J'apprécie la coopération avec la Turquie sur de nombreuses questions. Nous sommes reconnaissants du soutien que nous recevons pour l'UE. et l'intégration de l'OTAN pour le Monténégro.

Je pense que le lien de l'économie monténégrin avec l'euro est une bien meilleure option que l'aventure d'impression de notre propre devise.

Grâce à la campagne «C'est une question de capacité» et avec les parents et d'autres membres de la société, nous avons créé une famille sociale pour les enfants handicapés.

Quelles que soient nos ambitions de faire partie de l'UE, nous devons garder à l'esprit que la Turquie est également une voix très forte qui peut représenter les besoins de notre région en termes plus larges dans les plateformes mondiales.

C'est l'une des raisons pour lesquelles nous défendons de bonnes relations entre les deux pays. La Turquie comprend les besoins de la région.

Le Monténégro appartient à un nombre rare de pays qui ont réussi à progresser sur chaque indicateur reconnaissable internationalement.

Nous sommes déterminés à améliorer l'environnement économique en intégrant des investisseurs étrangers et en réduisant les formalités administratives.

D'une part, Porto Monenegro change de forme - il a remplacé un chantier naval naval par une nouvelle marina - mais elle change également, ouvrant une gamme d'autres opportunités de petites entreprises. Et ce changement de forme et ce qui change d'esprit, c'est exactement ce que nous essayons de faire au Monténégro.

Bien que beaucoup de gens aient dit qu'il n'y avait pas de frontière conjointe entre la Turquie et le Monténégro, on a l'impression que nous sommes les uns à côté les uns des autres. Nous sommes dans le même quartier.

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