Augustus Richard Kenworthy dit Gus Kenworthy, né le 1er octobre 1991 à Chelmsford, au Royaume-Uni, est un skieur acrobatique et acteur américain et britannique spécialiste du slopestyle. 
Aux Jeux olympiques d'hiver de 2014, il remporte la médaille d'argent au slopestyle.

En grandissant, j'ai toujours voulu des enfants, et c'était l'une des choses qui m'ont rendu difficile d'accepter d'être gay, mais maintenant je sais que c'est totalement une option pour avoir des enfants.

Avoir une médaille olympique valide que vous pouvez être un franc-plus libre ... c'est comme un diplôme qui colle le reste de votre vie.

Le chien de ma famille, quand je grandissais, était un chien adopté que j'avais dans un abri pour mon anniversaire. J'ai toujours été très fortement ressenti d'adopter des animaux et d'essayer de sauver la vie des animaux.

J'adore Kim Chi le drag queen de «Rupaul's Drag Race», mais je ne suis pas sûr de la nourriture.

Je veux être le gars qui prend des noms, sur le podium et gagnant des événements.

J'ai passé 24 ans dans le placard en voulant parler si désespérément de qui j'étais et de ce que j'ai, mais trop peur.

J'ai eu des problèmes de genou et je m'inquiète pour mon épaule, mais je pense que mon maillon le plus faible est ma tête. Un casque ne peut faire que beaucoup, et j'ai vu les effets des lésions cérébrales. C'est une grande peur. Je pense que le maillon le plus faible de chacun est leur cerveau parce que c'est leur lien le plus fragile.

Je ne pense pas que vous deviez nécessairement être fou pour le freeski. Une grande partie du sport a à voir avec l'agilité et la négntité et la flexibilité et d'autres choses. C'est beaucoup de mémoire musculaire - c'est plus comme la danse, d'une certaine manière - c'est plus la technique que de la force ou de l'endurance.

Rencontrer dans le placard est la torture. C'est l'une des choses les plus difficiles, surtout si vous êtes complètement fermé.

J'adore que notre pays soit celui où vous avez la liberté de protester et de défendre ce en quoi vous croyez et en parler.

Je ne pense pas que cette chose me définisse, mais je sais qu'en sortant comme je l'ai fait, en quelque sorte presque pionnier dans les sports d'action - pour prendre cette position - que ce sera toujours une étiquette qui est coincée avec Moi, et je sais que je serai toujours le «skieur gay», et cela ne me dérange en fait pas.

L'idée d'être le premier homme ouvertement gay à concourir aux Jeux olympiques d'hiver - je l'embrasse totalement.

Je ne suis pas super superstitieux, mais si j'écoute une chanson et que je fais bien, alors cela devient ma chanson pendant aussi longtemps qu'elle fonctionne.

Je ne fais pas partie de ces gens qui peuvent manger ce que je veux et ne jamais aller au gymnase. Je dois travailler dur pour tous les résultats que je vois.

J'ai toujours au moins un livre avec moi. J'essaie de lire un livre par mois.

J'ai le public LGBT derrière moi, et il y a toutes ces personnes que je veux faire fier, et je veux bien faire à part moi-même.

L'une des parties les plus excitantes et les plus uniques du slopestyle est que chaque cours est unique. Vous ne savez pas vraiment à quoi vous attendre lorsque vous vous présentez lors d'un événement, et c'est toujours amusant d'essayer de faire une course ensemble.

Espérons que cela arrive à un point où, sur la ligne, les gens n'ont pas à sortir.

Lorsque nous avons des personnes élues en fonction qui croient en la thérapie de conversion et essaient de dépasser les droits trans dans l'armée et de faire ces choses qui attaquent directement la communauté LGBT, je n'ai aucune patience.

Lorsque vous pouvez aimer et apprécier et être fier de vous-même, cela facilite tout. Cela facilite l'entraînement, il est plus facile d'être dans le gymnase, et cela facilite le fait que tout le monde vous accepte et vous aime.

Concurrents, même amis qui diraient des choses qui étaient si homophobes, et - je ne pense pas qu'ils ont réalisé nécessairement l'impact que cela avait sur moi, parce que j'étais dans le placard, et je pense que c'est ce qui m'a fait vraiment peur de sortir.

Je pense qu'il est si important d'avoir une visibilité et de décomposer les stéréotypes et les stigmates et tout ce à quoi les gens sont si attachés.

Vous pouvez être gay et être fier de cela et ne pas avoir à vous soucier d'être infructueux ou inaccepté.

Pour quiconque dit «qui se soucie si vous êtes gay? Nous sommes en 2018: «Eh bien, beaucoup de gens se soucient parce que beaucoup de gens ont eu l'occasion d'être sorti, et il y a eu beaucoup de peur qui l'entoure. C'est la première fois que nous voyons une représentation, et à cause de cela, c'est un gros problème.

Je passe tellement de temps sur la route et voyage.

J'ai traversé des étirements de ma vie où j'ai été super concentré sur ce que je mange, puis vous êtes sur la route, et vous finissez par manger beaucoup de glucides et de tacos.

J'ai reçu beaucoup de messages d'enfants aux prises avec leur identité et leur sexualité, que ce soit parce qu'ils sont dans une famille religieuse ou une petite ville ou un sport qui n'est pas très acceptant. J'ai eu une tonne de sensibilisation et j'ai essayé de revenir aux enfants du mieux que je pouvais.

Le patinage artistique, en particulier les performances plus longues, est un tel exploit. Cela nécessite tellement d'endurance et est si beau.

Je suis en quelque sorte choqué que j'ai pu obtenir une médaille en 2014 et que j'ai vraiment eu le succès que j'avais auparavant parce que dès que je suis sorti, c'était comme un tout nouveau monde pour moi, et je me sentais si libre , tellement confiant, qu'il est en fait choquant que j'ai pu rivaliser d'une autre manière.

Tout ce que je peux vraiment dire, c'est d'encourager tous ceux qui sont dans le placard à sortir et de féliciter tous ceux qui l'ont fait.

https://fr.wikipedia.org/wiki/Gus_Kenworthy

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