Publié à l’aube du vingt et unième siècle, Mailman, road movie existentiel et méchamment drôle, marque la naissance d’une nouvelle révélation de la littérature américaine. Avec ce roman tendu comme un arc, J. Robert Lennon nous entraîne – de New York à la Floride en passant par le Kazakhstan – dans l’univers d’Albert Lippincott, dit Mailman. Facteur dévoué et maniaque d’une petite ville américaine, Mailman a ses petits secrets: l’habitude compulsive de photocopier et de lire le courrier des autres, une inquiétante dépression nerveuse et la relation tordue qu’il entretient avec sa sœur. Aussi, lorsque l’un de ses usagers se suicide – à cause d’une lettre retenue trop longtemps? –, les événements se précipitent pour Llippincott, qui va devoir faire face une fois pour toutes aux nombreuses fêlures de sa vie. Si Mailman est bien une comédie noire, c’est aussi l’ambitieuse tentative de dépeindre la destinée d’un homme à la recherche de la paix dans un pays «pétri de violence et de tristesse partagée». C’est comique et tragique à la fois. C’est dérangeant, c’est touchant. C’est la chronique survoltée d’un combat perdu d’avance.

Mailman

Publié à l'aube du vingt et unième siècle, Mailman, road movie existentiel et méchamment drôle, marque la naissance d'une nouvelle révélation de la littérature américaine.
Avec ce roman tendu comme un arc, J. Robert Lennon nous entraîne - de New York à la Floride en passant par le Kazakhstan - dans l'univers d'Albert Lippincott, dit Mailman. Facteur dévoué et maniaque d'une petite ville américaine, Mailman a ses petits secrets: l'habitude compulsive de photocopier et de lire le courrier des autres, une inquiétante dépression nerveuse et la relation tordue qu'il entretient avec sa soeur. Aussi, lorsque l'un de ses usagers se suicide - à cause d'une lettre retenue trop longtemps? -, les événements se précipitent pour Llippincott, qui va devoir faire face une fois pour toutes aux nombreuses fêlures de sa vie.
Si Mailman est bien une comédie noire, c'est aussi l'ambitieuse tentative de dépeindre la destinée d'un homme à la recherche de la paix dans un pays «pétri de violence et de tristesse partagée». C'est comique et tragique à la fois. C'est dérangeant, c'est touchant. C'est la chronique survoltée d'un combat perdu d'avance.

Wolf in White Van est beau, énigmatique et triste, et comme toute autre chose brillante que John Darnielle ait jamais faite, cela semble provenir d'un univers pleinement imaginé, dont nous ne voyons que ce ruban obsédant et séduisant. Je l'aime complètement.

Ma sœur se leva, tremblant et je dois admettre que je m'attendais à ce que son ricanement familier ait pris sa place habituelle sur son visage. Mais tout ce que je pouvais trouver, il y avait du malheur et de la peur. Peur de ma réaction, peut-être. Mais lorsqu'une personne a vécu une vie comme la sienne, une vie de promiscuité, d'absence de root et de toxicomanie, de ressentiment et de peur a tendance à remplacer toutes les émotions raisonnables et appropriées, et le monde devient votre ennemi.

Les gens, dans ma longue expérience, veulent parler. Ils peuvent croire qu'ils souhaitent garder des secrets, et ils peuvent croire qu'ils sont capables de le faire. Mais la vérité est que des secrets existent pour être révélés; Et il est généralement très facile de trouver la combinaison de mots qui les feront émerger.

Je suis beaucoup plus souvent ennuyé que ravi par les marques des lecteurs précédents dans les livres d'occasion, donc je suppose que mes notations seront tout aussi ennuyeuses pour les futurs lecteurs et éviter les faire.

Treasure rien, soyez prêt à jeter quoi que ce soit. L'histoire que vous venez d'écrire que vous êtes fier ne devrait pas être choyée et adorée. Vous pouvez recommencer. Si votre maison brûlait avec tout votre travail à l'intérieur, vous seriez toujours l'écrivain que vous êtes, et vous continueriez de valoir quelque chose.

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