Sampooran Singh Kalra, plus connu sous le nom de Gulzar, est un poète, parolier, réalisateur, scénariste, producteur et dramaturge indien, né le 18 août 1936 à Dina (alors en Inde britannique, aujourd'hui au Pakistan). Il travaille principalement dans les deux principales langues indiennes : hindi et urdu.

Une autre raison pour laquelle je n'ai pas fait de films est que j'aimais être au chômage, car c'est à ce moment que j'ai lu, étudier et écrire.

Le théâtre est un médium très beau et intéressant car c'est un spectacle live, contrairement à un film - une fois sorti, il est parti.

J'ai lu des livres, des livres physiques. Je suis à l'aise avec ça, je peux le porter. C'est mon habitude.

Traduire les œuvres d'une région pour une autre région a une beauté avec une connexion innée. Nous pourrions parler différentes langues, mais notre culture et notre histoire en sont une.

Une conscience sociale devrait se refléter dans votre poésie.

Si vous remarquez dans mes propres films, le mélange de chansons est distinct. Ils racontent des histoires et des scènes.

La NASA est mon site Web préféré. L'univers avec sa nature abstrait m'attire. L'élément abstrait de ma poésie vient de là.

Étant dans le Sahitya Akademi, je connaissais pas mal de poètes - Jayanta Mahapatra, Sitakant Mahapatra, Sunil Gangopadhyay, pour n'en nommer que quelques-uns. Ce sont des poètes d'argent.

La voix de l'univers peut être réduite au silence mais la voix des écrivains ne peut pas l'être.

Tamponner avec Tagore a toujours été effrayant. Cela se produit avec les maîtres, avec des poètes contemporains, vous connaissez leurs vibrations et leur signification. Tagore était différent; Son aura et la sensation de sa langue étaient différentes.

Je suis très satisfait de «Jai Ho» de «Slumdog Millionaire» qui obtient le Golden Globe. Cela signifie beaucoup pour les Indiens et la musique ici.

Je crois fermement que Tagore devrait être enseigné dans les écoles de toute l'Inde.

Un écrivain peut être identifié juste par son soupir, comme une bouchée de mots est inondée dans son seul soupir.

Même 150 ans de la première guerre d'indépendance ont été marqués d'une série de programmes, mais en quelque sorte, l'incident de Jallianwala Bagh n'a pas reçu l'attention qu'elle mérite.

C'est toujours humiliant et excitant d'être apprécié.

C'est une notion commune que si vous aimez Tagore, alors il doit avoir eu une influence sur votre vie. Bien que j'aime la poésie de Tagore et ses pensées, il n'influence pas mon travail.

Je suis un poète gourmand. Je continue de grignoter la vie tout le temps. Des moments doux, aigres et amers.

Je joue au tennis en short, j'ai traversé la longueur et l'étendue du pays de Khardung La Pass à Kanyakumari dans ma voiture d'ambassadeur bien-aimée, et j'ai compilé mon livre de paroles de 100, inspiré des paroles de Sting. Je ne souscris à aucune définition d'un poète en ourdou.

En grandissant, j'ai commencé à apprendre et à parler un mot ou deux en bengali et cela a augmenté le cercle de mes amis.

Mes chansons ne sont ni en colère ni amères, car je ne suis pas amer. J'espère et en tant qu'artiste, je dois être, pas seulement pour mon avenir ou pour l'avenir de mes enfants, mais pour le monde entier.

Si un film promeut l'harmonie communautaire, qui pour moi est au-delà de la religion, je suis heureux d'y travailler parce que la prémisse du film est conforme à mes croyances.

En ce qui concerne notre «Jai Ho», la chanson est devenue un super succès à cause de la composition de Rahman ... il a fait la chanson.

Il est bon d'être bien lié à la langue, à la littérature et à l'histoire de l'anglais, mais la connaissance de notre culture et de nos racines est tout aussi importante.

Si l'on est conscient et vivant, ce sont ses relations qui vous font vivre. Cela rend la vie qui vaut la peine d'être vécue.

La poésie de l'Inde ne peut être vraiment connue qu'en balayant la poésie de toutes les langues.

Lorsque ma famille a migré du Punjab pendant la partition, nous sommes venus à Delhi et moi étions inscrits à United Mission School.

Si deux-trois films de mines se lisent en même temps et si tous ont l'impression d'être du même parolier, quelque chose n'est pas tout à fait correct. La langue de tous doit être différente si ce sont des histoires différentes.

Le pouvoir manipule l'innocent et la terreur est née.

J'écris souvent sur la lune, et le plus souvent, c'est pour symboliser une personne ou une qualité.

Ses oeuvres