Explore Frank Walter's relationship to Antigua through a range of works and writings that express his intimate connection to Caribbean nature, landscape, and place.

«Nothing seems to be reworked-it is as if each piece drew or painted itself without being adjusted, revised, or fussed over.» -Hyperallergic

Influenced by his studies of agriculture and the sugar industry in the former British colony of Antigua as well as in England, Scotland, and West Germany, Walter created work inspired by his thoughts, knowledge, journeys, and surroundings-work that encompassed painting, drawing, writing, sculpture, photography, and sound. His paintings-tender, quiet, and lush-transcend the traditional tourist's view of island life in favor of perspectives that explore how and why we look at where we are.

Published on the occasion of the 2022 exhibition at David Zwirner, this catalogue includes an introduction by the show's curator Hilton Als. Barbara Paca, the leading expert on Walter, writes a text detailing her personal experience meeting Walter and being in his presence. An essay by Charlie Porter takes readers on a walk as he muses about Walter's life and the nature depicted in his paintings. Joshua Jelly-Schapiro travels to Antigua to explore the history of the island and Walter's lasting impact there.

By land, air, home, and sea : The world of Frank Walter

Gay, noir, américain : on a toutes les chances de se tromper en définissant ainsi Hilton Als. Car, en dépit de leur exactitude, l'auteur de White Girls n'a de cesse d'interroger la pertinence de ces catégories censées fonder une identité. Mêlant récits autobiographiques, fiction, critique littéraire, musicale et artistique, les essais qui composent ce livre tracent les contours d'un imaginaire collectif dont l'idéal serait la « fille blanche ».
Truman Capote, Michael Jackson, Flannery O'Connor, André Leon Talley, Basquiat, ou encore la mère de Malcolm X, sont autant de white girls radiographiées par le regard de cet écrivain sensible et impitoyable qui se reconnaît pour seuls maîtres Proust, Joan Didion et James Baldwin.

White girls

A comprehensive visual survey of the work of Catherine Opie, one of America's foremost contemporary fine art photographers For almost forty years. Catherine Opie has been documenting with psychological acuity the cultural and geographic identity of contemporary America. This unique artist monograph presents a compelling visual narrative of Opie's work since the early 1980's, pairing images across bodies of work to forma full picture of her artistic vision. Featuring more than 300 beautiful full-page illustrations and made in close collaboration with Opie, this book marks a turning point in the consideration of this iconic artist's work to date. Includes four newly commissioned essays by Hilton Als, Douglas Fogle, Helen Molesworth, and Elizabeth A.T. Smith, and an interview with the artist by Charlotte Cotton.

Catherine Opie

À la fois récit autobiographique et manifeste sociopolitique, Les Femmes est l'essai que Hilton Als consacre à trois figures majeures de sa vie et de son éducation : sa mère, immigrée de La Barbade à Manhattan ; Dorothy Dean, une mondaine underground du New York des années 70 et 80 ; enfin, Owen Dodson, un poète et dramaturge gay qui fut le premier amant de Als.Tous avaient un point commun : noirs, ils avaient bâti leur identité et leur vie sur le refus ou la subversion des stéréotypes associés au concept de la " Négresse " dans la culture américaine. C'est ce concept que Hilton Als déplie dans Les Femmes : l'analyse la plus scrupuleuse se mêle à l'émotion, et produit une pensée nouvelle, vivante, explosive.

Les femmes

À la fois récit autobiographique et manifeste sociopolitique, Les Femmes est l'essai que Hilton Als consacre à trois figures majeures de sa vie et de son éducation : sa mère, immigrée de La Barbade à Manhattan ; Dorothy Dean, une mondaine underground du New York des années 70 et 80 ; enfin, Owen Dodson, un poète et dramaturge gay qui fut le premier amant de Als. 

Tous avaient un point commun : noirs, ils avaient bâti leur identité et leur vie sur le refus ou la subversion des stéréotypes associés au concept de la " Négresse " dans la culture américaine. C'est ce concept que Hilton Als déplie dans Les Femmes : l'analyse la plus scrupuleuse se mêle à l'émotion, et produit une pensée nouvelle, vivante, explosive. 

Traduit de l'anglais (États-Unis) par Clélia Laventure.

À la fois récit autobiographique et manifeste sociopolitique, Les Femmes est l'essai que Hilton Als consacre à trois figures majeures de sa vie et de son éducation : sa mère, immigrée de La Barbade à Manhattan ; Dorothy Dean, une mondaine underground du New York des années 70 et 80 ; enfin, Owen Dodson, un poète et dramaturge gay qui fut le premier amant de Als.
Tous avaient un point commun : noirs, ils avaient bâti leur identité et leur vie sur le refus ou la subversion des stéréotypes associés au concept de la " Négresse " dans la culture américaine. C'est ce concept que Hilton Als déplie dans Les Femmes : l'analyse la plus scrupuleuse se mêle à l'émotion, et produit une pensée nouvelle, vivante, explosive.
Traduit de l'anglais (États-Unis) par Clélia Laventure.

Alice Neel, uptown

L'ennui signifie que vous développez votre propre vie intérieure.

L'excellence noire est une chose. Les gens - de Beyonce Knowles à Vénus et Serena Williams aux personnes dont vous n'avez pas entendu parler - sont dedans. C'est moins un mouvement qu'une norme: les croyants fixent la barre haut non seulement pour eux-mêmes mais aussi pour d'autres qui partagent leur vision, en particulier quand il concerne l'histoire, les histoires et le style des Noirs.

Je suis toujours attiré par les gens qui ne sont pas moi-même mais le sont.

Je ne sais pas quoi d'autre vous apprend autant que l'écriture. Peut-être lire. Donc, si je n'en ai pas ou l'autre au cours de la journée, je me sens vieux.

Je ne gagne pas beaucoup d'argent, mais je peux avoir la liberté.

Je n'ai pas vu «le roi du lion». Je ne fais pas de folklore noir. Et je suis noir.

Les drames sur la dépendance peuvent être passionnants à regarder. Puis décourager. Excitant parce que la dégradation est fascinante de découler de la sécurité et de la suffisance relatives d'une vie «appropriée» et de découragement parce que si tout ce triste chaos peut arriver à ce personnage ou à ce personnage, qu'est-ce qui m'empêche de me arriver ou de vous?

La grande tristesse peut être désactivée, difficile à comprendre, surtout si ce n'est pas votre expérience. C'est incroyable pour moi de savoir maintenant que les aides, par exemple, sont quelque chose que beaucoup de gens ne "obtiennent" pas, alors qu'il a entièrement façonné ma vie sociale depuis que j'avais vingt ans jusqu'à l'âge de quarante ans.

Le citoyen de Claudia Rankine vient à vous comme Doom. C'est la meilleure note de la mauvaise chanson qui est l'Amérique. Ses diverses réalités «l'identité», le racisme social, tout le tissu de la vie urbaine et suburbaine sont presque trop à porter, mais vous les portez, parce que c'est la vérité. Citizen est l'anthologie de la rivière Spoon de Rankine, une épopée aussi grande et effrayante et belle que le pays et divers états émotionnels qui l'ont produit.

L'inspiration prend de nombreuses formes, mais c'est rarement pur.

Je suis attiré par les gens qui travaillent leur petite parcelle de terre, le cultivent et le cultivent.

J'envie les poètes parce que personne ne leur demande jamais si c'est vrai ou faux.

Les comédies musicales américaines concernent, pour la plupart, des garçons, ou des poursuites et aspirations enfantines – le fantasme de liberté et de résolution – et ces rêves ont peu à voir avec la réalité de la vie de la plupart des femmes noires.

Les images sont vraiment puissantes. Les gens tombent amoureux des images et, comme un moyen de tomber amoureux de quelqu'un parce qu'ils sont comme une image.

Le racisme nous séduit avec son désir de catégoriser, de fermer les vivants et la respiration et le monde «différent» tout autour de nous.

Moonlight" défait nos attentes en tant que spectateurs, mais aussi en tant qu'êtres humains. Pendant que nous regardons, un autre film se déroule dans notre esprit : des images réelles des nombreuses formes de dommages causés aux hommes noirs, qui peuvent parfois les amener à retourner cette folie haineuse contre leur propre espèce, en transmettant le poison dont ils ont hérité.

Je pense que si vous vous sentez imaginativement envers un sujet, vous ne devriez vraiment pas le faire dans un contexte journalistique, car alors vous êtes juste à la fabrication, et c'est fou.

Les gens sont rapides à faire des monuments de tout ce qu'ils vivent assez longtemps pour contrôler.

Bien que le mouvement des droits civiques ait beaucoup changé la façon dont la vie noire était dramatisée sur la scène américaine dans les années 50 et 60, les compositeurs et paroliers blancs s'appuient souvent encore sur des tropes familiers lorsqu'il s'agit de représenter les femmes noires dans les comédies musicales.

Je pense que c'est le racisme culturel plus que tout, qui met en jeu avec le racisme réel, mais le racisme culturel pour moi est encore plus choquant.

Bien sûr, un magazine est façonné par son éditeur, et chaque éditeur est différent.

Les gens ont un droit d'auteur sur leur propre vie.

Ses oeuvres

Ses derniers livres