"Geronimo's Story of His Life" by Apache War Chief Geronimo as taken down by Stephen M. Barrett, Superintendent of Education, Lawton Oklahoma is an autobiography by the legendary Apache Chief in his own words. Barrett had Geronimo's Apache words translated into English by another Apache, Asa Delugie, a close friend. of Geronimo. In this way Geronimo's words & meanings are genuine & not "interpreted" by a white man with his own agenda. Geronimo 1829-1909 was a prominent leader of the Bedonkohe Apache who fought against Mexico and the United States for several decades during the Apache Wars because of their expansion into Apache tribal lands. Though outnumbered, Geronimo fought against both Mexican and United States troops from 1858 to 1886 and became famous for his daring exploits and numerous escapes from capture. At the end of his military career, he led a small band of 36 men, women, and children. They evaded thousands of Mexican and American troops for over a year, making him the most famous Native American of the time and earning him the title of the "worst Indian who ever lived" among the area's white settlers. In this book Geronimo, in his own words, recounts the story of his exciting life as referenced above. He also relates some of the Apache laws, customs, & religious rituals making this a valuable first-hand, eyewitness account of Apache Tribal life. Readers can also decide for themselves if Geronimo was treated fairly by the government after his surrender or not. A short book of 35, 200+ words, and approximately 117+ pages at 300 words per page, it also contains the illustrations from the original. It is a must-read for those interested in the Apache Wars & the Native American life of the Southwest. NOTE: This book has been scanned then OCR (Optical Character Recognition) has been applied to turn the scanned page images back into editable text. Then every effort has been made to correct typos, spelling, and to eliminate stray marks picked up by the OCR program. The original and/or extra period images, if any, were then placed in the appropriate place and, finally, the file was formatted for the e-book criteria of the site. This means that the text CAN be re-sized, searches performed, & bookmarks added, unlike some other e-books that are only scanned---errors, stray marks, and all. We have added an Interactive Table of Contents & an Interactive List of Illustrations if any were present in the original. This means that the reader can click on the links in the Table of Contents or the List of Illustrations & be instantly transported to that chapter or illustration. Our aim is to provide the reader AND the collector with long out-of-print (OOP) classic books at realistic prices. If you load your mobile device(s) with our books, not only will you have fingertip access to a large library of antiquarian and out-of-print material at reasonable prices, but you can mark them up electronically & always have them for immediate reference without worrying about damage or loss to expensive bound copies. We will be adding to our titles regularly, look for our offerings on your favorite e-book site.

Geronimo's Story of His Life

En 1904, un « inspecteur général de l'éducation » de Lawton (Oklahoma) rencontre un vieil Indien, prisonnier de guerre et déporté, loin de son Arizona natal, à Fort Sill où il terminait ses jours en cultivant des pastèques : il s'agissait du célèbre chef apache Géronimo qui avait tenu en respect victorieusement, des années durant, les meilleures troupes et les plus glorieux généraux des États-Unis. Des liens se nouèrent entre eux, sinon d'amitié (vu la méfiance légitime de l'Apache), du moins de respect mutuel. C'est ainsi que Géronimo accepta de raconter sa vie à S.M. Barrett, ce qui nous permet de lire aujourd'hui ce témoignage sur le génocide qui marqua la « conquête de l'Ouest » . Déjà vendu à plus de 50 000 exemplaires, ce témoignage du célèbre chef apache constitue un document irremplaçable sur le génocide des Indiens d'Amérique.

Mémoires de Géronimo

Tard un après-midi à notre retour de ville, nous avons été accueillis par quelques femmes et enfants qui nous ont dit que les troupes mexicaines d'une autre ville avaient attaqué notre camp, tué tous les guerriers de la garde, capturé tous nos poneys, obtenu nos armes, détruit notre fournitures et tué beaucoup de nos femmes et enfants.

La chanson que je chanterai est une vieille chanson, si vieille que personne ne sait qui l'a fait. Il a été transmis pendant les générations et m'a été enseigné quand je n'étais qu'un petit garçon. C'est maintenant ma propre chanson. Cela m'appartient. C'est une chanson sainte (chant de médecine), et grand est sa puissance. La chanson raconte comment, pendant que je chante, je passe dans l'air dans un lieu saint où Yusun (l'être suprême) me donnera le pouvoir de faire des choses merveilleuses. Je suis entouré de petits nuages, et comme je passe dans l'air, je change, devenant l'esprit seulement.

C'est ma terre, ma maison, la terre de mon père, à laquelle je demande maintenant à être autorisé à revenir. Je veux y passer mes derniers jours et être enterré parmi ces montagnes. Si cela pouvait être, je pourrais mourir en paix, le sentiment que mon peuple, placé dans leur foyer natal, augmenterait en nombre, plutôt que de diminuer comme à l'heure actuelle, et que notre nom ne deviendrait pas éteint.

Nous disparaissons de la terre, mais je ne peux pas penser que nous sommes inutiles, sinon Usen ne nous aurait pas créés. Il a créé toutes les tribus d'hommes et avait certainement un but juste dans la création de chacun.

Je suis né dans les Prairies où le vent s'est libéré et il n'y avait rien pour briser la lumière du soleil. Je suis né où il n'y avait pas de boîtiers.

Quand un enfant, ma mère m'a appris les légendes de notre peuple; m'a appris du soleil et du ciel, de la lune et des étoiles, des nuages et des tempêtes. Elle m'a également appris à m'agenouiller et à prier Usen pour la force, la santé, la sagesse et la protection. Nous n'avons jamais prié contre une personne, mais si nous avions eu un individu que nous avons nous-mêmes pris la vengeance. On nous a appris qu'Usen ne se soucie pas des petites querelles des hommes.

Depuis que ma vie de prisonnier a commencé, j'ai entendu les enseignements de la religion de l'homme blanc, et à bien des égards, croyez qu'il est meilleur que la religion de mes pères

Je ne peux pas penser que nous sommes inutiles ou que Dieu ne nous aurait pas créés. Il y a un Dieu qui nous regarde tous. Nous sommes tous les enfants d'un seul Dieu. Le soleil, l'obscurité, les vents écoutent tous ce que nous avons à dire.

J'ai été réchauffé par le soleil, basculé par les vents et abrité par les arbres comme d'autres filles indiennes. Je vivais pacifiquement quand les gens ont commencé à parler mal de moi. Maintenant, je peux bien manger, bien dormir et être content. Je peux aller partout avec un bon sentiment.

Je n'étais pas chef et je ne l'avais jamais été, mais parce que j'avais été plus profondément lésé que les autres, cet honneur m'a été conféré, et j'ai décidé de prouver digne de la confiance.

La sagesse et la paix viennent lorsque vous commencez à vivre la vie que le Créateur vous a voulu.

Nous n'avions pas d'églises, pas d'organisations religieuses, pas de jour du sabbat, pas de vacances, et pourtant nous avons adoré. Parfois, toute la tribu se réunissait pour chanter et prier; Parfois un nombre plus petit, peut-être seulement deux ou trois. Les chansons avaient quelques mots, mais n'étaient pas formelles. Le chanteur mettait occasionnellement des mots comme il le souhaitait au lieu du son de ton habituel. Parfois, nous prions en silence; Parfois, chacun priait à haute voix; Parfois, une personne âgée a prié pour nous tous. À d'autres moments, on se lève et nous parlerait de nos devoirs les uns envers les autres et à Usen. Nos services étaient courts.

Je suis né où il n'y avait pas de boîtiers.

Je n'ai pas honte d'être chrétien, et je suis heureux de savoir que le président des États-Unis est chrétien, car sans l'aide du Tout-Puissant, je ne pense pas qu'il puisse juger à juste titre pour gouverner tant de gens. J'ai conseillé à tous mes gens qui ne soient pas chrétiens, d'étudier cette religion, car cela me semble la meilleure religion pour permettre à un bien de vivre.

Je protégerai mon peuple si je vis. Pour moi, je n'ai pas peur car j'ai la parole d'Usen. Qui est le Nantan blanc pour penser qu'il peut opposer son pouvoir à celui d'Usen?

J'ai été réchauffé par le soleil, basculé par les vents et abrité par les arbres comme d'autres filles indiennes. Je peux aller partout avec un bon sentiment.

Les soldats n'ont jamais expliqué au gouvernement lorsqu'un Indien a été lésé, mais a signalé les méfaits des Indiens.

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