Mais si, essayez, de mauvaises nouvelles.
Le malheur des autres rassure.
C'est bon de compatir de temps en temps.

Sac à toxines

Au travers de la brillante analyse de Henry Thomas, nous sommes confrontés à une approche originale de la mythologie comme à celle d'un recueil de textes extraordinaires porteur d'une intense réflexion sur les tragédies touchant la vie de famille. Cette relecture est un moyen d'aborder la souffrance et la violence. Elle ouvre la voie aux dialogues.

La police, la justice, les associations d'aide à l'enfance s'interrogent sur comment prendre en charge des familles en difficulté avec des enfants mineurs ayant basculé dans la délinquance et la violence. Renouer une écoute et un dialogue semble inaccessible.

La relecture de la mythologie se présente comme une occasion de repenser ensemble la manière de se penser, de penser ses rapports aux autres, de repenser la manière de prendre en charge et d'aider les enfants et les familles en difficulté.

La mythologie et la vie de famille

Pour l'auteur, le concept d'être en soi passe par le fait de se sentir bien dans son corps. Ensuite vient la volonté d'autonomie, celle d'être soi. Enfin survient l'espoir d'une conscience plus exigeante, celle d'être dans un au-delà de soi. Ce parcours apparemment ordinaire est semé d'embûches. La traversée de l'enfance au cours de laquelle se mettent en place les bases de l'identité est difficile si elle se fait au sein d'une famille pathologique - souvent source d'un mal-être dont on ne comprend pas vraiment l'origine.
Il est pourtant possible de quitter l'emprise de ces convictions liées à des troubles relationnels qui, jusque-là, restaient une contrainte efficace et incompréhensible, bloquant la possibilité d'être vraiment dans son corps. Le parcours est souvent long et difficile. Son succès ouvre sur un mieux-être très conséquent. Thomas Henry a voulu rappeler les étapes de la construction de l'identité, la chevauchée des fantasmes de l'enfance. Il a voulu montrer comment la vie de chaque individu s'insère dans l'histoire de ses parents et de leurs prédécesseurs, dans une époque particulière.

Être

L'adaptation à la réalité se construit pour l'essentiel au cours des sept premières années de la vie.
 Toutefois une situation intenable peut avoir des conséquences dramatiques sur ce processus et, par défense, engendrer un refus de la réalité. 
L'enfant, avec ses moyens limités, se protège de l'insupportable, et tout d'abord de la perversité de l'autre - la mère ou le père - dont il dépend.  sa volonté d'éviter la souffrance l'engage dès lors dans de fausses attitudes qui le tourmenteront jusqu'à l'empêcher de vivre.
 L'objet de cet ouvrage, qui prolonge les analyses de souffrances d'enfance, est de mettre au jour ces problématiques inconscientes à la source de nos pathologies les plus profondes et des difficultés que rencontrent nos sociétés - maltraitance, pédophilie, délinquance.  cependant, cette réflexion sur notre identité n'est pas sans espoir.  elle montre aussi qu'il est possible de changer, que notre culture porte en elle les ressources nécessaires pour favoriser une perception plus juste de soi-même et une relation apaisée avec le monde.

Refus de la realite (les)

La mythologie grecque recèle une étonnante connaissance de l'âme humaine et permet de saisir comment se nouent et se dénouent les fantasmes les plus enfouis, les complexes les plus archaïques. Le destin des dieux et des héros vivant sous le joug des malédictions ressemble singulièrement à celui de l'enfant souffrant, confronté à l'immaturité et aux délires parentaux, à l'absence d'amour, à l'abus sexuel, à la maltraitance... Hercule, Dionysos ou Perséphone n'incarnent-ils pas, tour à tour, les ravages de la soumission aux adultes menteurs, violents et persécuteurs et la lutte pour échapper à leur emprise ? Narcisse, Orphée ou Pan n'affrontent-ils pas l'angoisse de séparation, la terreur de l'abandon et du rejet ? Autant de récits qui nous éclairent effectivement sur la transmission inconsciente des troubles psychiques et ses néfastes conséquences dans l'histoire familiale. A travers la brillante analyse d'Henry Thomas, les textes anciens, sans perdre de leur puissance poétique, deviennent ainsi un fabuleux recueil de psychopathologie où puiser une meilleure compréhension des douloureux traumatismes de notre enfance qui, trop souvent, nous empêchent de vivre.

Souffrances D'Enfance. De La Mythologie A La Psychanalyse

J'ai compris pourquoi des films ont été réalisés, et s'ils gagnaient beaucoup d'argent, ils ont réussi. Toutes ces choses que je savais. En tant que garçon de dix ans, je ne pensais pas vraiment aux finances ou aux célébrités. J'ai toujours considéré les films comme un genre de ce que j'imaginais d'un camp d'été.

J'ai grandi dans une zone rurale, j'étais d'une sorte de famille pauvre et mes parents n'étaient pas des gens de showbiz. Mais revenir en arrière était étrange, et peut-être étranger pour les autres étudiants.

Mon fils, qui a 7 ans, il a passé une voiture dans un parking qui était probablement un modèle de 1998, et il a dit: "Wow, papa, regarde cette vieille voiture." Je cherchais une vieille voiture et j'ai réalisé que ma vieille voiture s'arrête peut-être en 1965.

Bien sûr, il y a eu des moments où j'ai regretté d'être l'enfant dans «E.T.» Mon monde est devenu complètement fou. J'étais ce stupide un peu célèbre, où tu ne peux aller nulle part.

Je ne sais pas si j'étais tellement un étranger qu'après avoir commencé à faire des films. Cela m'a mis à l'extérieur. J'ai grandi au Texas, et je n'étais pas l'enfant des parents de l'industrie, et je n'avais pas beaucoup d'amis dans l'industrie ou quelque chose comme ça.

La seule chose que j'ai toujours faite est d'essayer de ne rien compliquer.

C'était comme ça pendant les six premiers mois après «E.T.» était dans les cinémas. Je sortirais et me faisais assaillir. J'étais un enfant timide, et être approché par des adultes tout le temps m'a fait flipper.

Il est plus difficile de rire que de pleurer.

Chaque fois que j'en ai l'occasion, je prends un train et je vais au Pays de Galles et j'engage une voiture et je conduis.

J'ai compris que je pouvais penser à mon chien d'enfance qui était mort et que je pouvais me faire pleurer. J'ai donc utilisé ce pauvre chien mort pendant plusieurs années jusqu'à ce que cela ne fonctionne plus, et j'ai dû trouver autre chose.

Je me souviens, quand j'étais enfant dans les années 70 et 80, les années 50 étaient vraiment cool. Et puis les années 60 étaient vraiment cool. Puis les années 70.

Je suis tellement fatigué que tout le monde parle de «Stranger Things», je pense que j'ai développé un bloc mental contre le regarder.

Je recevais beaucoup de tracas du public. Tout le monde m'a reconnu.

L'idée d'un film séjournant dans les salles pendant un an est un fantasme aujourd'hui.

J'étais très sensible et je le suis toujours, mais quand j'étais enfant, je pouvais puiser dans mon état émotionnel assez facilement.

Si je peux générer suffisamment de revenus, j'aimerais obtenir un château, un château historique que je peux restaurer.

La chose la plus difficile d'être un acteur d'enfant est juste de séparer «c'est ma vie professionnelle» et «c'est ma vie d'enfants». C'était toujours la partie difficile pour moi.

Même si j'avais un smoking, je ne le porterais pas à l'école.

En voyant une période capturée dans le film, vous savez, cela vous fait vous sentir nostalgique.

Je complique probablement les choses inutilement maintenant juste pour donner l'illusion du professionnalisme.

J'ai des chevaux, je conduis un camion et je porte des bottes de cowboy. Je suis d'abord un Texan.

Je ne sais pas s'il n'y a pas de films comme «E.T.» plus. Je pense juste que l'industrie a tellement changé. Il y a tellement de points de vente maintenant.

Plusieurs fois, vous entrez dans une pièce et les gens ont déjà décidé. Mais il est toujours bon d'avoir quelque chose de grand associé à vous.

Je pense que c'est génial quand les filles sont artistiques.

Je ne peux pas rester à L.A. trop longtemps ou ça commence à grandir sur moi dans le mauvais sens.

Je recevrais inévitablement les filles qui m'intéressaient parce que j'étais le gars de E.T. C'était un peu difficile. Je ne peux pas nier de ne jamais capitaliser dessus, mais dans l'ensemble, dans mes adolescents, j'étais assez vertueux.

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