Hiroyuki Sanada (真田広之, Sanada Hiroyuki), né le 12 octobre 1960 à Tokyo, est un acteur japonais.
En 1979, les jeunes français le découvrent à la télévision dans le rôle d'Ayato de la série San Ku Kaï.

C'est presque l'histoire la plus célèbre The Last Samurai - Samurai Story - au Japon.

47 Ronin est un film très spécial pour moi. Pas seulement une chose de samouraï. Pas seulement un fantasme hollywoodien. Il a un mélange très spécial entre la culture traditionnelle japonaise et la culture occidentale pour le costume, le décor, l'histoire. Tout. Je crois que ce sera un film très spécial que personne n'a jamais vu.

Quand j'ai fait un test de caméra, après que nous ayons tourné et j'ai vu le moniteur avec les lunettes (portant un kimono) et en regardant par moi-même en 3D. Oh mon Dieu. Surtout pour un film de samouraï. Je n'ai jamais vu ça. C'est une sorte de choc culturel.

Keanu Reeves a beaucoup appris, respectant la culture. J'ai été surpris quand je l'ai rencontré pour la première fois. Il en savait déjà beaucoup et il a beaucoup appris. Et il a également appris le japonais. C'est incroyable. Sur le plateau, basculer entre les Japonais et l'anglais, même pour nous, est très difficile. C'est compliqué. Mais la première fois que Keanu a parlé en japonais, c'était une scène très importante entre nous, et plus que le sens du dialogue, j'ai été ému. Son énergie pour le film, la prononciation japonaise complètement parfaite. C'était émouvant, surprenant, respectant.

L'action n'est qu'une de mes compétences.

C'est une bonne chose, mélanger la culture pour faire quelque chose de nouveau, quelque chose que personne n'a jamais vu. C'est une sorte de nouvelle histoire.

Surtout pour ce film [47 Ronin], il y a un bon mélange entre l'Ouest et l'Est. Alors Ronin portant les bottes, comme le style occidental. C'est un bon mélange.

La différence entre travailler sur les films asiatiques et américains est dans le producteur et le réalisateur; Tout le monde a son propre style. Mais, Hollywood a beaucoup plus d'argent; Ils peuvent dépenser beaucoup de films et de temps. En Europe, il y a un petit budget et une réflexion sur la publicité. Seul le budget et le goût sont différents entre là-bas et Hollywood.

Quand j'avais huit ou neuf ans, j'ai vu la version télévisée de 47 Ronin, jouée par Toshiro Mifune. Il a joué Oishi. C'était ma première expérience. J'ai regardé chaque semaine avec mon frère. "Qui joue Oishi ce soir? Qui jouera Kira ce soir?" Et nous nous sommes battus chaque semaine.

Je crois, l'industrie cinématographique japonaise doit être ouverte.

Je porte du kimono depuis plusieurs années et d'armure.

Beaucoup de pays font des films en anglais, mais au Japon, nous sommes très timides pour parler anglais.

Je pense qu'il est très difficile de diriger les acteurs de la langue étrangère, mais Carl Rinsch a trouvé un excellent moyen. Une manière spéciale super visionnelle.

J'étais très à l'aise sur le tournage de «Lost». J'étais tellement nerveux quand je suis allé sur le plateau parce que je venais de regarder tous les épisodes «perdus». J'étais, comme un fan. Un grand fan.

Carl Rinsch a un bon équilibre entre le visuel et le drame et l'action, donc j'ai pensé que s'il allait réaliser, nous pouvons faire un nouveau film épique. Ma peur avait disparu quand je l'ai rencontré.

J'ai fait les derniers samouraïs au Japon, à Los Angeles, en Nouvelle-Zélande. Même au Japon, il est très difficile de tirer, car il y a eu tellement de changements. Ce n'est que autour d'un temple que nous pouvons tirer.

J'étais un enfant acteur, donc quand j'ai commencé à filmer à l'âge de cinq ans, c'était il y a longtemps.

Il est très difficile de présenter au monde notre culture.

J'ai vu beaucoup de 47 Ronin à la télévision, dans les films, et j'ai fait Chushingura Gaiden Yotsuya Kaidan [Crest of Betrayal, 1994] réalisé par Kinji Fukasaku.

J'étais très à l'aise sur le tournage de Lost. J'étais tellement nerveux quand je suis allé sur le plateau parce que je venais de regarder tous les épisodes perdus. J'étais, comme un fan. Un grand fan.

C'est une histoire de samouraï [47 Ronin], donc si nous changeons trop de publics japonais auront des sentiments forts contre le film. Ce n'est pas bon.

Parfois, je fais un grand film, ou parfois je fais une émission de télévision, mais en tant qu'acteur, c'est presque la même chose pour moi. Si je fais de l'action, de la comédie, ou quelque chose de plus sincère, c'est une approche différente, mais tout agit pour moi.

C'était un film noir et blanc [au début]. Et puis il a changé pour un film couleur, et j'ai été surpris et la culture a été choquée à l'âge de six ou sept ans. Et puis HD, puis 3D maintenant. Alors que se passe-t-il? Qu'est-ce qui va suivre? C'est tellement excitant.

S'il y a une scène d'action, je veux tout faire moi-même.

Aucun de nous ne sait combien de temps il vivra ou quand son temps viendra. Mais bientôt, tout ce qui restera de notre brève vie est la fierté que nos enfants ressentent lorsqu'ils parlent nos noms.

J'ai fait beaucoup de films de samouraïs au Japon, et parfois j'ai fait la chorégraphie par moi-même.

https://fr.wikipedia.org/wiki/Hiroyuki_Sanada

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