Award-winning author Helen Dunmore's INGO saga, a beautiful mermaid series for readers of 9 and up, now available in an unmissable ebook collection containing all five novels. Readers will be drawn into a watery world of mystery and magic by this haunting, sea-drenched series set on the coast of Cornwall.

 Once there was a man who fell in love with a mermaid. He swam down into the sea to be with her, and was never seen again .

Ingo - Can you resist the call of the Deep?

Brusquement et sans signes avant-coureurs, Volkov tape du poing sur la table : « Vous pensez que je ne me rends pas compte que mon fils est très sérieusement malade ? Vous, les médecins, vous nous prenez tous pour des imbéciles ! Vous savez qui je suis ? »Andreï pose ses mains à plat sur ses genoux. D'une part, il ne sait pas quoi répondre. De l'autre, il devine que tout ce qu'il pourra dire sera pris pour de la provocation.Il est fort naturel qu'un père ait besoin besoin d'exprimer ses émotions. Et il faut surtout que Volkov ait le sentiment d'être un parent et rien d'autre, ici, dans cet hôpital.Mais Volkov est un des chefs de la terrible police secrète. On est à Leningrad, en 1952. Andreï, jeune et brillant pédiatre, a vu arriver dans son service un petit garçon souffrant d'un très grave cancer des os — le fils unique de Volkov. Or celui-ci n'accepte pas le disgnostic, ni le verdict : amputation d'une jambe. Quoi qu'il arrive, Andreï sera coupable et donc puni.Alors que faire, quand l'étau se referme sur lui et sa famille ? Partir dans une autre ville ? On le retrouvera. Se cacher ? C'est impossible. Lâché par ses collègues et amis, tous contaminés par la terreur ambiante et prêts à le trahir, il risque de payer le prix fort.Helen Dunmore est une des romancières les plus connues en Angleterre aujourd'hui. Elle est l'auteur de douze romans et d'ouvrages pour les enfants. Son œuvre est traduite en plus de trente langues.Trahir a été sélectionné pour le Man Booker Prize.

Trahir

Brusquement et sans signes avant-coureurs, Volkov tape du poing sur la table : 'Vous pensez que je ne me rends pas compte que mon fils est très sérieusement malade ? Vous, les médecins, vous nous prenez tous pour des imbéciles! Vous savez qui je suis?' 
Andreï pose ses mains à plat sur ses genoux. D'une part, il ne sait pas quoi répondre. De l'autre, il devine que tout ce qu'il pourra dire sera pris pour de la provocation. Il est fort naturel qu'un père ait besoin d'exprimer ses émotions. Et il faut surtout que Volkov ait le sentiment d'être un parent et rien d'autre, ici, dans cet hôpital. 

Mais Volkov est un des chefs de la terrible police secrète. On est à Leningrad, en 1952. Andreï, jeune et brillant pédiatre, a vu arriver dans son service un petit garçon souffrant d'un très grave cancer des os - le fils unique de Volkov. Or celui-ci n'accepte pas le diagnostic, ni le verdict : amputation d'une jambe. Quoi qu'il arrive, Andreï sera coupable et donc puni. 
Alors que faire, quand l'étau se referme sur lui et sa famille ? Partir dans une autre ville ? On le retrouvera. Se cacher ? C'est impossible. Lâché par ses collègues et amis, tous contaminés par la terreur ambiante et prêts à le trahir, il risque de payer le prix fort.

From the private papers of Winston Churchill to the tender notes of an unknown Tommy in the trenches, Love Letters of the Great War brings together some of the most romantic correspondence ever written. Many of the letters collected here are eloquent declarations of love and longing; others contain wrenching accounts of fear, jealousy and betrayal; and a number share sweet dreams of home. But in all the correspondence - whether from British, American, French, German, Russian, Australian and Canadian troops in the height of battle, or from the heartbroken wives and sweethearts left behind - there lies a truly human portrait of love and war. A century on from the First World War, these letters offer an intimate glimpse into the hearts of men and women separated by conflict, and show how love can transcend even the bleakest and most devastating of realities. Edited and introduced by Mandy Kirkby, with a foreword from Orange Prize-winner Helen Dunmore.

Love Letters of the Great War

Leningrad, 1952. Andrei, a young hospital doctor, and Anna, a nursery school teacher, are forging a life together in the postwar, postsiege wreckage. But their happiness is precarious, like that of millions of Russians who must avoid the claws of Stalin's merciless Ministry of State Security.

Betrayal, the

Dans la Finlande de 1900, bruissante du vent de la révolte contre la Grande Russie, un roman poétique, délicat et fiévreux, la métamorphose amoureuse d'une adolescente et son parcours initiatique vers l'indépendance et la liberté.Orpheline, la jeune Eeva est placée comme domestique chez Thomas Eklund, un médecin de campagne veuf. D'abord apaisée par la présence rassurante de cet homme réservé et bon, Eeva se sent bientôt étouffée par le jugement et les commérages des habitants du village. Désireuse de s'affranchir de son humiliante condition d'orpheline et de commencer enfin sa vie, elle part rejoindre Lauri, son ami d'enfance, à Helsinki.Avec ce presque frère, elle voudrait une amitié différente. Mais Eeva peine à se faire une place dans le coeur de Lauri, accaparé par la lutte politique et par l'amitié jalouse de Sasha, un étudiant tenté par l'action révolutionnaire.Les sentiments exacerbés, les rivalités et le combat pour la liberté vont précipiter le trio amoureux dans un drame qui bouleversera irrémédiablement leur existence...

La maison des orphelins

House of Orphans

House of orphans

Helen Dunmore, née le 12 décembre 1952 à Beverley (Royaume-Uni) et morte le 5 juin 2017 à Bristol (Royaume-Uni), est une écrivaine britannique.

Cependant, les difficultés et les plaisirs de l'écriture lui-même sont similaires pour un roman avec un cadre historique et un roman avec un cadre contemporain, en ce qui me concerne.

Ceux qui essaient d'effacer le passé blessent le présent.

Les enfants ne feront pas semblant de profiter de livres, et ils ne liront pas de livres parce qu'on leur a dit que ces livres sont bons. Ils recherchent un plaisir.

Écrire de la poésie vous rend intensément conscient de la façon dont les mots sonnent, à la fois à haute voix et dans la tête du lecteur. On apprend le poids des mots et leur sonorité à l'oreille.

Le désir humain de l'histoire est si puissant, si primitif, qu'il ressemble à quelque chose de non appris, mais enfermé dans nos gènes.

J'ai tellement appris en travaillant avec d'autres poètes, en voyageant et en lisant avec eux, passant des jours à discuter des poèmes en cours. Il y a le sentiment que nous sommes tous, en tant qu'écrivains, une partie de quelque chose qui est plus puissant que n'importe lequel d'entre nous.

En tant qu'individus, nous sommes façonnés par l'histoire depuis le moment de la naissance ; nous sommes formés par ce que nous disent nos parents, nos professeurs, nos intimes.

Pour toi où jamais ma sœur de sang, donc je ne t'appellerai pas petite soeur

Je me souviens avoir été dans mon landau: les enfants sont restés dans leurs landaus beaucoup plus longtemps qu'ils ne le font maintenant. Un gros landau gonflable avec des couvertures noires et une capuche avec des clips métalliques qui pourraient piéger vos doigts. Je regardais ma sœur qui était assise sur le siège de landau, le dos à moi.

Le deuil Ruby n'est pas un paysage plat: il ressemble plus à une boîte avec des images peintes sur chaque visage. Et chaque visage est également une porte qui s'ouvre, j'espère, pour emmener le lecteur profondément dans le livre.

J'aurais aimé être absent à Ingo loin de la mer saumoise

J'aime la recherche; En fait, la recherche est tellement engageante qu'il serait facile de continuer pendant des années et de ne jamais écrire le roman du tout.

Les poètes passent par un apprentissage très difficile dans l'utilisation des mots.

J'ai toujours été influencé par la langue.

Relire, réécrire, relire, réécrire. Si cela ne fonctionne toujours pas, jetez-le. C'est un sentiment agréable, et vous ne voulez pas être encombré des cadavres de poèmes et d'histoires qui ont tout en eux sauf la vie dont ils ont besoin.

La fiction est venue un bon moment plus tard. J'ai commencé avec des nouvelles et une fiction pour les enfants.

Si nous comprenons le passé, nous sommes plus susceptibles de reconnaître ce qui se passe autour de nous.

Je me concentre sur la vie des individus que le lecteur apprend et ressentent intimement.

Lorsque vous êtes jeune, vous ne réalisez pas toujours à quel point tout le monde est plein de doutes.

Ma première collection de poèmes a été publiée par Bloodaxe Books, qui était alors une toute nouvelle empreinte.

La langue doit être pleinement vivante - je ne peux pas supporter moi-même terne et flasque et je ne vois pas pourquoi un lecteur devrait le supporter.

Cependant, j'ai commencé à soumettre des poèmes à des magazines britanniques et certains ont été acceptés. Ce fut un grand moment pour voir mes premiers poèmes publiés. C'était comme entrer dans une tradition.

Les poètes que je connaissais étaient alors tous des hommes et que tous semblaient inquiet d'eux-mêmes - même si je suis sûr qu'ils étaient vraiment aussi incertains que moi.

Relire, réécrire, relire, réécrire. Si cela ne fonctionne toujours pas, jetez-le.

Essayer d'effacer l'histoire d'un individu est une terrible violation.

Un problème avec une écriture se clarifie souvent si vous allez vous promener.

https://fr.wikipedia.org/wiki/Helen_Dunmore

Ses oeuvres

Ses derniers livres