Gin Wigmore est une artiste néo-zélandaise, née le 6 juin 1986  à Auckland. Elle est auteure, compositrice et interprète.

J'ai de vrais purs et durs en Nouvelle-Zélande; Je m'occupe d'eux et je m'assure qu'ils obtiennent toujours des billets.

Je ne vis pas à être quelqu'un comme Christina Aguilera.

Je veux laisser tout le monde entendre ma musique et en profiter, mais aussi longtemps que c'est amusant. J'irai jusqu'à ce que cela devienne trop comme un travail de jour.

Je me souviens que lorsque j'ai écrit des chansons quand j'avais environ 16 ans, elles semblaient toutes la même chose parce que je ne savais rien. Et tout le sujet était tout de même parce que je n'avais pas fait grand-chose.

J'adore l'énergie aux États-Unis, vous savez. Tout le monde est vraiment excité. Vous vous sentez vraiment privilégié d'être là.

Ce serait génial, pour faire des disques totalement quand je veux et jouer un spectacle et avoir quelques centaines de personnes là-bas dans n'importe quelle ville dans laquelle vous allez parce que les gens connaissent vous et votre musique.

Je ne pense pas que je suis un bon compositeur.

J'ai beaucoup vécu depuis l'âge de 16 ans, donc j'ai plus de choses à écrire. J'ai commencé à jouer à travers le monde et j'ai rencontré des gens formidables en cours de route qui m'ont appris beaucoup de choses.

Écrire de la musique est un exercice si libérateur, et c'est vraiment agréable de jouer dans ce monde d'être confiant, vengeur - revenir à tous les mauvais petits amis.

J'ai écouté John Denver et Simon & Garfunkel. Edith Piaf était un grand favori. Ensuite, j'ai découvert des comédies musicales - j'ai adoré «Les Misérables» - et, vers 14 ans, j'ai commencé à écouter David Gray.

Je vais juste faire une tournée; C'est la meilleure façon pour les gens de me connaître. Se concentrer sur les trucs internationaux et pénétrer dans les États et le Royaume-Uni.

J'étais dans un groupe à Auckland, et je me souviens qu'ils m'ont tous détesté. Ils avaient une grande intervention. Ils ont dit, fondamentalement, «Gin, nous pensons que vous nouez». J'étais misérable. J'ai pleuré et pleuré. Mais en regardant en arrière, cela m'a appris sur les compétences sociales et comment communiquer avec les musiciens.

Quand je suis allé à Memphis et Mississippi et Nashville, j'ai appris que le blues est un mode de vie. Je n'ai pas vraiment le blues, mais je peux apprécier l'honnêteté et la simplicité.

Les gens pourraient penser que je suis un peu plus intimidant que moi.

La beauté d'être musicien écrit des chansons. C'est la meilleure partie. C'est thérapeutique et honnête et privé.

Mon père est en train de mourir était en fait une raison pour moi d'arrêter correctement la musique pendant environ un an, car il était un grand partisan. Tout ce que je voulais faire était d'écrire une chanson à son sujet et, vous savez, quand quelque chose est trop frais, vous ne pouvez pas tout à fait le dire.

Vous ne pouvez pas vous faire ressentir un chiffon.

Je dirais que l'essentiel est de rester fidèle à ce qui vous a mis à l'origine dans la musique. Quand j'ai écrit «Hallelujah», cela m'a enflammé de faire de la musique à cause de l'amour et de la joie que j'ai obtenus en écrivant cette chanson. En bas de la route, vous obtenez toutes ces opinions des gens; N'oubliez pas ce qui vous a commencé en premier lieu.

Je pense que j'étais probablement un cow-boy dans une vie passée.

Je suis tout domestiqué. Je me sens comme Susie la femme au foyer.

Je suis très ouvert avec les gens, très chaleureux, quand je les rencontre. Mes fans en particulier trouvent cela étrange et rafraîchissant.

C'est la grande chose à propos de l'écriture de chansons: vous avez ce temps pour avoir une perspective et regarder en arrière et réfléchir à toutes les choses que vous voudriez dire.

Lorsque vous êtes jeune, vous devez être idiot et être stupide et ne pas essayer de le faire lorsque vous avez 40 ans dans une voiture de sport rouge.

Je me suis mis aux affaires et j'ai commencé à écrire furieusement. J'ai porté mes doigts dans un état de façon insensible à tous les Tom, Dick et Harry dans le monde, y compris un gars nommé Charlie qui joue pour un homme nommé Bob, pour lutter contre mes émotions et faire ressortir le grain brut se cachant dans mon sous -conscient.

Je suis un grand croyant que lorsque nous mettons tellement dans nos emplois - et tout le monde le fait - vous méritez d'être payé pour cela au lieu de faire un concert et de devoir travailler dans un bar pendant huit heures.

Il est facile d'écouter un disque, mais une performance en direct est si personnelle et réelle.

Vous rompez et vous dites quelque chose de pathétique, ou vous ne parlez même pas du tout quand quelqu'un vous dit qu'il ne vous aime plus. Mais ensuite, vous y réfléchissez cinq minutes plus tard, et vous avez tous ces super retours!

J'ai une durée d'attention très courte, et cela a fait partie de la raison pour laquelle je suis tellement abasourdi du fait que je suis toujours resté avec la musique. Rien ne m'est jamais resté, et la musique est la seule chose qui a réussi à sortir pendant une longue période.

https://fr.wikipedia.org/wiki/Gin_Wigmore

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