Un jardin est le miroir d'un esprit. C'est un lieu de vie, un mystère de verdure qui évolue au rythme de l'année, et qui fait pression et s'arrête sur l'ensemble selon ses propres rythmes inhérents.

La poésie est aussi nécessaire à la compréhension que la science. Il est aussi impossible de vivre sans révérence que sans joie.

Nous patronnions les animaux pour leur incomplétude, pour leur sort tragique d'avoir pris la forme si loin en dessous de nous-mêmes. Et là, nous nous trompons et nous errons grandement. Car l'animal ne doit pas être mesuré par l'homme. Dans un monde plus âgé et plus complet que le nôtre, ils sont plus finis et complets, offerts d'extensions des sens que nous avons perdus ou jamais atteints, vivant par des voix que nous n'entendrons jamais. Ce ne sont pas des frères, ce ne sont pas des subalternes; Ce sont d'autres nations, prises avec nous-mêmes dans le net de la vie et du temps.

Ne déshonorez pas la terre, le moins vous déshonorez l'esprit de l'homme.

Dans chaque coin vide, dans toutes les choses et les coins oubliés, la nature a du mal à verser la vie, versant la vie dans les morts, la vie dans la vie elle-même.

S'il y a une chose claire sur les siècles dominés par l'usine et la roue, c'est que bien que la machine puisse tout faire d'une cuillère à un atterrissage, une joie naturelle dans la vie terrestre est quelque chose qu'il n'a jamais et ne sera jamais capable de fabriquer.

Les animaux ne sont pas frères, ils ne sont pas subalternes ; ce sont d'autres nations, prises avec nous dans le filet de la vie et du temps.

L'animal ne doit pas être mesuré par l'homme. Dans un monde plus âgé que le nôtre, ils se déplacent finis et complets, offerts d'extensions du sens que nous avons perdu ou jamais atteint, vivant par voix que nous n'entendrons jamais.

Attendez-vous à ce que la nature réponde à vos valeurs humaines celles de venir dans votre maison et de s'asseoir sur une chaise.

Les créatures avec lesquelles nous partageons la planète et qui, dans notre arrogance, nous patronions à tort pour être des formes moindres, ce ne sont pas des frères, ce ne sont pas des subalternes, ce sont d'autres nations, prises avec nous-mêmes dans le net de la vie et du temps, camarade Prisonniers de la splendeur et du voyage de la terre.

Apprenez à révérencer la nuit et à ranger la peur vulgaire de celle-ci, car, avec le bannissement de la nuit de l'expérience de l'homme, il disparaît ainsi qu'une émotion religieuse, une humeur poétique, qui donne de la profondeur à l'aventure de l'humanité.

Pendant un moment de nuit, nous avons un aperçu de nous-mêmes et de notre île du monde dans un flux d'étoiles - des pèlerins de mortalité, en voyage entre les horizons à travers les mers éternelles de l'espace et du temps.

L'aventure du soleil est le grand drame naturel par lequel nous vivons, et ne pas avoir de la joie et la crainte, de ne pas y partager, c'est de fermer une porte terne sur l'esprit de maintien et de poétique de la nature.

Nous avons besoin d'un autre et d'un plus sage et d'un concept peut-être plus mystique des animaux.

Je suis heureux que le monde du pays ... conserve le pouvoir d'utiliser notre langue anglaise. Elle fait partie de son sens de la réalité, de son vocabulaire des termes définis et de son habitude de bon sens terrestre. Je trouve que ce pays écrivant un excellent correctif du vocabulaire urbain des abstractions et de l'émotion déguisée en pensée que les abstractions et l'humbugg ont permis le monde. Qu'il y ait toujours des choses comme une porte, un seau à lait et une miche de pain et des mots pour leur faire honorer.

Les trois grands sons élémentaires dans la nature sont le son de la pluie, le bruit du vent dans un bois primitif et le son de l'océan extérieur sur une plage.

Nous, de l'âge des machines, qui nous ont livré des ennemis nocturnes, avons maintenant une aversion pour la nuit elle-même. Avec des lumières et de plus en plus de lumières, nous conduisons la sainteté et la beauté de la nuit dans les forêts et la mer.

La nature fait partie de notre humanité, et sans conscience et expérience de cet homme mystère divin cesse d'être l'homme.

Apprenez à révérencer la nuit et à ranger la peur vulgaire de celle-ci.

Les feuilles tombent, le vent souffle et le pays de la ferme change lentement des cotons d'été dans ses bois d'hiver.

Les mers sont le sang du cœur de la terre.

Connaître uniquement la nuit artificielle est aussi absurde et mal que de ne connaître que le jour artificiel.

Aujourd'hui, le monde est malade de son sang mince faute de choses élémentaires, pour le feu devant les mains, pour l'eau qui jaillit de la terre, pour l'air, pour la chère terre elle-même sous le pied. Dans mon monde de plage et juin, ces présences élémentaires vivaient et avaient leur être.

Les mers sont le cœur du sang de la terre. Cuects et pétrisés par le soleil et la lune, les marées sont la systole et la diastole des veines de la Terre.

Lorsque les Pléiades et le vent dans l'herbe ne font plus partie de l'esprit humain, une partie de la chair et des os très le droit d'aînesse d'une véritable humanité.

Toucher la terre, aimer la terre, honorer la terre, ses plaines, ses vallées, ses collines et ses mers; Reposez votre esprit dans ses lieux solitaires.

Ses oeuvres