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Ian Arthur Bremmer (né le 12 novembre 1969 à Baltimore, dans l'état du Maryland aux États-Unis) est un politologue américain spécialisé en politique étrangère américaine, en transition étatique et en risque politique global. 
Il est le président et fondateur de l'Eurasia Group, une firme de recherche et consultation sur le risque politique avec des bureaux à New York, Washington, Londres, Tokyo, São Paulo, San Francisco et Singapour. Il est l'auteur de plusieurs livres, incluant The J Curve, Every Nation for Itself et le best-seller du New York Times Us vs. Them: The Failure of Globalism. 
En date de décembre 2014, il est chroniqueur sur la politique étrangère et éditeur pour Time. En 2013, il est nommé professeur à l'Université de New York.

Je préfère que les gens ne fument pas. J'apprécie certainement le fait que le tabagisme n'est pas légal dans les restaurants et les bars. Cela m'empêchait de sortir la nuit parce que vous iriez quelque part et que vos vêtements se reproduiraient et vous n'aimeriez pas l'expérience et cela affecte vos droits. C'est toujours une question.

Nous ne regardons pas une boule de cristal. Je ne crois pas que nous prédisons les choses. Je pense que la science politique est mauvaise dans la prédiction. Je pense que ce que nous faisons vraiment bien, c'est dans un certain nombre de cas où la politique compte, nous pouvons faire un meilleur travail pour vous dire ce qui se passe maintenant que les autres. Nous pouvons donc regarder la Syrie aujourd'hui. Nous pouvons regarder la zone euro aujourd'hui. Et nous pouvons regarder les domaines où la politique est un conducteur et nous pouvons vous donner un assez bon sens dans les domaines d'ici, c'est comment comprendre aujourd'hui.

Une intervention plus profonde de l'État dans une économie signifie que les déchets bureaucratiques, l'inefficacité et la corruption sont plus susceptibles de retenir la croissance.

Le gouvernement doit être du côté du peuple si les entreprises prennent trop de pouvoir.

Dans les environnements où les entreprises deviennent trop interventionnaires et capturent elles-mêmes la réglementation, le gouvernement doit pouvoir se riposter afin que les gens aient une chance.

Le climat est un problème mondial. Le charbon est toujours l'énergie qui est utilisée plus que toute autre chose pour faire de l'électricité. Les États-Unis utilisent moins car nous nous tournons davantage vers le gaz. Mais, dans le monde, c'est ce qu'ils utilisent.

Il est stupide de parler d'un «siècle asiatique» ou d'un «siècle de marché émergent» parce que les événements se déplacent à un rythme qui rend ce degré de durabilité obsolète.

Le capitalisme de l'État est plus que les dépenses publiques d'urgence, la mise en œuvre d'une réglementation plus intelligente ou d'un filet de sécurité sociale plus fort. Il s'agit de la domination de l'État de l'activité économique à des fins politiques.

Nous sommes des gens riches. Nous sommes assis ici à New York, Washington. Nous vivons dans un pays incroyablement riche. Nous n'avons pas à nous soucier de la nourriture. Nous n'avons pas à nous soucier des vêtements. Nous avons porté la même chemise. Nous n'avons pas à nous soucier de notre sécurité. Il est très facile pour nous d'être des écologistes. C'est très facile pour moi d'être un environnementaliste. C'est très facile pour moi de me soucier de m'assurer que nous protégeons les forêts et les baleines, et tout ça. C'est très difficile pour quelqu'un qui gagne 1 000 $ par an ou qui gagne moins de 1 $ par jour pour se soucier de l'environnement.

C'est très difficile pour quelqu'un qui gagne 1 000 $ par an ou qui gagne moins de 1 $ par jour pour se soucier de l'environnement.

Tout aujourd'hui est «transitoire». La technologie et sa capacité à autonomiser les acteurs grandes et les petites évoluent si rapidement que nous devons nous habituer à vivre dans un monde qui existe dans un état de flux plus ou moins constant.

Je préfère que les gens ne fument pas. J'apprécie certainement le fait que le tabagisme n'est pas légal dans les restaurants et les bars. Cela m'empêchait de sortir la nuit parce que vous iriez quelque part et que vos vêtements se reproduiraient et vous n'aimeriez pas l'expérience et cela affecte vos droits. C'est toujours une question. Chaque fois que vous parlez de ces questions, ce n'est pas une question de restriction des droits. C'est une question de restreindre qui, de fournir les droits de qui et c'est un équilibre délicat.

Un marché émergent est un pays où la politique compte au moins autant que l'économie du marché.

Je pense que la science politique est mauvaise dans la prédiction. Nous ne regardons pas une boule de cristal. Je ne crois pas que nous prédisons les choses.

Des institutions internationales comme le Conseil de sécurité, l'Assemblée générale, le G20, les BRICS, le FMI, etc., continuent d'être un peu plus qu'une extension des valeurs (de plus en plus contradictoires) des États membres.

Qu'il s'agisse du hall de contrôle des armes à feu, du lobby des soins de santé ou de l'avortement, du lobby pro-choix, quoi qu'il en soit, les gens essaient toujours de dire qu'il s'agit de restreindre les droits et qu'ils ne sont jamais vraiment prêts à parler des compromis honnêtes. L'une des choses dont nous avons besoin pour faire un meilleur travail est de peindre ces compromis.

J'avais quinze ans à l'université à Tulane. J'ai menti sur mon âge à l'université afin que je puisse être normal socialement. Alors que les filles sortent avec moi et des trucs comme ça. Je viens de dire que j'avais un âge normal.

Je suis absolument un environnementaliste. Je suis probablement plus un environnementaliste que la plupart des gens qui vivent dans le monde, mais je pense que cela vient de ma position dans le monde et cela ne fait pas de moi une meilleure personne.

Il y a une divergence trop importante en ce moment dans les intérêts et les valeurs des états les plus puissants du monde.

La NASA n'est de plus en plus pas l'avenir de l'exploration spatiale. J'adore le fait que nous avons des gens du secteur privé consacrant beaucoup d'argent pour stimuler l'innovation dans la technologie spatiale.

En Chine, l'État contrôle les sociétés, tandis qu'aux États-Unis, les sociétés contrôlent l'État.

Les deux guerres mondiales ont stimulé la puissance américaine et dévasté des rivaux potentiels dans une mesure qui n'aurait pas pu durer plus de quelques décennies.

La vraie question n'est pas qu'il y ait d'autres formes de vie dans l'univers, mais y a-t-il d'autres formes intelligentes de vie en ce moment. Parce que l'univers est non seulement très grand, mais aussi très long. Cela existe depuis longtemps; Ça va être là depuis longtemps.

Je crois que si vous allez demander à un directeur général d'un Goldman Sachs ou d'un BP, et qu'ils vous répondent honnêtement qu'ils veulent des monopoles, ils veulent des subventions gouvernementales, elles veulent des préférences - elles ne sont pas intéressées par les marchés libres.

Je pense qu'il est fantastiquement narcissique de croire que dans l'univers entier, avec tous les systèmes planétaires que nous avons déjà découverts et les innombrables autres qui sont là-bas, que nous sommes les seules formes de vie.

Le monde développé ne devrait ni abri ni déstabiliser militairement les régimes autoritaires à moins que ces régimes ne représentent une menace imminente pour la sécurité nationale d'autres États. Les états développés devraient plutôt travailler pour créer les conditions les plus favorables pour le passage sûr d'un régime fermé à travers le segment le moins stable de la courbe J et chaque fois que la diapositive vers l'instabilité vient. Et les États développés devraient minimiser le risque que ces États représentent le reste du monde au début de leur transition vers la modernité.

https://fr.wikipedia.org/wiki/Ian_Bremmer

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