George Boole
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@georgeBoole
Déploier les lois et les relations secrètes de ces hautes facultés de pensée par lesquelles tout ce qui est au-delà de la connaissance simplement perceptive du monde et de nous-mêmes est atteinte ou mûre, est un objet qui n'a pas besoin de louange à un esprit rationnel.
@georgeBoole
Je suppose que peu de personnes qui ont prêté attention à l'histoire de l'analyse mathématique, douteront qu'elle a été développée dans un certain ordre, soit que cet ordre a été, dans une large mesure, nécessaire - étant déterminé, soit par étapes de déduction logique, ou par l'introduction successive de nouvelles idées et conceptions, lorsque le moment de leur évolution était arrivé.
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Les lois générales de la nature ne sont pas, pour la plupart, des objets immédiats de perception.
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Il n'est pas de l'essence des mathématiques de se rendre avec les idées de nombre et de quantité.
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Je suis pleinement assuré qu'aucune méthode générale pour la solution de questions dans la théorie des probabilités ne peut être établie qui ne reconnaît pas explicitement, non seulement les bases numériques spéciales de la science, mais aussi les lois universelles de la pensée qui sont la base de la base de Tout raisonnement, et qui, quoi qu'ils puissent être quant à leur essence, sont au moins mathématiques quant à leur forme.
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Déploier les lois et les relations secrètes de ces hautes facultés de pensée par lesquelles tout ce qui est au-delà de la connaissance simplement perceptive du monde et de nous-mêmes est atteinte ou mûre, est un objet qui n'a pas besoin de louange à un esprit rationnel.
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Cette langue est un instrument de raison humaine, et pas seulement un moyen de l'expression de la pensée, est une vérité généralement admise.
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Déploier les lois et les relations secrètes de ces hautes facultés de pensée par lesquelles tout ce qui est au-delà de la connaissance simplement perceptive du monde et de nous-mêmes est atteinte ou mûre, est un objet qui n'a pas besoin de louange à un esprit rationnel.
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Peu importe à quel point un théorème mathématique peut sembler être correct, il ne faut jamais être convaincu qu'il n'y avait pas quelque chose d'imparfait jusqu'à ce qu'il donne également l'impression d'être belle.
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Je suis maintenant sur le point de mettre au sérieux le travail à travailler sur la préparation de la presse un compte rendu de ma théorie de la logique et des probabilités qui, dans son état actuel à la science et à la chose par laquelle je désirerais si tout du tout se souviendra ci-après.
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La probabilité est l'attente fondée sur les connaissances partielles. Une connaissance parfaite avec toutes les circonstances affectant la survenue d'un événement changerait l'attente de la certitude et laisserait la place inférieure à la place ni la demande d'une théorie des probabilités.
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Parmi les nombreuses formes de fausse culture, une conversation prématurée avec des abstractions est peut-être la plus susceptible de s'avérer fatale à la croissance d'une vigueur masculine de l'intellect.
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Je suppose que peu de personnes qui ont prêté attention à l'histoire de l'analyse mathématique, douteront qu'elle a été développée dans un certain ordre, soit que cet ordre a été, dans une large mesure, nécessaire - étant déterminé, soit par étapes de déduction logique, ou par l'introduction successive de nouvelles idées et conceptions, lorsque le moment de leur évolution était arrivé.
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Il s'ensuit que le mot probabilité, dans son acceptation mathématique, fait référence à l'état de notre connaissance des circonstances dans lesquelles un événement peut se produire ou échouer. Avec le degré d'information que nous possédons concernant les circonstances d'un événement, la raison pour laquelle nous devons penser qu'elle se produira, ou, pour utiliser un seul terme, notre attente de celui-ci variera. La probabilité est l'attente fondée sur les connaissances partielles.
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Il s'ensuit que le mot probabilité, dans son acceptation mathématique, fait référence à l'état de notre connaissance des circonstances dans lesquelles un événement peut se produire ou échouer. Avec le degré d'information que nous possédons concernant les circonstances d'un événement, la raison pour laquelle nous devons penser qu'elle se produira, ou, pour utiliser un seul terme, notre attente de celui-ci variera. La probabilité est l'attente fondée sur les connaissances partielles.
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Déploier les lois et les relations secrètes de ces hautes facultés de pensée par lesquelles tout ce qui est au-delà de la connaissance simplement perceptive du monde et de nous-mêmes est atteinte ou mûre, est un objet qui n'a pas besoin de louange à un esprit rationnel.