James Nares, né à Stanwell, Middlesex, le 19 avril 1715 et mort à Londres le 10 février 1783, est un organiste, claveciniste et compositeur anglais.

Je me rappelle que voyager à travers la vie en tant qu'artiste en nécessite un pour distiller les choses lentement. Pour être curieux, inventif et patient - beaucoup de choses sont jetées en cours de route. C'est un peu comme l'eau de mer à bouillir pour atteindre le sel.

La vraie joie est de découvrir que les brindilles et les branches de ma pratique sont toutes fermement enracinées dans un seul arbre, même si le temps passe et je deviens de plus en plus conscient de l'éphémère de toutes choses.

Mes pinceaux, mes caméras et ma volonté de les utiliser.

Mes peintures ont un dialogue continu avec la photographie. Il y a beaucoup de peintres qui diraient la même chose, j'en suis sûr. La différence est que je pense davantage à l'aspect temporel de la photographie, plutôt qu'au visuel.

J'ai été assez impressionné lors de l'ouverture de l'un de mes émissions, lorsque la fille de cinq ans d'une actrice de cinéma bien connue a fait un saut de course à l'une de mes peintures, comme si elle plongeait dans une piscine. J'ai préféré traiter son impulsion comme un compliment plutôt que comme une insulte. Malheureusement, elle se blesse plus que la peinture.

Eh bien, le Peeve de cette semaine pourrait être ... lorsque les écrivains artistiques parlent des «efforts» d'un artiste, ce qui signifie leur travail. Cela me semble toujours condescendant, comme «je vais vous donner un E pour l'effort». Que diriez-vous des «sans effort» de l'artiste? C'est certainement quelque chose, ou du moins l'apparence de quelque chose, que je m'aspire.

Ce qui m'intéresse vraiment à propos de la capture et de la suspension du mouvement, c'est que je peux vivre quelque chose d'invisible et d'inaudible, aussi insaisissable et éphémère que la pensée, et que je lui donne une forme ... peut-être que mes peintures ne sont que de petits fragments de la danse cosmique suspendue à temps dans le temps .

C'est vrai, je me suspend parfois sur la toile, mais surtout je travaille à une table quand je fais une peinture. Quand j'utilise «le gréement», mes pieds sont fermement ancrés. Je me baisse horizontalement juste assez longtemps pour faire un coup de pinceau - une question de secondes - et puis je suis de nouveau droit. Mon assistant efface ensuite la peinture rapidement avec une raclette et je recommence ... jusqu'à ce que je les ai bien. C'est comme essayer de frapper un home run.

Je n'ai pas un endroit préféré pour voir l'art. J'aime le rencontrer n'importe où, musée, galerie, maison, studio, rue ... Je préfère voir le bon art, quand je vois de l'art, mais peu importe où je le vois.

Je fais mes propres pinceaux et je le fais depuis de nombreuses années. Je raffine constamment les conceptions, j'essaye de nouveaux matériaux, je re-configure d'autres pinceaux - le tout dans ma quête sans fin pour le pinceau parfait.

La musique a toujours été importante pour moi. Le rythme, en particulier, figure dans la plupart des choses que je fais. Je suis trébuché récemment sur un vieux cahier dans lequel j'avais écrit: «Touch, timing et timbre ... clés du cœur». Cela dit à peu près tout.

C'est un bel équilibre entre le design et la chose qui se réalise. L'AVC doit avoir une précision complète pour travailler. Parfois, je le perds à la sortie. Vous ne pouvez pas le fuger. Cela ruine le tout. Les chiffres résultants sont presque toujours contenus dans le rectangle. «C'est moins une fenêtre si je le garde dans les limites de la toile, mais il y a presque toujours une goutte à goutte qui est un cordon ombilical.

J'aime la routine. Cela me permet d'improviser.

https://fr.wikipedia.org/wiki/James_Nares

Ses oeuvres