Je pense qu'un bureau n'est qu'un microcosme de la vie et les différents types de personnes que vous rencontrerez et les interactions là-bas, et je pense que si vous vous asseyez tous dans une pièce ensemble, alors cela devient un peu plus intense et amusant pour les gens à regarder , peut être.

Lorsque mon père m'a rendu visite pendant que je faisais une pièce à New York il y a deux ans, je l'ai emmené voir «Late Show avec Stephen Colbert». Maintenant, je vais chez lui. C'est surréaliste.

`` Blackbird '' est une très belle chanson, et j'ai récemment commencé à essayer de l'apprendre, et c'est beau.

Une chose avec laquelle je me suis battu était de ne pas être en train de se rendre lorsque vous êtes jeté des trucs qui sont absolument hilarants par les autres acteurs.

Parfois, sur un savon, cela peut devenir à peu près toutes ces autres choses - le circuit de fête, les émissions de téléréalité - mais j'ai gravité vers des gens qui ont tout gardé sur le travail.

Au cours des dernières années, j'ai aimé écrire mes propres affaires depuis que j'ai étudié l'écriture créative à l'école, et en grandissant, j'ai réalisé à quel point j'aime m'échapper dans un monde que j'ai créé moi-même. J'ai donc gardé ça comme un passe-temps.

Les Beatles ont tout imprégné de tout. Ils sont toujours en quelque sorte une partie de la vie de chacun.

Je suis allé en Amérique pour la première fois avec ma mère quand j'avais 7 ans, et j'ai adoré. Je me souviens avoir voulu voir le panneau Hollywood, puis, j'étais là, en tirant sur une scène juste à côté de «hier».

Dans mon essai pour `` The Good Immigrant '', j'écris sur la façon dont les préoccupations concernant la race et l'immigration me sont un peu glissées à cause de la façon dont j'ai grandi et de mes antécédents - j'ai eu vraiment de la chance, vraiment; Je n'ai jamais eu l'extrémité rugueuse du bâton avec beaucoup de ce genre de choses.

Je pense que parfois vous pouvez réfléchir à une histoire, mais c'est parce que vous êtes à l'aise de faire cela, mais quand vous êtes un acteur, l'une des choses que vous devez faire est de vous sortir de votre zone de confort.

J'étais parfois un peu seul à l'adolescence. Il y avait une déconnexion culturelle.

La chanson préférée de ma mère est «Imagine» parce qu'elle est sortie lorsqu'elle est arrivée en Angleterre.

Quand j'avais 14 ans, je me suis acheté une guitare électrique bon marché et j'ai essayé de m'apprendre.

Je garde un cahier d'idées, et parfois les idées se forment dans votre tête que vous n'avez qu'à écrire, ou vous les oublierez.

Personnellement, je vais chercher des choses qui m'intéressent et qui a très peu à faire ou a la bonne chose à faire avec mon ethnique.

En ce qui concerne les trucs d'époque, je pense que c'est formidable de voir des acteurs sud-asiatiques prendre le pied dans la porte là-bas, car il est agréable de raconter des histoires d'époque et de le raconter d'une manière qui reflète le monde maintenant.

Où dois-je m'intégrer? C'est quelque chose que je pense comme un acteur, en particulier en tant qu'acteur d'une communauté minoritaire.

Quand j'étais sur «EastEnders», j'avais encore un itinéraire en papier jusqu'à l'âge de 21 ans et je suis parti à la maison.

Ce que nous avions sur BBC Asian Network et Bollywood Sound Tracks - ils étaient mes points de référence. Mais bien sûr, là où j'ai grandi, j'étais l'un des deux Indiens de mon école, et je n'avais vraiment personne d'autre avec qui partager cela.

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