Inspired by Arthur Ashe's bestselling memoir Days of Grace, a collection of positive, uplifting stories of seemingly small acts of grace from across the sports world that have helped to bridge cultural and racial divides. Like many people of color, James Blake has experienced the effects of racism firsthand-publicly-first at the U. S. Open, and then in front of his hotel on a busy Manhattan street, where he was tackled and handcuffed by a police officer in a case of "mistaken identity." Though rage would have been justified, Blake faced both incidents with dignity and aplomb. In Ways of Grace he reflects on his experiences and explores those of other sports stars and public figures who have not only overcome adversity, but have used them to unite rather than divide, including: Aisam-Ul-Haq Qureshi, a Pakistani Muslim and Amir Hadad, an Israeli Jew, who despite the conflicts of their countries, paired together in the 2002 Wimbledon men's doubles draw. Muhammad Ali, who transcended racism with a magnetic personality and a breathtaking mastery of boxing that was unparalleled. Nelson Mandela, who spent twenty-seven years in prison for his commitment to social reform, peace, and equality yet never gave up his battle to end apartheid-a struggle that led to his eventual freedom and his nation's transition to black majority rule. Groundbreaking tennis legend Arthur Ashe, who was a model of courage, elegance, and poise on the court and off; a gifted player who triumphed in the all-white world of professional tennis, and became one of his generation's greatest players. Weaving together these and other poignant and unforgettable stories, Blake reveals how, through seemingly small acts of grace, we can confront hatred, bigotry, and injustice with virtue-and use it to propel ourselves to greater heights.

Ways of Grace - Stories of Activism, Adversity, and How Sports Can Bring Us Together

James Blake's life was getting better every day. A rising tennis star and People magazine's Sexiest Male Athlete of 2002, he was leading a charmed life and loving every minute of it. But all that ended in May 2004, when Blake fractured his neck in an on-court freak accident. As he recovered, his father-who had been the inspiration for his tennis career-lost his battle with stomach cancer. Shortly after his father's death, Blake was dealt a third blow when he contracted zoster, a rare virus that paralyzed half of his face and threatened to end his already jeopardized career. In Breaking Back, Blake provides a remarkable account of how he came back from this terrible heartbreak and self-doubt to become one of the top tennis players in the world. A story of strength, passion, courage, and the unbreakable bonds between a father and son, Breaking Back is a celebration of one extraordinary athlete's indomitable spirit and his inspiring ability to find hope in the bleakest of times.

Breaking Back - How I Lost Everything and Won Back My Life

Je pense que le public japonais est beaucoup plus attentif qu'un public londonien.

J'essayais de ressembler à certaines des personnes que j'écoutais, comme Mala et Coki.

Je pense que lorsque vous apprenez un instrument, vous êtes restreint car une grande partie est le bruit de la théorie individuelle et votre capacité à jouer à l'instrument.

Je pense que la musique que vous faites, souvent c'est encore mieux si vous vous identifiez avec d'autres personnes.

Une grande partie de la musique vocale que j'ai faite récemment a été assez clubby. Mais c'est principalement parce que j'ai eu plus de temps pour aller dans des clubs, et cela engendre normalement ce genre d'influence.

Je n'approche jamais vraiment de collaborations comme un peu de choses normales où elles sont organisées et elles se produisent parce que vous les avez arrangées. J'ai toujours été comme ça, j'ai juste des amis avec qui je traîne, et pendant que nous traînons, si la musique se produit, cela se produit.

Dubstep a tout pour moi. Rythme, design sonore, émotion sincère - tout en un seul endroit.

Nous vivons avec de la musique incessante, tout le temps. C'est comme un purgatoire musical étrange, il n'y a absolument aucun repos pour les oreilles, pas d'espace pour absorber et réfléchir.

Je voulais faire des sons que je n'avais jamais entendus auparavant.

Ma maman écoute particulièrement la musique d'une manière incroyablement basée sur les sentiments. Il n'y a pratiquement pas de snobisme sur les sons qui y sont, elle veut juste entendre une chanson et c'est assez rafraîchissant.

Le niveau sur lequel le Japon semble avoir repris ma musique semble être à un niveau plus abstrait.

En termes d'écriture, plus de pistes de club, écrivant plus influencé électroniquement - j'ai l'impression que tout a été influencé électroniquement, mais maintenant cette influence m'est venue d'une manière différente.

On m'a beaucoup interrogé sur l'état du dubstep en Amérique, et tout le monde veut que je dise quelque chose de controversé, mais je n'ai vraiment aucun sentiment négatif envers quoi que ce soit, vraiment.

À un certain stade du processus, la plupart des disques pop grand public sont manipulés et peut-être complètement reconstruits sur un ordinateur, avec un programme visuel.

La commercialisation de Dubstep ne fait pas partie de ce dont je fais partie.

J'ai vraiment essayé de perfectionner l'art de l'écriture de chansons d'une manière qui ne suit aucune sorte de directive.

Si tous les éléments sont en place, vous devriez obtenir 80% de ce qu'une chanson a à offrir, peu importe comment vous l'entendez, que ce soit sur des écouteurs ou à la radio.

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