God's Trombones: Seven Negro Sermons in Verse is a book of poems by James Weldon Johnson  patterned after traditional  African-American  spiritual oratory. African-American scholars have identified the collection as one of Johnson's two most notable works, the other being  Autobiography of an Ex-Colored Man. 

The work went on to find acclaim in many circles, proving "enormously popular among both the black  cognoscenti  as well of the masses of black Americans" and being used widely in oratorical contests.

God's Trombones: Seven Negro Sermons in Verse

Les pérégrinations du personnage métis de ce roman dont on ne connaîtra jamais le nom, révèlent des univers réjouissants et terribles du début du XXe siècle, aux Etats-Unis et en Europe. Sa quête d'identité le pousse à explorer l'Amérique Nègre où il cherche sa place. Habité par le ragtime, il fréquente boîtes de nuit et salles de jeux, se fait embaucher comme "effeuilleur" puis lecteur dans une manufacture de cigares, accompagne un milliardaire en Europe où il préfère Paris à Londres, avant que ne le rattrapent son questionnement incontournable sur sa couleur de peau et l'obligation de choisir... Enfin disponible en français, cette oeuvre de 1912 est un des textes fondateurs de Harlem Renaissance, au même titre que Les Ames du Peuple noir de W.E.B. Du Bois. James Weldon Johnson y démontre qu'il ne peut y avoir d'image unique des Afro-américains, tout comme il ne peut y avoir d'image unique de l'Amérique. A peine cinquante ans après l'abolition de l'esclavage aux Etats-Unis, un défi exaltant, d'une grande modernité.

Autobiographie d'un ex-homme de couleur

Mon amour pour mes enfants me rend heureux d'être ce que je suis et m'empêche de désir d'être autrement; Et pourtant, quand j'ouvre parfois une petite boîte dans laquelle je garde encore mes manuscrits jaunissons rapides, les seuls restes tangibles d'un rêve disparu, une ambition morte, un talent sacrifié, je ne peux pas réprimer la pensée, qu'après tout, j'ai choisi le moindre partie, que j'ai vendu mon droit d'aînesse pour un gâchis de potage

J'ai finalement décidé que je ne déclinerais ni la race noire ni ne revendique la race blanche; Mais que je changerais mon nom, éleverais une moustache et laisserais le monde me prendre pour ce qu'il serait; Qu'il ne fallait pas que je me fasse une étiquette d'infériorité collée sur mon front.

Dans la vie de tout le monde, il y a un nombre limité d'expériences qui ne sont pas écrites sur la mémoire, mais y est tamponnée avec un dé Et dans les longues années qui ont suivi, ils peuvent être appelés en détail, et chaque émotion qui a été agitée par eux peut être vécue à nouveau; Ce sont les tragédies de la vie.

À Berlin, j'ai particulièrement apprécié les concerts orchestraux et j'en ai assisté un grand nombre. J'ai formé la connaissance d'un bon nombre de musiciens, dont plusieurs ont parlé de mon jeu en termes élevés.

Washington montre le nègre non seulement à son meilleur, mais aussi à son pire.

Je ne vois pas comment un peuple qui peut trouver dans sa conscience une excuse qui a brûlé lentement un être humain, ou pour tolérer un tel acte, peut être chargé du salut d'une course.

...l'un des aspects les plus intéressants de la course à pied est que, quelle que soit la vitesse à laquelle vous avez couru par le passé, courir vite à l'avenir n'est ni facile ni garanti.

O Black et inconnu des bardes d'il y a longtemps, comment sont venus vos lèvres pour toucher le feu sacré?

Le travail est la baguette du magicien légendaire, la pierre des philosophes et la casquette de bonne fortune.

Et Satan sourit, étendit la main et dit : « Ô Guerre, de tous les fléaux de l'humanité, je te couronne chef.

Ma chance à la table de jeu était variée; Parfois, j'avais cinquante à cent dollars à l'avance, et à d'autres moments, j'ai dû emprunter de l'argent à mes collègues ouvriers pour régler le loyer de ma chambre et payer mes repas.

C'est à partir du blues que tout ce qui peut s'appeler la musique américaine lui tire les caractéristiques les plus distinctives.

Ce n'est pas une honte d'être noir, mais c'est souvent très gênant.

Amsterdam a été une grande surprise pour moi. J'avais toujours pensé à Venise comme la ville des canaux ; il ne m'était jamais venu à l'esprit que je trouverais des conditions semblables dans une ville hollandaise.

Lorsque nous sommes arrivés à Londres, ma tristesse de quitter Paris a été transformée en désespoir. Après mon long séjour dans la capitale française, un Londres énorme, pesant et énorme me semblait aussi laid que l'homme pouvait s'arrêter à faire.

Mais je dois posséder que je me sentais aussi remué par un désir désintéressé d'exprimer toutes les joies et les peines, les espoirs et les ambitions du nègre américain, sous forme musicale classique.

Les Blancs du Nord aiment le nègre d'une sorte de manière abstraite, comme une race; Grâce à un sentiment de justice, de charité et de philanthropie, ils aideront généreusement à son élévation.

Chaque race et chaque nation doit être jugée par le meilleur qu'il a pu produire, pas par le pire.

C'est une lutte; Car bien que l'homme noir se bat passivement, il se bat néanmoins; Et sa résistance passive est plus efficace à l'heure actuelle que la résistance active pourrait être. Il porte la fureur de la tempête, tout comme le saule.

Je suis une chose pas nouvelle, je suis aussi ancienne que la nature humaine. Je suis ce qui se cache, prêt à jaillir chaque fois qu'une barre est perdue; L'ancien trait qui se bat sans cesse contre la retenue, rechigne à la montée ascendante; Le poids cherchant toujours à obéir à la loi de la traction vers le bas; Et je suis plus: le fruit amer suis moi de graines plantées; Le résultat, la fin inévitable des forces du mal et les pouvoirs du mal.

... Le mal est une force et, comme les forces physiques et chimiques, nous ne pouvons pas l'annihiler; Nous pouvons seulement changer sa forme. Nous éclairons un mal et le frappons avec toutes les forces de notre civilisation, mais réussissons seulement à la diffuser en une douzaine d'autres formes

Toute personne musicale qui n'a jamais entendu une congrégation noire sous le charme de la ferveur religieuse chanter ces vieilles chansons a manqué l'une des émotions les plus palpitantes que le cœur humain puisse éprouver.

Ma mère était très occupée par sa couture; Parfois, elle avait une autre femme qui l'aidait.

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