« Où pensez-vous que soit Livingstone ?
- Je n'en sais vraiment rien, monsieur.
- Croyez-vous qu'il soit mort ?
- Possible que oui, possible que non.
- Moi, je pense qu'il est vivant, qu'on peut le trouver, et je vous envoie à sa recherche.
- A la recherche de Livingstone ! Mais c'est aller au centre de l'Afrique ! Est-ce là ce que vous entendez ?
- J'entends que vous partiez, que vous le retrouviez, n'importe où il soit, que vous rapportiez de lui toutes les nouvelles possibles ; et qui sait !... le vieux voyageur est peut-être dans le besoin. Prenez avec vous tout ce qui pourra lui être utile. Naturellement vous suivrez vos propres idées ; faites comme bon vous semblera ; mais retrouvez Livingstone. »

Comment j'ai retrouvé Livingstone - Voyages, aventures et découvertes dans le centre de l'Afrique

Le 16 octobre de l'an du Seigneur 1869, j'étais à Madrid, calle de la Cruz ; j'arrivais du carnage de Valence. A dix heures du matin, Jacopo m'apporte une dépêche ; j'y trouve les mots suivants : « Rendez-vous à Paris ; affaire importante. » Le télégramme est de James Gordon Bennett junior, directeur du New-York Herald.

Mes tableaux sont décrochés de la muraille ; mes livres, mes souvenirs vont dans mes caisses ; mes effets sont réunis : ceux-ci à demi lavés ; ceux-là, pris sur la corde, à moitié secs.

Fruit d'une sélection réalisée au sein des fonds de la Bibliothèque nationale de France, Collection XIX a pour ambition de faire découvrir des textes classiques et moins classiques dans les meilleures éditions du XIXe siècle.

Mais mes estimations, par exemple, basées sur des informations tirées de livres, étaient tout simplement ridicules, les images fantaisistes des attractions africaines se sont rapidement dissipées, les plaisirs anticipés ont disparu et toutes les idées grossières ont commencé à prendre forme.

J'avais l'intention d'être entré en Afrique incognito. Mais le fait qu'un homme blanc, même un Américain, était sur le point d'entrer en Afrique était bientôt connu partout dans Zanzibar.

Le socialisme est un retour dans des conditions primitives.

Le Dr David Livingstone a quitté l'île de Zanzibar en mars 1866.

Lorsque j'examine la conclusion [sur les expériences avec les expériences de l'ampoule électrique publiées dans The Herald] que tout le monde connaissait le sujet reconnaîtra comme un échec remarquable, a trompé un merveilleux succès, je [conclura] ... que l'écrivain .. . Doit soit très ignorant, et la victime de la tromperie, soit un complice conscient dans ce qui n'est rien de moins qu'une fraude au public.

Un obstacle insurmontable au transit rapide en Afrique est le manque de transporteurs, et comme la vitesse était l'objet principal de l'expédition sous mon commandement, mon devoir était de diminuer cette difficulté autant que possible.

La religion agit comme un jardinier moral, pour éliminer ou supprimer les tendances perverses qui, comme les mauvaises herbes et les orties, tiraient spontanément dans le merveilleux compost du jardin, s'il était inconnu.

Plus j'obtiens plus d'expérience et de perspicacité sur la nature humaine, plus je deviens convaincu que la plus grande partie d'un homme est purement animale.

Le ciel sourit avec amour sur la terre et ses enfants.

Les Européens et les Américains résidant dans la ville de Zanzibar sont soit des représentants du gouvernement, des marchands indépendants ou des agents pour quelques grandes maisons commerciales en Europe et en Amérique.

Ses oeuvres

Ses derniers livres