Traduit en une dizaine de langues et vendu à plus d’un million d’exemplaires, l'Économie en une leçon (1946) d'Henry Hazlitt est très vite devenu un classique. Encore aujourd’hui, c’est le meilleur livre d’initiation à l’économie qui existe. Il est écrit sans jargon et sans prétention ; la plume qui nous guide à travers une matière réputée aride a même le mérite d’être élégante. H. L. Mencken a dit avec raison de Hazlitt qu’il était « l’un des seuls économistes de l’histoire qui ait eu un talent pour l’écriture ». Et ce talent, on le retrouve pleinement dans ce livre.

L'économie en une leçon

Con oltre un milione di copie vendute negli Stati Uniti, "L'economia in una lezione" è ormai un testo classico della divulgazione economica. Conciso e istruttivo, oltre che incredibilmente preveggente e di ampio respiro, questo volume individua con precisione e chiarezza gli errori più diffusi nel modo in cui le persone interpretano i fatti economici. Idee errate non per questo sono meno influenti. Ieri come oggi, non c'è politica economica che non sia condizionata, quando non addirittura determinata, da alcuni degli errori logici che finiscono sotto la spietata analisi di Hazlitt. Come dice il titolo stesso, il libro vuole essere una introduzione ai principi fondamentali della scienza economica. Per Hazlitt, molte tesi in circolazione - che pure possono apparire geniali, nuove o in anticipo sui tempi - sono tanto vecchie quanto banali, sebbene confezionate secondo il gusto corrente. Tutto questo, ai suoi occhi, conferma ancora una volta la verità della massima: "chi ignora il passato è condannato a ripeterlo". Le preferenze di Hazlitt sono per le soluzioni fondate sulla libera cooperazione fra individui. In particolare, egli sviluppa una critica puntuale delle politiche keynesiane. La ragionata difesa del libero mercato e della libera iniziativa individuale, contro ogni nuovo "mercantilismo", rende "L'economia in una lezione" tanto rilevante oggi quanto sessant'anni fa. Henry Hazlitt (1894-1993), economista e giornalista, bisnipote dello scrittore britannico William Hazlitt, cominciò la propria carriera presso The Wall Street Journal, scrivendo poi per The New York Sun, The Nation, The New York Times e Newsweek. Fu vice presidente fondatore della Foundation for Economic Education e direttore della rivista The Freeman. Con il suo testo di maggior successo, "L'economia in una lezione" (del 1946), Hazlitt ha portato le sue idee e quelle della cosiddetta Scuola austriaca dell'economia all'attenzione del dibattito americano, influenzando intere generazioni di intellettuali.

L'economia in una lezione. Capire i fondamenti della scienza economica

L'économie politique en une leçon

Les Times appellent le courage. Les Times appellent un travail acharné. Mais si les demandes sont élevées, c'est parce que les enjeux sont encore plus élevés. Ils ne sont rien de moins que l'avenir de la liberté humaine, ce qui signifie l'avenir de la civilisation.

La première (leçon) que nous rencontrons encore et encore dans l'histoire, est qu'une fois que les programmes de relief Dole ou similaires sont introduits, ils semblent presque inévitablement - à moins d'être entourés des restrictions les plus rigides - pour devenir incontrôlables. La deuxième leçon est qu'une fois que cela se produit, les pauvres deviennent plus nombreux et pires qu'ils ne l'étaient auparavant, non seulement parce qu'ils ont perdu l'autonomie, mais parce que les sources de richesse et de production sur lesquelles ils dépendent pour les ports ou les emplois sont diminués ou détruit.

Le multiculturalisme signifie que votre enfant doit apprendre un misérable chant tribal pour le concert de vacances scolaires au lieu de chanter «Rudolph le renne au nez rouge».

D'un point de vue strictement économique, l'achat d'or dans une inflation majeure et la détention présente probablement le moins de risque de perte de capital de tout investissement ou spéculation.

La seule façon dont les bureaucrates du gouvernement connaissent de maintenir la prospérité est d'enfuser davantage - d'augmenter le déficit ou de pomper plus d'argent dans le système.

Le seul véritable remède contre la pauvreté est la production.

Il n'y a pas plus de moyen de dissuader l'emploi que de harceler et de pénaliser les employeurs.

Le «secteur privé» de l'économie est, en fait, le secteur volontaire; et le «secteur public» est, en fait, le secteur coercitif.

L'armée de secours et d'autres bénéficiaires de subventions continueront de croître, et la solvabilité du gouvernement deviendra de plus en plus incomparable, tant qu'une partie de la population peut voter pour forcer l'autre partie à la soutenir.

Le triste fait est qu'aujourd'hui la plupart des chefs de grandes entreprises en Amérique sont devenus si confus ou intimidés que, si loin de porter le marché libre à l'argument à l'ennemi, ils ne se défendent pas adéquatement même lorsqu'ils sont attaqués.

Le pouvoir arbitraire du gouvernement est multiplié quotidiennement par l'hypothèse désormais pratiquement incontestée selon laquelle partout où il y a un problème de quelque nature que ce soit à résoudre, le gouvernement est l'agence pour intervenir et le résoudre.

Les envieux sont plus susceptibles d'être apaisés en voyant d'autres privés d'un certain avantage qu'en l'obtenant pour eux-mêmes. Ce n'est pas ce qui leur manque qui les trouble principalement, mais ce que les autres ont.

Le gouvernement ne peut rien nous donner sans nous priver d'autre chose.

L'État, bien sûr, est absolument indispensable à la préservation de la loi et de l'ordre et de la promotion de la paix et de la coopération sociale. Ce qui est inutile et maléfique, ce qui abréce la liberté et menace le véritable bien-être de l'individu, c'est l'État qui a usurpé des pouvoirs excessifs et s'est développé au-delà de sa fonction légitime - le super État, l'État socialiste, l'État redistributif, en bref, L'état de providence ironiquement mal nommé.

L'aide du gouvernement à gouvernement repose sur des hypothèses socialistes et favorise le socialisme et la stagnation, tandis que les investissements étrangers privés reposent sur les hypothèses capitalistes et favorisent les entreprises privées et la croissance économique maximale.

Nous ne pouvons pas distribuer plus de richesse que ce qui est créé. Nous ne pouvons à long terme que le travail de rémunération dans son ensemble qu'il ne produit.

Le besoin n'est pas de la demande. La demande économique efficace nécessite non seulement un besoin de pouvoir d'achat correspondant.

Contrairement aux préjugés séculaires, la richesse des riches n'est pas la cause de la pauvreté des pauvres, mais aide à atténuer cette pauvreté.

La concurrence a toujours tendance à provoquer la méthode de production la plus économique et la plus efficace. Ceux qui réussissent le plus dans ce concours acquérir plus de capitaux pour augmenter encore leur production; Ceux qui réussissent les moins réussis seront forcés de quitter le terrain. Ainsi, la production capitaliste tend constamment à être entraînée entre les mains des plus efficaces.

Il ne fait aucun doute que de nombreux égalitaires sont motivés au moins en partie par envie.

La seule façon dont nous nous souvenions serait de relier constante, car les connaissances inutilisées ont tendance à disparaître. Les connaissances utilisées n'ont pas besoin de se souvenir; Les habitudes et les habitudes des formes de pratique rendent la mémoire inutile. La règle n'est rien; L'application est tout.

La tendance des dépenses sociales aux États-Unis a été de augmenter à un rythme exponentiel.

La considération vitale des incitations est presque systématiquement négligée dans les propositions d'agitateurs pour des régimes de bien-être du gouvernement de plus en plus. Nous devons tous nous préoccuper du sort des pauvres et des malheureux. Mais la question difficile en deux parties à laquelle tout plan pour soulager la pauvreté doit répondre est: comment pouvons-nous atténuer les sanctions de l'échec et du malheur sans saper les incitations à l'effort et au succès.

Le fardeau de montage de l'imposition compromet non seulement les incitations individuelles à l'augmentation du travail et des bénéfices, mais de manière à décourager l'accumulation de capital et les déformations, les déséquilibres et la production.

Plus un gouvernement entreprend des choses à faire, moins il peut faire des choses. Lorsque le gouvernement essaie de faire tout, il doit tout faire mal.

Lorsque le gouvernement accorde des prêts ou des subventions aux entreprises, ce qu'elle fait est de taxer une entreprise privée réussie afin de soutenir les entreprises privées infructueuses.

Pour qu'une seule industrie puisse se développer ou naître, une centaine d'autres industries devraient rétrécir.

Vous ne pouvez pas faire en sorte qu'un homme en valait un montant donné en rendant illégal pour quiconque lui offre quoi que ce soit de moins. Vous le privez simplement du droit de gagner le montant que ses capacités et sa situation lui permettraient de gagner, tandis que vous privez la communauté même des services modérés qu'il est capable de rendre. En bref, pour un salaire bas, vous remplacez le chômage. Vous blessez tout autour, sans compensation comparable.

La dilution de la masse monétaire avec du papier est l'équivalent moral de la dilution de l'approvisionnement en lait avec de l'eau.

Il est possible d'augmenter le revenu en papier à tout montant en débassant la devise. Mais le revenu réel ne peut être augmenté qu'en travaillant plus dur ou plus efficacement, en économisant plus, en investissant davantage et en produisant plus.

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