Love can change your life. Can it survive marriage and middle age?'A rare gift and one to be treasured' SUNDAY TIMES'A profound and vital book' WILLIAM BOYD'Equal parts funny and challenging' DAILY TELEGRAPHLily falls in love with Sam the minute she sets eyes on him. It takes Sam a day or two longer. Curious, because Lily - independent, headstrong, rational - has never quite believed in love; while Sam - confident, passionate, romantic - thought he understood it inside out. Lily is an award-winning television documentary maker. Sam is an award-winning playwright. Both are in relationships that have quietly expired, but their encounter makes Lily and Sam come alive again. As they begin to work together on the page and on screen, an affair takes hold that they are powerless to resist. Arriving in mid-life, their relationship opens unexpected new worlds and, for Lily, offers her a surprising form of liberation. But what will happen to them when familiarity, illness and age begin to take their toll? What will survive? Taking us to the edge of desire, love and betrayal across a lifetime, What Will Survive of Us reveals what is left of us when we strip away every layer.

What Will Survive of Us - The moving and heartfelt new novel from the Booker Prize winner

.Dans un monde postapocalyptique où le passé est un territoire dangereux, un homme et une femme tombent amoureux. Ni l'un ni l'autre ne savent d'où ils viennent, pas plus qu'ils ne savent où ils vont. Kevern ignore pourquoi son père plaçait toujours deux doigts devant ses lèvres pour prononcer un mot qui commençait par la lettre j. Ailinn a grandi dans un orphelinat et, privée d'ascendance, cherche un point d'ancrage. D'autres, en revanche, ont parfaitement conscience de leur importance à tous les deux et les observent, les étudient, en font les héros d'une vie que Kevern et Ailinn ne contrôlent plus tout à fait. Sont-ils tombés amoureux de leur propre chef ou bien les a-t-on poussés dans les bras l'un de l'autre ? Mais qui aurait pu les pousser, et pourquoi ? Quel héritage ce monde transformé par une catastrophe historique, événement passé enveloppé de suspicion, de déni et de contrition, laisse-t-il à Kevern et à Ailinn ?
J est un roman ambitieux, inquiétant, bouleversant qui remet en cause toutes nos certitudes.

Guy Ableman, écrivain de son état, est fou de sa femme Vanessa, une rousse éblouissante, perpétuellement en colère. L'ennui c'est que, depuis le premier jour, il est aussi fou de la non moins séduisante mère de Vanessa, Poppy. Pareilles à des soeurs plutôt qu'à une mère et sa fille, elles forment un tandem volcanique : si elles lui inspirent les scènes les plus farfelues, elles le perturbent au point qu'il ne peut plus produire une ligne. Non que Guy fût très lu ces jours-ci. Non que quiconque lise quoi que ce soit non plus. D'ailleurs, Guy en est convaincu, la lecture, c'est fini. La littérature aussi. Son éditeur est du même avis, il s'est suicidé. Son agent ? Aux abonnés absents. Entre-temps Vanessa a décidé d'écrire. Guy ne s'attend pas à ce qu'elle termine son oeuvre, ni même qu'elle la commence, mais il en perd le sommeil. Peut-être est-il l'heure pour lui de révéler sa flamme à Poppy ? Si le roman est mort, le désir existe toujours ! Et il se pourrait bien que ce désir lui permette d'accoucher d'un grand bouquin.
Tour à tour furieux, élégiaque et impertinent, La Grande Ménagerie est un roman d'amour : une ode aux femmes, à la littérature et à l'humour. .

La Grande ménagerie

Dans le Manchester des années 1950, deux garçons passaient des heures terrés dans un abri antiaérien à rédiger une bande dessinée intitulée Cinq mille ans d'inquiétude. Drôle de tandem : d'un côté, Max Glickman, rejeton d'un ancien boxeur athée et communiste et d'une créature de rêve obsédée par des parties de cartes entre amies ; de l'autre, Manny Washinsky, sa famille orthodoxe, ses coutumes ancestrales, sa culture talmudique, sa fascination pour les nazis. Devenu dessinateur humoristique, Max a bâti sa carrière sur sa passion pour les femmes non juives aux prénoms affublés d'un tréma. Manny pour sa part a passé ses plus belles années en prison, après avoir assassiné ses parents durant leur sommeil. Contacté par un producteur pour écrire un scénario portant sur l'incroyable histoire de Manny, Max renoue avec ce dernier lorsqu'il est libéré de prison. Peut-être, en revisitant leur enfance dans le quartier de Crumpsall Park, finira-t-il par comprendre ce qui a poussé son ami à commettre un crime abominable. Suffit-il, pour devenir un assassin, d'écouter les fantômes des pères de ses pères ?"Une découverte majeure." Lire"Déchaîné, polémique, hilarant, sacré, déicide, déchirant..." The Sunday Télégraph

Kalooki nights

Dans le Manchester des années 1950, deux garçons passaient des heures terrés dans un abri antiaérien à rédiger une bande dessinée intitulée Cinq mille ans d´inquiétude. Drôle de tandem : d´un côté, Max Glickman, rejeton d´un ancien boxeur athée et communiste et d´une créature de rêve obsédée par des parties de cartes entre amies ; de l´autre, Manny Washinsky, sa famille orthodoxe, ses coutumes ancestrales, sa culture talmudique, sa fascination pour les nazis.Devenu dessinateur humoristique, Max a bâti sa carrière sur sa passion pour les femmes non juives aux prénoms affublés d´un tréma. Manny pour sa part a passé ses plus belles années en prison, après avoir assassiné ses parents durant leur sommeil.Contacté par un producteur pour écrire un scénario portant sur l´incroyable histoire de Manny, Max renoue avec ce dernier lorsqu´il est libéré de prison. Peut-être, en revisitant leur enfance dans le quartier de Crumpsall Park, finira-t-il par comprendre ce qui a poussé son ami à commettre un crime abominable. Suffit-il, pour devenir un assassin, d´écouter les fantômes des pères de ses pères ?"Une découverte majeure." Lire"Déchaîné, polémique, hilarant, sacré, déicide, déchirant..." The Sunday Télégraph

Sam Finkler et Julian Treslove se connaissent depuis l’enfance. Presque quinquagénaires, l’un est juif, l’autre « goy ». Libor Sevcik, juif lui aussi et veuf inconsolable, a été leur professeur d’histoire. Un soir, après avoir passé quelques heures ensemble à se rappeler le passé, Treslove, qui rentre chez lui le cœur lourd, est agressé. Dépouillé par une femme qui, il en est sûr, l’a traité de « youpin ». Peu à peu, une certitude s’impose à lui : puisque on l’a pris pour un juif, ne l’est-il pas réellement ?Une tragédie moderne où l’on ne peut s’empêcher de rire. Une salvatrice réflexion sur l’amitié masculine, la peur de mourir et l’identité qui impose un écrivain de premier plan. Alexandre Fillon, Le Journal du dimanche.

La Question finkler

Julian Treslove et Sam Finkler se connaissent depuis l'enfance, Libor Sevcik est leur ancien prof d'histoire. Au fil des ans, la vie les a séparés sans qu'ils se perdent tout à fait de vue. La mort des épouses de Finkler et de Libor va les réunir de nouveau ; Treslove, veuf honoraire, passe quelques heures délicieusement pénibles avec ses deux amis, à se rappeler le passé. Or, ce soir-là, en rentrant chez lui le cour lourd, il est victime d'une banale agression qu'il passera des jours à décortiquer. Peu à peu, une certitude s'impose à lui : on l'a pris pour un juif. Et s'il l'était vraiment ?  "Chaque page déborde d'esprit : humour noir ou doux-amer, ironie, comédie, burlesque, rparties, cynisme... L'humour n'est pas l'ennemi d'un propos sérieux, et, entre de bonnes mains, il est même vital, en ce qu'il inroduit habilement des idées, des postulats, des partis pris et des préjugés inconscients" The London Times

Julian Treslove et Sam Finkler se connaissent depuis l'enfance, Libor Sevcik est leur ancien prof d'histoire. Au fil des ans, la vie les a separes sans qu'ils se perdent tout a fait de vue. La mort des epouses de Finkler et de Libor va les reunir de nouveau; Treslove, veuf honoraire, passe quelques heures delicieusement penibles avec ses deux amis, a se rappeler le passe. Or, ce soir-la, en rentrant chez lui le coeur lourd, il est victime d'une banale agression qu'il passera des jours a decortiquer. Peu a peu, une certitude s'impose a lui: on l'a pris pour un juif. Et s'il l'etait vraiment ?Chaque page deborde d'esprit: humour noir ou doux-amer, ironie, comedie, burlesque, rparties, cynisme... L'humour n'est pas l'ennemi d'un propos serieux, et, entre de bonnes mains, il est meme vital, en ce qu'il inroduit habilement des idees, des postulats, des partis pris et des prejuges inconscients The London Times

La question finkler

Howard Jacobson, né le 25 août 1942 à Manchester, est un écrivain, universitaire et journaliste anglais. Il est surtout connu pour ses romans de tonalité amusante qui brossent le portrait de personnages juifs britanniques. Il a obtenu le prix Booker en octobre 2010 pour son roman La Question Finkler.

Le peintre Sidney Nolan m'a dit un jour que j'avais essayé trop fort. Des conseils que je m'efforcent de suivre depuis.

Quand j'enseignais à Cambridge, j'ai vendu des sacs à main sur le marché.

Vous ne vous souvenez pas de gens que vous aimez par les choses sages qu'ils disent, mais les choses stupides qu'ils font.

La sensibilité ne vous rend pas nécessairement facile à continuer.

Parmi les mystères laïques auxquels je me réveille avec une étonnement frais et parfois en colère chaque jour, la file d'attente est la deuxième plus déroutante. Le premier est le fan.

Je suis marié trois fois. J'ai épousé la fille d'à côté quand j'avais 22 ans, et je n'étais pas un bon mari, mais je n'étais pas un bon rien à ce moment-là. De nos jours, je suis beaucoup plus gentil.

Lorsque l'émotion gouverne, chaque idiot pense qu'il est saint.

La file d'attente et le fan sont, bien sûr, étroitement liés à ce que les fans feront la queue de temps par tous les temps pour voir, toucher, regarder, entendre, lire, porter ou simplement profiter de la proximité de l'objet de leur dévotion.

Les gens pensent souvent que vous avez un sens de l'humour parce que vous pensez que la vie est drôle. La vie n'est pas du tout drôle. C'est épouvantable et tragique.

Je ne rêverais pas de regarder les courses automobiles, le vélo ou le golf - qui ne sont pas vraiment sportives de toute façon.

Voulez-vous être étrangement divers, ou voulez-vous être purement vous-même? Quoi qu'il en soit, je ne vénère personne.

Si nous nous déclarons, en tant que lecteurs, à être du côté de la vie, la question doit être posée de quel genre de vie nous sommes du côté.

Pour un philosophe comme Nietzsche, le Juif est coupable non pas pour rejeter le christianisme mais pour l'avoir inventé.

Les poètes ne sont pas censés être en compétition.

La plupart des personnes à qui une statue a été érigée n'est pas méritée.

La littérature est une maison avec de nombreuses demeures.

Est-ce que quelqu'un qui quitte un pays baltique veut y retourner? Quelqu'un doit, je suppose.

Il faut prendre les évaluations des écrivains de leur propre travail avec une pincée de sel: ils sont susceptibles de les classer différemment demain.

J'ai toujours ressenti ce désir. Amener une femme à jeter la tête de rire est une chose chaude.

J'ai été élevé juif mais, vous savez, cette façon d'être juif - la manière de New York. Nous étions juifs estomacs; Nous étions juifs juifs. Nous étions des juifs bagels. Nous ne sommes pas allés à la synagogue. J'ai peur de la synagogue à ce jour.

Le mot magique «Shakespeare» vous gèle toujours sur votre chaise.

C'est une loi de nos natures, surtout lorsque l'ajustement politique est sur nous, pour applaudir où nous approuvons déjà et en rivaliserons là où nous ne le faisons pas.

L'obligation de se souvenir est inscrite sur chaque mémorial de l'Holocauste, mais même les mots «n'oubliez jamais» deviennent finalement gênants.

La sentimentalité fonctionne en ne voyant que ce que nous voulons voir.

Celui qui a été vraiment perturbé par une œuvre d'imagination ne se loya jamais une seule idée, un système de croyance, une foi religieuse ou un parti.

Vous pouvez avoir votre pays et être heureux d'accueillir les autres. Vous pouvez avoir votre pays et toujours aimer vivre ailleurs.

L'une des grandes choses à propos de nous Juifs est que nous racontons les meilleures blagues. Une partie de la raison est que nous racontons des blagues contre nous-mêmes - avant que quiconque ne puisse le faire.

C'est le grand test: si vous allez être un grand écrivain de bande dessinée, pas un humoriste, vous devez le prendre dans la gorge du chagrin. Pouvez-vous faire du rire et du sérieux si près qu'ils sont la même chose?

Un écrivain ne doit jamais se laisser bercer par la vigilance propre à son métier.

L'environnement dans lequel j'ai étudié était si en sécurité, je pensais que je mourrais de l'ennui.

https://fr.wikipedia.org/wiki/Howard_Jacobson

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