Troisième volet chez Attila du Cycle des Contrées, après Les Jardins statuaires et Les Barbares. 
Un homme, parce qu'il avait traduit dans sa langue natale le dernier livre des Jardins statuaires, se retrouvait entraîné avec des barbares dans un long périple à travers les différentes contrées de son monde.
La Barbarie : après plusieurs années de pérégrinations, le voici de nouveau aux portes de Terrèbre. Le temps est venu de reprendre le cours de sa vie professorale dans une ville qui, entretemps, s'est reconstruite. Mais comment exister dans une société désenchantée, privée de croyances et d'imaginaire lorsque l'on a soi-même découvert l'ailleurs ?

Le narrateur du nouveau roman de Jacques Abeille échappe à la barbarie par les pouvoirs de l'art et de l'imaginaire.
Ce livre nous semblait le moment opportun pour donner à voir un autre pan de l'oeuvre de Jacques Abeille : sa peinture.

La barbarie

Un homme avide de connaissance parcourt inlassablement les Contrées, vaste succession de territoires où coexistent plusieurs cultures et civilisations. C'est en s'aventurant dans des terres désertiques qu'il découvre la peuplade des Hulains et décide d'étudier leur langue archaïque. Pourtant, ce n'est pas de la linguistique que viendra la principale surprise pour Ludovic Lindien. Par amitié pour cet homme qu'ils considère devenu l'un des leurs, les Hulains vont lui révéler l'usage singulier qu'ils font des masques qu'ils fabriquent et dont ils font parfois commerce. L'explorateur va se retrouver initié à un rite extraordinaire : La Grande Danse de la réconciliation. Dans un premier temps de sa vie, Jacques Abeille s'est rêvé ethnologue ; le hasard et le rêve firent de lui un écrivain. Créateur d'un univers romanesque sans équivalent dans la littérature française, il explore depuis quarante ans le monde imaginaire des Contrées. La Grande Danse de la réconciliation est le récit qu'il nous offre de l'une de ces explorations. Le texte, qui se présent comme un compte-rendu ethnographique, rappelle l'attrait des surréalistes pour l'ailleurs, ou encore l'héritage de Documents, la mythique revue de Georges-Henri Rivière et Georges Bataille. Pour documenter La Grande Danse de la réconciliation, l'auteur a proposé à l'artiste Gérard Puel de s'en faire l'illustrateur.

Le cycle des Contrées

Celles qui viennent avec la nuit

Ce coffret est certes tentant, comme péché. L'ouvrir serait ainsi que l'on dévoile un savoir interdit, une main se glisse, recueille la soie, la chair vous est offerte. Chacun des livres se donne ainsi que ces amants incendiés. Déjà votre main s'est tendue vers le fruit défendu, ô lecteur. Voici quatre pommes d'amour, autant d'invitations à l'ivresse, ludiques, légères, rouge éclatant, ou rêveuses et profondes, mystérieux grenat. Vous avez ouvert la boîte de Pandore, fait glisser l'objet dans votre main, déjà frôlé la chair de...? Que Dieu vous pardonne !.

Histoires érotiques - Coffret 4 volumes : Tes yeux sur moi c'est fini ; Vénus Atlantica ; Recto verso et vice versa ; Odeur de sainteté

Cet ouvrage est une réédition numérique d'un livre paru au XXe siècle, désormais indisponible dans son format d'origine.

Le plus commun des mortels (2)

Jacques Abeille, né le 17 mars 1942 à Lyon et mort le 23 janvier 2022 à Libourne, est un écrivain français. Influencé par le mouvement surréaliste auquel il participera dans les années 1960-1970, il est principalement connu pour le cycle romanesque organisé autour d'un univers imaginaire initié par la publication au début des années 1980 des Jardins statuaires. Il a par ailleurs écrit plusieurs recueils de poésie et de nouvelles, et est l'auteur d'une œuvre érotique importante, publiée pour partie sous le pseudonyme de Léo Barthe.

https://fr.wikipedia.org/wiki/Jacques_Abeille

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