Guy Sajer : Citations, Poésies, Biographie, Collections

Guy Sajer

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Guy Sajer

@guySajer

J'ai utilisé les mots et les expressions que mes expériences de Minsk à Kharkov me ont suggérée. Mais j'aurais dû réserver ces mots et expressions à ce qui est venu plus tard, même s'ils ne sont pas assez forts. C'est une erreur d'utiliser des mots intenses sans les peser et les mesurer soigneusement, ou ils auront déjà été utilisés quand on en aura besoin plus tard. C'est une erreur, par exemple, d'utiliser le mot effrayant pour décrire quelques compagnons brisés mélangés dans le sol: mais c'est une erreur qui pourrait être pardonnée.

il y a 1 an

Guy Sajer

@guySajer

Puis il y a eu la guerre, et je l'ai épousé parce qu'il n'y avait rien d'autre quand j'ai atteint l'âge de tomber amoureux.

il y a 1 an

Guy Sajer

@guySajer

J'ai utilisé les mots et les expressions que mes expériences de Minsk à Kharkov me ont suggérée. Mais j'aurais dû réserver ces mots et expressions à ce qui est venu plus tard, même s'ils ne sont pas assez forts. C'est une erreur d'utiliser des mots intenses sans les peser et les mesurer soigneusement, ou ils auront déjà été utilisés quand on en aura besoin plus tard. C'est une erreur, par exemple, d'utiliser le mot effrayant pour décrire quelques compagnons brisés mélangés dans le sol: mais c'est une erreur qui pourrait être pardonnée.

il y a 1 an

Guy Sajer

@guySajer

J'ai utilisé les mots et les expressions que mes expériences de Minsk à Kharkov me ont suggérée. Mais j'aurais dû réserver ces mots et expressions à ce qui est venu plus tard, même s'ils ne sont pas assez forts. C'est une erreur d'utiliser des mots intenses sans les peser et les mesurer soigneusement, ou ils auront déjà été utilisés quand on en aura besoin plus tard. C'est une erreur, par exemple, d'utiliser le mot effrayant pour décrire quelques compagnons brisés mélangés dans le sol: mais c'est une erreur qui pourrait être pardonnée.

il y a 1 an

Guy Sajer

@guySajer

Pas de temps à épargner: l'expression a pris toute sa signification, comme tant d'expressions en temps de guerre.

il y a 1 an

Guy Sajer

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La guerre atteint toujours les profondeurs de l'horreur à cause des idiots qui perpétuent la terreur de génération en génération sous le prétexte de la vengeance.

il y a 1 an

Guy Sajer

@guySajer

J'avais souvent pensé que si je réussissais à vivre pendant la guerre, je n'attendrais pas trop de vie. Comment ressentir la déception dans l'amour si la vie elle-même était continuellement dans le doute? Depuis Belgorod, la terreur avait renversé toutes mes idées préconçues, et le rythme de vie avait été si intense que l'on ne savait plus quels éléments de la vie ordinaire à abandonner afin de maintenir un semblant d'équilibre. Je n'étais toujours pas résigné à l'idée de la mort, mais je m'étais déjà juré pendant des moments de peur intense que j'échangerais quoi que ce soit - fortune, amour, même un membre - si je pouvais simplement survivre.

il y a 1 an

Guy Sajer

@guySajer

J'avais souvent pensé que si je réussissais à vivre pendant la guerre, je n'attendrais pas trop de vie. Comment ressentir la déception dans l'amour si la vie elle-même était continuellement dans le doute? Depuis Belgorod, la terreur avait renversé toutes mes idées préconçues, et le rythme de vie avait été si intense que l'on ne savait plus quels éléments de la vie ordinaire à abandonner afin de maintenir un semblant d'équilibre. Je n'étais toujours pas résigné à l'idée de la mort, mais je m'étais déjà juré pendant des moments de peur intense que j'échangerais quoi que ce soit - fortune, amour, même un membre - si je pouvais simplement survivre.

il y a 1 an

Guy Sajer

@guySajer

Seules les gens heureux ont des cauchemars, de la suralimentation. Pour ceux qui vivent une réalité cauchemardesque, le sommeil est un trou noir, perdu dans le temps, comme la mort.

il y a 1 an

Guy Sajer

@guySajer

Un jour est venu où j'aurais dû mourir, et après cela plus rien ne m'a semblé très important. Je suis donc resté tel que je suis, sans regret, séparé de la condition humaine normale.

il y a 1 an

Guy Sajer

@guySajer

J'ai utilisé les mots et les expressions que mes expériences de Minsk à Kharkov me ont suggérée. Mais j'aurais dû réserver ces mots et expressions à ce qui est venu plus tard, même s'ils ne sont pas assez forts. C'est une erreur d'utiliser des mots intenses sans les peser et les mesurer soigneusement, ou ils auront déjà été utilisés quand on en aura besoin plus tard. C'est une erreur, par exemple, d'utiliser le mot effrayant pour décrire quelques compagnons brisés mélangés dans le sol: mais c'est une erreur qui pourrait être pardonnée.

il y a 1 an

Guy Sajer

@guySajer

J'avais souvent pensé que si je réussissais à vivre pendant la guerre, je n'attendrais pas trop de vie. Comment ressentir la déception dans l'amour si la vie elle-même était continuellement dans le doute? Depuis Belgorod, la terreur avait renversé toutes mes idées préconçues, et le rythme de vie avait été si intense que l'on ne savait plus quels éléments de la vie ordinaire à abandonner afin de maintenir un semblant d'équilibre. Je n'étais toujours pas résigné à l'idée de la mort, mais je m'étais déjà juré pendant des moments de peur intense que j'échangerais quoi que ce soit - fortune, amour, même un membre - si je pouvais simplement survivre.

il y a 1 an