May Day is the long-awaited new poetry collection from one of our best-loved poets and former Makar of Scotland, Jackie Kay. These poems cast an eye over several decades of political activism, from the international solidarity of the Glasgow of Kay's childhood, accompanying her parents' Socialist campaigns, through the feminist, LGBT+ and anti-racist movements of the 80s and 90s, up to the present day when a global pandemic intersects with the urgency of Black Lives Matter. Kay brings to life a cast of influential figures, delving beneath the surfaces of received narratives: the Jamaican model Fanny Eaton, muse of the Pre-Raphaelite Brotherhood in England; Paul Robeson, Angela Davis and the poet Audre Lorde; and a 'what-if' poem concerning Rabbie Burns and a road-not-taken towards the West Indian slave trade. Woven through the collection is a suite of lyric poems concerning the recent losses of Kay's parents: poems of grief and profound change that are infused with the light of love and celebration.

May Day - the new collection from one of Britain's best-loved poets

Winner of the Guardian Fiction Prize, Trumpet by Jackie Kay is a starkly beautiful modern classic about the lengths to which people will go for love. It is a moving story of a shared life founded on an intricate lie, of loving deception and lasting devotion, and of the intimate workings of the human heart. With an introduction by author Ali Smith. When the love of your life dies, the problem is not that some part of you dies too, which it does, but that some part of you is still alive. The death of legendary jazz trumpeter Joss Moody exposes an extraordinary secret. Unbeknown to all but his wife Millie, Joss was a woman living as a man. The discovery is most devastating for their adopted son, Colman, whose bewildered fury brings the press to the doorstep and sends his grieving mother to the sanctuary of a remote Scottish village.'Kay carefully registers the technical difficulties of transgendered life .

Trumpet - Picador Classic

« Une contribution merveilleusement audacieuse, tendre et peaufinée au corpus écossais, à la littérature noire et à la poésie contemporaine. Un ouvrage d'une grande générosité, sous le signe de la vérité. » Alastair Niven, "Poetry Review". « Chaque page chante ses rythmes, réclame d'être entendue. » Elizabeth Burns, "The Scotsman". Traduit de l'anglais par Caroline Ziane.

Carnets d'adoption

Jackie Kay n'a pas la même couleur de peau que ses parents bien-aimés, formidablement généreux et sympathiques. Hantée par des images de poussière africaine et de mystérieuse infirmière des Highlands elle a la sensation inexorable d'être étrangère à elle-même. 
A 27 ans elle part à la recherche de ses parents biologiques, la tête pleine des histoires que sa mère lui a racontées sur un chef africain reparti sur ses terres loin de son grand amour écossais. S'ensuit un voyage chaotique entre Lagos et Aberdeen, entre étrangeté et familiarité, entre prêche évangélique du père et début d'Alzheimer de la mère, entre fratrie et étrangers, entre surprises et émotions. 
Dans ce texte pétri de chaleur, d'humour et de compassion elle découvre que son héritage va au-delà des gènes et que notre paysage intérieur est aussi important que celui dans lequel nous nous déplaçons. J. Kay écrit le récit plein de vie d'une quête de la mémoire, parfois cocasse, et toujours pleine d'énergie et d'amour.

Poussière rouge - Occasion

'Kay gives hugely of her talent; pours it onto the page .

Wish I Was Here

Jackie Kay n'a pas la même couleur de peau que ses parents bien-aimés, formidablement généreux et sympathiques. Hantée par des images de poussière africaine et de mystérieuse infirmière des Highlands elle a la sensation inexorable d'être étrangère à elle-même. 

A 27 ans elle part à la recherche de ses parents biologiques, la tête pleine des histoires que sa mère lui a racontées sur un chef africain reparti sur ses terres loin de son grand amour écossais. S'ensuit un voyage chaotique entre Lagos et Aberdeen, entre étrangeté et familiarité, entre prêche évangélique du père et début d'Alzheimer de la mère, entre fratrie et étrangers, entre surprises et émotions. 

Dans ce texte pétri de chaleur, d'humour et de compassion elle découvre que son héritage va au-delà des gènes et que notre paysage intérieur est aussi important que celui dans lequel nous nous déplaçons. J. Kay écrit le récit plein de vie d'une quête de la mémoire, parfois cocasse, et toujours pleine d'énergie et d'amour.

Poussière rouge

Jackie Kay's new collection is a lyric counterpart to her memoir, Red Dust Road, the extraordinary story of the search for her Nigerian and Highland birth-parents; but it is also a moving book in its own right, and a deep enquiry into all forms of human friendship. Fiere - Scots for 'companion, friend, equal' - is a vivid description of the many paths our lives take, and of how those journeys are made meaningful by our companions on the road: lovers, friends, parents, children, mentors - as well as all the remarkable and chance acquaintances we would not otherwise have made. Written with Kay's trademark wit and flair, and infused with both Scots and Igbo speech, it is also a fascinating account of the formation of a self-identity - and the discovery of a tongue that best honours it. Musical and moving, funny and profound, Fiere is Jackie Kay's most accomplished, assured and ambitious collection of poems to date.

Fiere

Lorsque l'amour de votre vie meurt, le problème n'est pas qu'une partie de vous décède aussi, ce qu'il fait, mais qu'une partie de vous est toujours en vie.

(Après avoir rencontré sa mère biologique après plus de 40 ans) Nous échangeons des bouquets d'orchidées, en riant de la coïncidence des fleurs. C'est un peu troublant : Je me demande si ce choix a quelque chose à voir avec la génétique. ... J'ai envie de ramener les miennes à la maison et de les soigner pour qu'elles vivent plusieurs jours. Je pulvériserai peut-être les feuilles, je veillerai à ce qu'elles soient placées dans une fenêtre orientée à l'est et à ce qu'elles ne soient pas exposées directement au soleil.

La perte n'est pas une absence après tout. C'est une présence. Une forte présence juste à côté de moi. Je le regarde. Cela ne ressemble à rien, c'est ce qui est si étrange. Il s'intègre.

À quel point le passé est levé et vivant. La couleur du papier peint dans la chambre que vous aviez en tant que fille. Ce n'est pas tant que vous avez perdu votre mémoire, plus comme si vous y étiez submergé, comme vous vivez dans le monde sous-marin brillamment vif du passé.

Presque mourir vous rapproche de la vie. Il y a une frontière mince; Vous vous sentez croiser, retourner au pays des vivants, rentrer chez vous. Peut-être que si vous étiez allé dans l'autre sens, la mort aurait été une maison différente.

Ses oeuvres

Ses derniers livres