Imogen Cunningham, née le 12 avril 1883, à Portland (Oregon, États-Unis), et morte le 23 juin 1976 à San Francisco, est une photographe américaine. Elle a vécu et travaillé à San Francisco.
Féministe militante — pour elle, la photographie est un métier — c'est une figure de proue de la photographie américaine du XXe siècle, à l’œuvre vaste et diversifiée.
Sa carrière s’étend sur plus de 70 ans. Pour chaque décennie, Imogen Cunningham adapte son art aux attentes et aux défis de celles-ci.

Je n'ai jamais arrêté de photographier. Il y a eu quelques années où je n'avais pas de chambre noire, mais cela ne m'a pas empêché de photographier.

Il y a certaines choses dont vous ne discutez pas avec Ansel, surtout si vous n'êtes pas d'accord.

Je transforme les gens en êtres humains en ne les transmettant pas en dieux.

Tout le monde est influencé par où et comment il vit.

J'ai été invité à photographier Hollywood. Ils m'ont demandé ce que j'aimerais photographier. Dis-je, des hommes laids.

... Il y a trop de gens qui l'étudient [la photographie] maintenant et qui n'y arriveront jamais. Vous ne pouvez pas leur donner une formule pour le faire. Vous devez d'abord l'avoir en vous, vous ne l'apprenez pas. L'œil voyant est la chose importante.

Tant de gens ne se détestent pas si profondément qu'ils ne voient jamais de reproduction d'eux-mêmes qui convient. Aucun de nous n'est né avec la bonne face. C’est un travail difficile en tant que photographe de portrait.

Je ne parle pas du succès. Je ne sais pas ce que c'est. Attendez que je sois mort.

La formule pour faire du bon travail en photographie est de penser comme un poète.

Quelle est ma meilleure image? Celui que je ferai demain.

Tous ceux qui font n'importe quoi pour le public peuvent être critiqués. Il y a toujours quelqu'un qui n'aime pas ça.

J'ai dit aux élèves que tout ce qu'ils faisaient en classe était pour la poubelle.

Quand j'ai besoin de noms, ils abandonnent ma tête; Quand je n'en ai pas besoin, ils reviennent.

Je pense que San Francisco est le meilleur endroit du monde entier pour une vie facile.

Eh bien, je transforme les gens en êtres humains en ne les faisant pas en dieux.

J'ai été élevé sur l'art. Mon père pensait que j'avais une grande main à l'art et m'a envoyé à l'école d'art. Mais il ne voulait pas que je devienne photographe.

Je n'aime pas le monde. Je pense que Jupiter aurait dû nous frapper.

Une femme m'a dit quand elle s'est assise pour la première fois, tu photographies le mauvais côté de mon visage. J'ai dit, Oh, y en a-t-il un?

Je n'étais pas très ambitieux. Je pense que c'est la solution. J'ai juste pris des choses comme ils sont venus. Je ne dirais pas que je n'ai eu aucun problème, mais je m'en fichais. Je ne pensais pas que j'allais sauver le monde en faisant de la photographie comme certaines de ces personnes. Je passais juste un bon moment à le faire, et donc j'ai toujours passé un bon moment, peu importe ce que je devais photographier.

Oh, vous me demandez, quelle est la plus grande torture d'une personne qui fait des portraits pour gagner sa vie? Je pourrais remplir plusieurs volumes avec de belles histoires désagréables. Je ne sais pas.

Ce qui est fascinant à propos du portrait, c'est que personne ne se ressemble.

Certaines personnes me disent: n'est-ce pas trop mal que les gens vous aient découvert si tard? Je n'ai jamais pensé ça.

Lorsque vous faites des portraits professionnellement, ce n'est pas un désir, c'est pour de l'argent.

Aucun de nous n'est né avec la bonne face. C’est un travail difficile en tant que photographe de portrait.

Laquelle de mes photos est ma préférée? Celui que je vais prendre demain.

Vous voyez, je suis devenu une sorte d'abandon en science après mon retour en Amérique.

Supposons que Cartier-Bresson ait demandé à l'homme qui avait sauté la flaque d'eau pour le refaire --- cela n'aurait jamais été le même. Commencez à voler!

https://fr.wikipedia.org/wiki/Imogen_Cunningham

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