Gordon Quinn
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@gordonQuinn
Leon Golub était peintre. Il était un artiste qui avait du mal à le faire dans le monde de l'art de New York, mais en même temps, il était un gars très politique et s'est engagé dans le monde qui l'entoure. Dans le film, nous avons vu comment ce monde a finalement empiété dans sa peinture. L'une de mes lignes préférées dans le film était la façon dont il devait être plus précis, «mais maintenant le pantalon a des rides, je détestais le faire, mais je devais le faire.
@gordonQuinn
Aucun de nos films ne se ressemble, nous sommes très dialectiques dans notre approche de chacun, et «Hoop Dreams» ne faisait pas exception. C'est ce que j'aime dans le cinéma documentaire, nous ne savons jamais où va l'histoire, nous ne savons pas ce qui va se passer ensuite, et nous sommes dans une culture de personnes que vous devez comprendre de nombreuses façons. C'est une relation entre ce que vous pensiez avoir été l'histoire, et ce qui se passe dans le «domaine». De cela vient l'histoire, qui était exactement ce qui s'est passé avec «Hoop Dreams».
@gordonQuinn
« Hoop Dreams » nous a ramenés à nos racines dans le cinéma de vérité. Ce que nous avons vu dans les scènes émotionnelles puissantes qu'il contient – pendant près de trois heures et sans pouvoir de star – était une sensibilisation à un public différent et plus important. Il y avait les gens impliqués de la même manière qui l'ont vu qui faisaient partie de la lutte, mais il y avait aussi un nouveau public qui n'était pas empathique ou sympathique aux gens que nous décrivions. Ils ne regarderaient jamais un film sur les familles du centre-ville, mais ils ont regardé "Hoop Dreams".
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La gentrification peut être une peste, car elle mange des quartiers.
@gordonQuinn
'Hoop Dreams' a été une lutte incroyable. Nous essayions de collecter des fonds au milieu du tournage, et le simple fait d'expliquer aux gens demandait beaucoup d'efforts. Je me souviens d'avoir parlé à quelqu'un qui aurait dû comprendre, cette personne était à la télévision publique, et ils ne pensaient pas que nous avions une histoire, jusqu'à ce que "peut-être que quelque chose de mal arrive à l'un des garçons". En plus d'être un peu sans cœur, c'était aussi faux.
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Leon Golub était peintre. Il était un artiste qui avait du mal à le faire dans le monde de l'art de New York, mais en même temps, il était un gars très politique et s'est engagé dans le monde qui l'entoure. Dans le film, nous avons vu comment ce monde a finalement empiété dans sa peinture. L'une de mes lignes préférées dans le film était la façon dont il devait être plus précis, «mais maintenant le pantalon a des rides, je détestais le faire, mais je devais le faire.
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C'est ce que j'aime dans le cinéma documentaire, nous ne savons jamais où va l'histoire, nous ne savons pas ce qui va se passer ensuite, et nous sommes dans une culture de personnes que vous devez comprendre de nombreuses façons. C'est une relation entre ce que vous pensiez avoir été l'histoire, et ce qui se passe dans le «domaine».