Après avoir obtenu son diplôme d'Amherst, une bourse Woodrow Wilson m'a permis de tester la profondeur de mon intérêt pour les bourses littéraires en commençant des études supérieures à l'Université Harvard.

Dans les années 1960 et 70, il n'y avait pas beaucoup de preuves. Nous connaissions vaguement les causes du cancer, mais des méthodes comme la génomique étaient très nouvelles.

Les écoles publiques auxquelles j'ai fréquenté étaient dominées par l'athlétisme et inspiraient rarement intellectuellement, mais j'ai apprécié un petit cercle d'amis intéressants malgré mon ineptie dans les sports d'équipe et ma préférence pour la lecture.

La science peut améliorer la vie d'une manière élégante dans la conception et le déplacement dans la pratique.

En tant que premier cycle au Amherst College, j'ai été dévoué aux romans dickensiens et au journalisme anti-œstablishment tout en répondant marginalement aux exigences prémédicales.

Toute personne diplômée de l'école de médecine en 1966 devait d'abord accomplir son service militaire avant de se lancer dans une carrière. Farouchement opposé à la guerre du Vietnam, j'ai cherché à l'éviter par une affectation au service de santé publique.

J'ai vu mes amis de l'école de médecine semblant être plus engagés dans le monde réel. Cela a provoqué une sorte de jalousie, et j'ai décidé d'aller à l'école de médecine après tout.

Je commence par la prémisse que le comportement est un élément incroyablement important de la médecine. Les habitudes des gens, leur volonté d'arrêter de fumer, leur volonté de prendre des mesures pour éviter la transmission du VIH, sont toutes des questions comportementales.

Je continue d'encourager les sociétés pharmaceutiques à mettre plus d'argent dans la R&D.

Juste après l'obtention du diplôme en 1966, comme beaucoup de mes contemporains, j'ai demandé une formation en recherche aux National Institutes of Health. Peut-être parce que sa femme était poète, Ira Pastan a accepté de m'emmener dans son laboratoire, malgré mon manque de références scientifiques.

Lorsque les élèves du secondaire demandent à passer leurs après-midi et leurs week-ends dans mon laboratoire, je suis étonné: je n'ai pas développé ce genre d'enthousiasme pour la science jusqu'à l'âge de 28 ans.

Un cancer n'est pas simplement un cancer du poumon. Il n'a pas simplement un certain type d'apparence au microscope ou un certain comportement, mais il présente également un ensemble de changements dans les gènes ou dans les molécules qui modifient le comportement des gènes, ce qui nous permet de catégoriser les cancers d'une manière très utile pour réfléchir à de nouveaux moyens de lutter contre le cancer par la prévention et le traitement.

Ma journée d'été idéale était de lire sur le porche.

L'une des principales caractéristiques de la vie au NIH à la fin des années 1960 était l'offre extraordinaire de cours du soir pour les médecins qui tentaient de devenir des scientifiques à l'approche de la trentaine.

Je suis né dans l'ombre de la Seconde Guerre mondiale, le 18 décembre 1939, sur la rive sud de Long Island, un produit de l'émigration du début du Venturage de la communauté juive d'Europe orientale à New York et à ses environs.

Notre plus gros thème est d'essayer de faire mieux fonctionner le NIH avec la même somme d'argent.

Tous les scientifiques fondamentaux qui se tournent vers le NCI pour obtenir un financement doivent savoir que je ne tolèrerai aucun recul sur l'étude des systèmes modèles et la poursuite des principes biologiques fondamentaux.

Chaque cancer semble différent. Chaque cancer a des similitudes avec d'autres cancers. Et nous essayons de traire ces différences et ces similitudes pour faire un meilleur travail pour prédire comment les choses vont fonctionner et faire de nouveaux médicaments.

J'ai l'habitude d'être entouré d'étudiants vraiment intelligents de 22 ans qui n'ont aucun problème à dire que quelque chose que j'ai suggéré n'est pas une très bonne idée.

J'avais appris le Bon Mot de Gertrude Stein que la médecine ouverte toutes les portes. Cela m'a incité, dans différentes humeurs, à considérer ma vie future comme un psychiatre littéraire, un spécialiste des maladies tropicales du globe-trotté ou un interniste académique.

En préparation d'une carrière en médecine universitaire, j'ai travaillé comme agent de la maison médicale à l'hôpital Columbia-Presbyterian de 1966 à 1968, puis j'ai rejoint le laboratoire de l'IRA Pastan aux National Institutes of Health en tant qu'associé clinique.

Je crois que nous allons avoir une appréciation beaucoup plus profonde des types d'anomalies dans les cellules cancéreuses et dans les cellules environnantes qui se nourrissent et répondent aux cancers sont des vulnérabilités qui nous permettront de faire de meilleures prévisions dont les types de médicaments fonctionneront pour traiter ces cancers.

J'avais appris que la science est un processus de découverte enrichissant et actif, et non l'absorption passive de ce que les autres avaient découvert.

Ses oeuvres