Harry Bernard, né Bernard Harry le 9 mai 1898 à Londres, en Angleterre, et mort le 16 mai 1979 à Montréal, est un journaliste, romancier et naturaliste québécois.

Le souvenir des joies perdues vaut mieux que les désirs inassouvis.

L'homme a beau être blasé, guéri de tous les enthousiasmes, revenu de tous les emportements, il reste en lui un fonds éternel de jeunesse. L'amour est une aventure qui garde son attirance.

Les femmes, toutes pareilles, ne se ressemblent qu'imparfaitement.

L'amour n'est pas une simple possession. S'aimer, c'est surtout se soutenir l'un l'autre dans l'épreuve, s'endurer dans les imperfections communes, se sacrifier ; c'est savoir grandir ensemble.

L'automne a beau se parer, comme une vieille coquette, s'orner de feuillages pourpres ou mordorés, il n'est que leurre et trompe-l'oeil.

Quels sacrifices attendre, quels renoncements espérer dans la poursuite d'un bien commun, quand l'égoïsme est roi ?

La jeunesse passe vite. C'est alors que compte la préparation à la vie.

L'homme ne peut pas être heureux, parce qu'il ne sait pas être simple.

Les nuages, c'est comme les rêves. Tantôt gais, tantôt tristes. On croit les tenir, ils se décomposent sous la main. Le souvenir est souvent ce qu'il en reste de meilleur.

https://fr.wikipedia.org/wiki/Harry_Bernard

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