Forever Home - A Novel

Duneen, une petite bourgade du fin fond de l’Irlande où il ne se passe jamais rien. Lorsque des ouvriers découvrent des ossements sur un chantier, les projecteurs se braquent soudain sur ce village pétrifié dans le temps. Le grand jour du sergent Patrick James Collins, en passe de rater complètement sa vie, est peut-être finalement venu. Mais le policier prend conscience que, ce qu’il vient de déterrer, c’est surtout le sombre passé du lieu, les secrets et les regrets de toute une communauté. Son enquête lui révèle peu à peu la vie de ceux qu’il croyait connaître. Et si c’était précisément là que résidait le mystère ?Graham Norton dépeint, d’une plume mordante mais avec une grande humanité, une galerie de personnages attachants et plus vrais que nature.Traduit de l’anglais (Irlande) par Sarah Champion.

Rien qu'une vie

« Elle sourit intérieurement en mettant la dernière main aux préparatifs du buffet. Un cadavre avait été découvert à Duneen. Ça n'aurait pas pu mieux tomber. Certes, elle avait été déçue en apprenant qu'il ne s'agissait pas d'un charnier, mais, en un sens, c'était presque mieux. Un mystère unique. Les gens viendraient de toute la paroisse. »Le sergent Collins, semi-obèse en passe de rater complètement sa vie, a été envoyé à Duneen, petite bourgade du fin fond de l'Irlande où il ne se passe jamais rien. Mais sa petite vie est bouleversée le jour où on retrouve un cadavre sur un chantier. Soudain, les projecteurs sont braqués sur ce village pétrifié dans le temps. Le grand jour du sergent Collins est peut-être venu. Mais le policier ne va pas tarder à se rendre compte que ce qu'il vient de déterrer, c'est surtout le sombre passé du village, les secrets et les regrets de toute une communauté. Son enquête lui révèle peu à peu de quoi sont faites les vies de ceux qu'il croyait connaître. Et si c'était précisément là que résidait le mystère ?La plume mordante de Graham Norton donne vie à une galerie de personnages attachants et plus vrais que nature. Un premier roman d'une grande humanité. « Un roman maîtrisé dont vous n'êtes pas prêt d'oublier la beauté mélancolique. » Daily Express« Cette histoire aux accents tragicomiques est aussi émouvante que captivante. » Sunday Mirror« Un roman au charme fou... d'une tendresse surprenante. » Metro

Le sergent Collins, semi-obèse en passe de rater complètement sa vie, a été envoyé à Duneen, petite bourgade du fin fond de l’Irlande où il ne se passe jamais rien. Mais sa petite vie est bouleversée le jour où on retrouve un cadavre sur un chantier. Soudain, les projecteurs sont braqués sur ce village pétrifié dans le temps. Le grand jour du sergent Collins est peut-être venu. Mais le policier ne va pas tarder à se rendre compte que ce qu’il vient de déterrer, c’est surtout le sombre passé du village, les secrets et les regrets de toute une communauté. Son enquête lui révèle peu à peu de quoi sont faites les vies de ceux qu’il croyait connaître. Et si c’était précisément là que résidait le mystère ?

Toutes mes histoires intéressantes datent d'avant que je sois à la télévision. Rien d'intéressant ne m'est arrivé depuis. C'est peut-être parce que la chose la plus intéressante dans ma vie est la série et c'est à la télé.

Beaucoup de célébrités féminines sont très belles alors que beaucoup de célébrités masculines ne sont pas si chaudes.

Toute ma journée est passée à traiter avec d'autres personnes. Quand je rentre à la maison, j'aime que ce soit vide. La présence d'autres personnes dans ma maison m'agace un peu. J'aime rentrer à la maison et fermer les portes. Je me sens en état de mort cérébrale. Je suis relativement disponible, mais pas pour vivre avec.

Je ne pense pas que quiconque veut être gay.

En gros, je suis un très mauvais intervieweur. J'adore rencontrer des célébrités, mais ensuite je m'ennuie un peu. Une fois que vous les rencontrez, vous vous dites « vraiment, quelle personne ordinaire ».

L'une des grandes choses à propos de la gay et de la sortie est que les journaux ne se soucient pas de votre vie amoureuse.

Je suis en fait assez autosuffisant, donc il pourrait sembler qu'il n'y a de la place de personne dans ma vie. Ce n'est pas entièrement le cas.

Je fais du plaisir de choses très sans conséquence, comme faire du shopping pour des vêtements.

Un comédien est un comédien. C'est une bande très cynique. Je suppose que c'est pour ça que je les aime.

Ma vie aurait pu être si sombre ... vraiment, vraiment sombre.

Je ne pense pas avoir un mauvais goût. Je n'ai aucun goût.

Si vous aviez dit au jeune Graham Norton que j'aurais un jour ce montant d'argent, j'aurais supposé que cela serait venu d'une victoire de loterie.

Certaines personnes pensent qu'elles sont déprimées et qu'ils vont chez le médecin et veulent des pilules. Et vous pensez simplement: "Vous détestez où vous vivez, vous avez perdu votre emploi, votre petit ami vous a jeté, tout cela pourrait être pourquoi vous êtes déprimé?"

Parfois, l'état de la planète peut me faire tomber de mon perchoir guillerette.

Tous ces gens que j'interviewe valent dix fois ce que je vaux.

Ai-je plus de profondeur que je ne lui ai accordé du crédit? Non!

Plus votre profil devient élevé, plus vous êtes conscient que des gens pourraient vous détester.

J'ai entendu d'autres homosexuels dire quand ils grandissaient, ils se sentaient «étrangers». En grandissant, j'ai pu étiqueter ces sentiments comme: «Je suis protestant». Ce n'est que lorsque je suis parti, je me suis dit: "Oh, ce n'étaient pas des sentiments protestants."

Je sors souvent avec des gens, mais je ne le dis pas parce que vous savez en quelque sorte que cela ne durera pas longtemps.

La Grande-Bretagne est un petit endroit si tordu et étrange.

Parce que la société accorde une valeur à la masculinité, les homosexuels y aspirent. Si vous allez dans un club gay et que le portier vous dit : « Vous réalisez que c'est un club gay, n'est-ce pas les gars ? vous devenez tout excité parce que vous pensez, 'Wow, il pensait que j'étais hétéro !'

Je ne pense pas que vous devriez avoir à essayer d'être gentil, je pense que la plupart des gens sont gentils. Je pense qu'être gai et gentil n'est qu'une politesse.

S'il me était possible d'adopter, je le ferais probablement, mais personne ne me laissera adopter.

La seule fois où j'ai pris de l'effectif, c'était il y a des années et des années. C'était absolument incroyable.

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