d'autres compositeurs précédents ou contemporains ; et que ses principaux interprètes outre-Manche, tant à l'opéra qu'au concert, venaient principalement de l'étranger et s'illustraient aussi dans d'autres répertoires, c'est une large part de la création et de la vie musicales européennes dans la seconde moitié du XIXe siècle qui s'y trouvent évoquée par un critique d'une indépendance de jugement et d'une verve incomparables.

Le parfait wagnérien et autres écrits sur Wagner

"Künstlerliebe" ist ein 1887 erschienener Roman des irischen Schriftstellers George Bernard Shaw. Der Originaltitel lautet "Love Among the Artists".

George Bernard Shaw, meist auf eigenen Wunsch nur Bernard Shaw genannt (geboren 26. Juli 1856 in Dublin, Irland; gestorben 2. November 1950 in Ayot Saint Lawrence, England), war ein irischer Dramatiker, Politiker, Satiriker, Musikkritiker und Pazifist, der 1925 den Nobelpreis für Literatur und 1939 den Oscar für das beste adaptierte Drehbuch erhielt.

Künstlerliebe

"Cashel Byrons Beruf" ist ein 1882 erschienener Roman des irischen Schriftstellers George Bernard Shaw. Der Originaltitel lautet "Cashel Byron's Profession".

George Bernard Shaw, meist auf eigenen Wunsch nur Bernard Shaw genannt (geboren 26. Juli 1856 in Dublin, Irland; gestorben 2. November 1950 in Ayot Saint Lawrence, England), war ein irischer Dramatiker, Politiker, Satiriker, Musikkritiker und Pazifist, der 1925 den Nobelpreis für Literatur und 1939 den Oscar für das beste adaptierte Drehbuch erhielt.

Cashel Byrons Beruf

Correspondance George Bernard Shaw - Augustin Hamon - Volume 2, Les années médianes (1914-1925)

D'abord représentée (en 1902) dans une sorte de club de théâtre pour éviter la censure, la pièce a dû attendre plus de vingt ans en Grande-Bretagne avant d'être jouée dans un théâtre londonien. En France, la première représentation a eu lieu en 1912 au Théâtre des Arts. La hardiesse du sujet retarda là encore de quelque dix ans la création. Madame Warren, issue d'un milieu très pauvre et autrefois prostituée, est devenue elle-même propriétaire de plusieurs maisons closes. Elle sait gérer ses affaires avec un talent et une énergie dignes d'un véritable " exploiteur " mais elle les cache, bien sûr à sa fille, qu'elle fait éduquer dans un noble collège. Jusqu'au jour où la fille, d'instinct, sent quelque chose de trouble dans la vie de sa mère. L'indignation de la fille sur la vie que mène sa mère semble typiquement puritaine mais elle est, aujourd'hui encore, représentative de notre société (ou d'une partie d'elle). Sûre de ses bonnes mœurs et en en profitant, elle fait la morale à tous ceux et celles qui en ont simplement une autre. On pardonnera donc volontiers à Shaw d'expliquer la prostitution uniquement par le fait que les femmes sont sous-payées et exploitées puisque l'humour et la lucidité avec lesquels il peint ses personnages n'ont rien perdu de leur actualité. C'est le tableau d'une société hypocrite où le bien et le mal, la révolte et les compromis forment un mélange inextricable.

La profession de madame Warren

Des chrétiens hurluberlus, des Romains abrutis, et un empereur qui joint l'utile à l'agréable en regardant les lions dévorer des sujets éventuellement subversifs. Miracle : un lion épargne le petit tailleur chrétien Androclès, et l'empereur, fasciné, se convertit à la foi nouvelle.

Androclès et le lion

La Maison des coeurs brisés

George Bernard Shaw (né à Dublin, le 26 juillet 1856 et mort à Ayot St Lawrence, Angleterre, le 2 novembre 1950) est un critique musical, dramaturge, essayiste, auteur de pièces de théâtre et scénariste irlandais. Acerbe et provocateur, pacifiste et anticonformiste, il obtient le prix Nobel de littérature en 1925. 
Il est également l'un des membres de la Fabian Society et l'un des cofondateurs de la London School of Economics avec Graham Wallas, Sidney et Beatrice Webb.

Toutes les censures existent pour empêcher quiconque de remettre en cause les conceptions actuelles et les institutions existantes.

Les églises doivent apprendre l'humilité et l'enseigner.

L'homme le plus inquiet d'une prison est le directeur.

C'est à l'heure du procès qu'un homme trouve sa véritable profession.

Tout grand art et littérature est de la propagande.

La maison est la prison de la fille et la maison de travail de la femme.

Le communisme, étant la forme laïque du catholicisme, et signifiant en fait la même chose, n'a jamais eu de manque d'aumôniers.

Le crime est le magasin de détail du magasin de gros que nous appelons loi pénale.

Je peux pardonner à Alfred Nobel d'avoir inventé la dynamite. Mais seul un ennemi avéré du genre humain a pu inventer le prix Nobel.

Une famille est une tyrannie dirigée par son membre le plus faible.

Chaque profession est un complot contre les laïcs.

Si vous blessez votre voisin, mieux vaut ne pas le faire aux moitiés.

La façon de gérer les gens du monde est de les effrayer en répétant leurs chuchotements scandaleux à haute voix.

Tout progrès dépend de l'homme déraisonnable.

Quelle est la vie qu'une série de folies inspirées? La difficulté est de les trouver. Ne perdez jamais une chance: ça ne vient pas tous les jours.

Il n'y a aucune satisfaction à suspendre un homme qui ne s'y opposait pas.

Il est impossible pour un Anglais d'ouvrir la bouche sans que un autre Anglais le déteste ou le méprise.

Nous avons toujours la foi. Mais ce que nous attendions de Dieu, nous l'attendons aujourd'hui de la science médicale.

Jeunes, quelle pitié de le gaspiller sur les jeunes.

Les réformateurs ont l'idée que le changement peut être réalisé par la santé mentale brute.

Les critiques dramatiques sont aussi creux qu'il est possible de l'être sans s'écrouler physiquement.

Une vie de bonheur ! Aucun homme vivant ne pourrait le supporter : ce serait l'enfer sur terre.

La modestie n'est pas une vertu, seulement de la prudence.

La théorie selon laquelle la musique a un effet dépravé sur la morale a maintenant été abandonnée aux vieilles femmes des deux sexes.

La liberté est le souffle de la vie aux nations.

Il n'est pas vrai que les hommes peuvent être divisés en personnes absolument honnêtes et absolument malhonnêtes. Notre honnêteté varie avec la tension mise dessus.

Le sauvage s'incline vers des idoles de bois et de pierre, l'homme civilisé aux idoles de chair et de sang

La peur pousse les hommes à n'importe quelle décision extrême.

https://fr.wikipedia.org/wiki/George_Bernard_Shaw

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